Chers signataires,
Je tenais à vous remercier de vos merveilleux messages et propositions d’aides. Mille mercis !
Ne baissez pas vos efforts, même si nous sommes très, très fatigués. Alertez ! Réfléchissez ! Prévenez ! Exprimez-vous !
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Je souhaite partager avec vous ce dessin qui m’a été donné par la petite fille d’une connaissance, très préoccupée par l’avenir des animaux que nous défendons.
Un peu de baume au cœur, en même temps qu’une lourde responsabilité : j’aimerais tellement ne pas la décevoir !
Nous qui avons pleuré devant Bambi et qui pleurerions encore aujourd’hui (tout comme la plupart des acteurs de ce dossier d’ailleurs, même s'ils l'ont oublié)
Comment pourrions-nous accepter que ces animaux soient sacrifiés, que l’injustice gagne contre la justice et le droit, alors qu’une solution pérenne est trouvée et qu'il ne dépend que d'une décision pour les sauver ?
Faites connaître à M. le Préfet, à Mme le Procureur votre souci légitime !
Et si vos enfants veulent participer à ce combat avec leurs magnifiques dessins, ne les en empêchez pas, s’il vous plaît : c’est aussi pour eux que nous luttons contre ce genre d’injustices !
pref-secretariat-prefet@nord.gouv.fr
urwana.querrec@agriculture.gouv.fr
Comme l’a si bien écrit l’un de vous à une administration :
« Vous dites que nous encombrons votre boîte mail, mais nous allons continuer à exercer notre droit de citoyens car ce sont des vies ! Des vies ! ».
Vous avez raison Monsieur, ce sont des vies. À ce titre, elles méritent d’être défendues becs et ongles.
Dont acte.
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Chers signataires,
J’ai transmis avant-hier en envoi recommandé notre pétition à l’attention de M. le Préfet, en lui demandant quelles étaient ses intentions.
Je publierai bientôt ici le texte de ce courrier (simple et court) sous forme de lettre ouverte.
En attendant, un peu de baume au cœur, donc.
Merci, Maëlys.
Et rassure-toi, nous ne lâchons rien.