Je reste tant bien que mal engagé et déterminé pour briser l'OMERTA!
Cette affaire pose nombre de questions relevant de l'intérêt général et concerne tout un chacun.
Il en va du fonctionnement des organismes, de droit privé chargés d'une mission de service public, reconnus d'utilité publique ; de nos institutions ; tant judiciaires, policières, médicales, de contrôles…
Elle traite également de la protection des majeurs (tutelle, curatelle), du droit des victimes…
L'éventail est large !
À ce jour, de nombreux dysfonctionnements persistent.
Les services de Police se refusent toujours à me recevoir et à m'entendre comme il se doit, ayant pourtant des éléments et informations à apporter, au même titre que d'autres personnes. Le parquet est également informé.
Le rapport d'enquête pénale met en lumière une enquête bâclée, pour ma part non sans intérêt compte tenu notamment des nombreux signalements effectués avant le constat du décès pour des faits de non-assistance à personne en danger, mise en danger d'autrui, abus de faiblesse, squat…
L'absence d'enquête de voisinage et la destruction des prélèvements d'autopsie utiles à la manifestation de la vérité en sont des exemples. À cela, se rajoutent la méthadone et les ordonnances retrouvées n'appartenant pas à mon père, non relevé par les services de Police ; l'individu croisé après constat du décès avec des effets personnels appartenant à mon père ayant fait l'objet de signalement à la Police sans suite, au même titre que d'autres individus.
Faire une pseudo-enquête en ne prenant pas en considération certains éléments est un bon moyen de ne pas relever d'infractions, tout comme s'abstenir de récolter et prendre en considération sérieusement des témoignages.
Je ne dispose toujours pas de trace de prise en compte de mes demandes de complément de plainte pour prise illégale d'intérêts, entrave à la justice par obstruction à la manifestation de la vérité… Il en est de même pour mes demandes d'informations complémentaires auprès du Parquet.
Après avoir contesté le classement auprès du Procureur de la République puis auprès du Procureur Général, j'ai demandé la désignation d'un avocat auprès du bâtonnier comme la loi le prévoit (article 40-4 alinéa 2 du code de procédure pénale) afin de saisir le doyen des juges d'instruction d'une plainte avec constitution de partie civile.
Le refus du bâtonnier contribue à me priver de l'accès au droit dans la continuité de signalements portés à la connaissance de ce représentant de la profession d'avocat n'agissant pas dans l'intérêt du justiciable, à l'instar d'autres ordres pour ma part.
Ne pas faire d'enquête suite à différents signalements fondés concernant les pratiques douteuses de la profession allant à l'encontre de la déontologie attendue est un bon moyen pour ensuite invoquer le motif du dénigrement afin de ne plus procéder à désignation d'avocats. Drôle de représentant tout même, n'exerçant qu'en partie ses missions et son rôle !
Je dispose également d'autres éléments inquiétants concernant le fonctionnement de nos institutions.
Trouver un avocat, par ses propres moyens, acceptant de défendre ce type d'affaire, d'engager les actions en découlant n'est pas une mince affaire, ni à la portée de toutes les bourses.
Me concernant, l'accès au droit et à la justice n'est clairement pas au rendez-vous pour les justiciables, les victimes.
Les inculpés bénéficient de plus de droits.
La pétition bien positionnée sur les moteurs de recherche ne trouve pas encore d'écho auprès de la presse, des députés, sénateurs...pourtant sollicités.
Vos signatures et partages contribuent à lutter contre les abus et les injustices de notre dit état de droit et participent à la libération de la parole.
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