Urgence pour les animaux en Ukraine

Il y a un flash boom aujourd'hui qui demande ce que nous ferons en premier après la guerre... Tout d'abord, nous allons gagner. Si on ne gagne pas, plus de question. Fin. Au moins pour nous ici, c'est sûr... QUAND NOUS GAGNERONS, j'irai en Pologne pour la première fois pour remercier les gens qui prennent soin de mes enfants. Ramenez les enfants à la maison. Puis j'efface ce qui se passe de mon téléphone... Je rêve de trouver une maison pour des centaines d'animaux dans le besoin. Dans mon abri. Ensuite, je réaliserai mon rêve de construire des chenils avec chauffage à mon refuge pour que beaucoup d'animaux viennent comme je l'avais prévu l'année dernière. Ensuite j'irai en vacances et arrêterai de fumer. Vacances à la mer. Pour respirer. Sans cette terrible affreuse tombée dans ma poitrine. Souffle...   Pont de tête de consentement. Appels des villes bombardées. Je souhaite aider mais je ne peux pas y aller. Malheureusement, je n'ai qu'une vie et trop d'âmes à qui me soucier. Le sentiment de désespoir vaut alors les sérénas et la réalité autour. De l'autre côté, aucun appel des habitants. Plus de blessés, plus de chiots, plus de faim. Tout le monde s'en fout. C'est terrible. Je sais combien nous en avons sauvé chaque mois. Tous ceux qui sont abandonnés, en chaîne, affamés, blessés. Ils sont toujours là. Mais tout le monde s'en fout. Qui se soucie de nourrir les chiens errants - nous avons commencé à donner  la nourriture qui nous est parvenue de Lwiw et de Roumanie hier. Jusqu'à aujourd'hui, je courais partout pour m'assurer que l'abri est sécurisé pendant un certain temps. J'essaie maintenant d'aider 500 chiens, à nourrir un refuge à Kharkov. J'ai découvert aujourd'hui qu'ils sont vivants. Je ne sais pas comment. Notre ville est vide. Pas de voitures. Lumières rares dans les bâtiments. Mais nous sommes prêts. Pour tout avenir. On a eu le temps. Je pense à beaucoup de mes colligues à Kiev, Mariupol, Kharkov, Kherson, me rend dingue. Ils n'avaient pas le temps. Rien n'aide. Vraiment. Espère juste. Nous devons gagner. Je ne sais pas ce qui effraie le plus ceux qui sont encore là. D'être bombardé ou de ne pas gagner la guerre. Je suppose que nous ne nous soucions plus des bombardements. Ça fait partie de la guerre. Mais nous devons gagner.     ·  Ceci est une traduction de son dernier message Facebook il faut aider ces refuges qui manquent de tout, son rêve est de faire des  abris chauffés pour ces animaux  AIDEZ  NOUS Faites un petit don en cliquant sur mon lien facebook diane moline sur ma pétition (même si vous n'avez pas facebook ça fonctionne)  MERCI POUR EUX  helene