Non à la disparition de la guinguette de l’étang de Trivaux dans la forêt de Meudon

430 signatures au bout d’une semaine pour la pétition de la guinguette. Cela sera-t-il suffisant pour appuyer la requête en annulation de la décision de démolition ? Je n’en sais rien. C’est un enjeu très local, et aucun des signataires de départ, surtout ceux qui ont partagé avec moi les petits bonheurs de cette guinguette, n’étaient très aguerris aux réseaux sociaux (facebook, instagram, twitter..etc). Nous avons fait avec les moyens du bord. Merci à celles (les guinguettes semblent très féminines si j’en crois les signatures) et ceux qui ont signé. Et merci aussi aux auteur(e)s des commentaires si nombreux et dont aucun n’est injurieux ou malveillant. 

Je les éditerai en appui aux recours qui seront engagés. 

Une partie d’entre vous a signé de façon anonyme. Ce sont des signatures sérieuses puisque le site qui abrite la pétition vous a demandé, sur votre adresse électronique, de valider votre vote. Elles  pèseront cependant moins, pour les autorités qui en sont destinataires, que les signatures de ceux qui donnent au minimum leur nom et leur commune de résidence. Il me semble que vous pouvez corriger cela sur le site de la pétition si vous avez signé anonymement par distraction.

Dans quelques jours, pour ne pas donner le sentiment de participer à la dégradation des lieux nous irons effacer le tag et repeindre en vert le panneau bas de la porte. Un panneau extérieur, distinct du bâti de la guinguette reprendra les informations sur la pétition. C’est une demande des deux personnes qui se sont activées en avril pour déposer un premier recours.

Quant aux aspects d’illégalisme de cette entreprise (écrire sur un bâtiment qui ne m’appartient pas, fut-il voué à la démolition) notez que je ne me suis pas caché en signant de mon numéro de téléphone, puis de mon nom et de mon adresse électronique, ce que j’ai écrit.

Nulle plainte ne semble avoir été déposée, ni aucune action hostile d’effacement ou de protestation. Merci donc à tous les agents locaux investis de pouvoirs régaliens d’avoir respecté cette expression de protestation de simples citoyens.

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