L’heure de la rentrée a sonné et la mobilisation se poursuit.
Merci à toutes celles et tous ceux qui nous ont rejoint tout au long de la période estivale.
Ces quelques extraits des messages reçus montrent combien le sujet demeure d’actualité…
Josette estime « qu’un crime ne doit jamais être prescrit. C'est indigne d'une société dite évoluée. Les criminels doivent être punis même après des décennies ».
« De tout cœur contre les injustices qu’elles soient dans tous les domaines, le dossier doit être rouvert » indique Bernard quand Christian s’interroge : « Comment admettre l’oubli dès lors que la victime réclame réparation, même si cette demande est tardive ? Les remords sont-ils vraiment une réalité, en particulier pour les délinquants qui sont enracinés dans la marginalité ? D’autre part, on peut se demander si la prescription ne risque pas d’être ressentie comme un encouragement à la récidive. (...) Le danger peut être toujours présent… ».
Selon Barbara « Votre argumentation est tout à fait judicieuse. Non seulement les progrès scientifiques sont indéniables et sont continuels. Mais en plus on laisse dans la nature des coupables, à même de recommencer. Cette imprescribilité serait totalement logique ».
Durant ces dernières semaines, Jacques Pradel et moi-même avons multiplié les contacts dans la perspective d’organiser ce débat que nous réclamons sur le fonctionnement de la prescription judiciaire. Le projet prend forme et diverses personnalités du monde judiciaire nous ont d’ores et déjà assuré de leur présence lors de ce débat.
A bientôt !
Christian Porte
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