Nicolas a mis fin à ses jours le 5 septembre dernier.
Au printemps dernier, suite au courrier de ses parents, qui informaient le rectorat qu'ils allaient "déposer plainte et [les] considérer comme responsable si une catastrophe devait arriver à [leur] fils ", la réponse fut menaçante.
La réponse du Rectorat fut une mise en doute des faits, et un article du Code pénal rappelant que la dénonciation calomnieuse est passible de cinq ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
Où sont les promesses d'écouter les victimes et de leur venir en aide ?
Heureusement, il existe encore des personnels qui osent aller à l'encontre des directives occultes.
Gageons que les annonces de M. Attal ne soient pas des paroles creuses.
Il faut sanctionner et renvoyer les harceleurs !
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