Aidez-nous à sauver de pauvres vaches maltraitées dans la ferme insalubre des frères P. à Wambrechies (59), s’il vous plaît. Le dossier est solide : nous avons mené sur les lieux une enquête approfondie et pris contact avec tous les acteurs de cette histoire sordide.
PLUS UN BRIN D’HERBE dans ce paysage glauque… ELLES PATAUGENT DANS LA BOUE GLACÉE.
Elles ont faim et hurlent à la mort dans le silence… LEURS CRIS SONT DÉCHIRANTS.
Des animaux dont on voit les côtes et les hanches, au poil mité par la dénutrition, au ventre gonflé par les parasites… Pas de vétérinaire ! Pas de suivi ! Rien…
Des veaux et leurs mères qui agonisent et meurent dans la pâture, été comme hiver…
Des animaux si gentils si doux, au regard vide, prostrés, hurlant leur faim dans la boue glacée… Un marécage de bouses et d’urine brassées par leurs sabots souffrants.
Hier, nous n’avons pas osé aller vers elles avec du pain car nous avons eu peur qu’en nous approchant, l’une ne s’enfonce trop profondément et se casse une patte… Voilà où nous en sommes aujourd'hui !
MAIS QU’ATTEND LA DDPP - NORD (Direction Départementale de la Protection des Population, qui gère les élevages et le bien-être animal) POUR AGIR ET CONFIER LE TROUPEAU À LA FONDATION BRIGITTE BARDOT QUI PROPOSE D'ACCUEILLIR TOUS LES ANIMAUX DANS SES SANCTUAIRES, À SES FRAIS ?
La ferme sordide des P. à Wambrechies (59) est connue depuis des décennies pour ses infractions règlementaires : vaches et veaux non déclarés (les administrations soupçonnent qu’ils sont régulièrement vendus en douce pour la consommation) mais surtout,
SURTOUT, DES ANIMAUX EN GRANDE SOUFFRANCE ! ET EN DÉTRESSE PHYSIOLOGIQUE ALARMANTE !!
Il n’y a aucun abri dans la pâture devenue un gigantesque terrain de boue, d’urine et de merde dans lequel les animaux pataugent par tous les temps, jour et nuit, au risque d’infections douloureuses. Ils ne sont jamais rentrés : les P. n’ont pas de nourriture à leur donner et la ferme est un mouroir immonde !
Les vaches divaguent lorsqu’elles ont trop faim, se blessent, se couchent de tout leur long pour soulager leurs articulations douloureuses à cause des fourbures...
Jamais au sec. Les animaux n’ont pour se nourrir qu’un peu de paille et les quignons d’invendus de pain donnés par une voisine et notre association.
Pour celles qui ne meurent pas en vêlant dans la pâture, dénutries et en grande souffrance,
comme elles n’ont rien à ruminer, elles s’éteignent dans la douleur, chaque jour plus faibles et malheureuses.
CETTE SITUATION EST INTOLÉRABLE ET NE PEUT PLUS DURER !! C’EST INSOUTENABLE !!! CES ANIMAUX DOIVENT ÊTRE RETIRÉS LE PLUS VITE POSSIBLE DE CETTE FERME DE L'HORREUR… DES ANNÉES QUE ÇA DURE !!!
Le dossier d’enquête constitué avec photos, témoignages, avis vétérinaires, PV et articles de presse, est accablant : 1999, 2006, 2009, 2010, 2012, 2018, 2019…
La DDPP le SAIT.
Et aujourd’hui en 2020, rien n’a évolué ! Bien au contraire…
Beaucoup de petits veaux naissent chaque année et les animaux restaient toujours au nombre de 36 ! Cherchez l’erreur…
… Et les maltraitances qui perdurent, encore et encore…
Mr. C., de la Mairie de Wambrechies, a vu dans ce vaste dépotoir qu’est cette ferme de l’horreur : des chiens squelettiques, des restes de bovins calcinés, un petit veau mort et sa mère tellement en souffrance que les vétérinaires ont dû l’euthanasier sur place !
Mr. V., de la DDPP, m’a montré la photo d’un pauvre taureau enchainé très court par le cou, ce qui le forçait à rester vautré dans ses propres excréments !
À CE STADE, LA COMPLAISANCE INCOMPREHENSIBLE DE LA DDPP FINIT PAR RESSEMBLER À DE LA COMPLICITÉ !!!
Non, Messieurs Mesdames du service « Santé et protection des animaux et de l’environnement »,
Au vu de ce dossier ACCABLANT, nous vous demandons d’USER DE VOTRE PRÉROGATIVE DE SAISIE ADMINISTRATIVE ET DE CONFIER TOUT LE CHEPTEL À LA FONDATION BRIGITTE BARDOT POUR LE SAUVER DE CET ENFER, CE QUI NE VOUS COÛTERA PAS D’ARGENT.
L’hiver est là, les nuits vont être de plus en plus glaciales, ces animaux doivent être secourus AU PLUS VITE.
Que ces êtres sensibles puissent, pour la première fois de leur vie, manger à leur faim et bénéficier de soins.
Bref, recouvrer la dignité qui leur est due en tant qu’individus sensibles.
En sachant qu’IL Y A URGENCE : le froid mordant de l’hiver nordiste va vite faire fondre ce qu’il peut leur rester des réserves d’herbe de l’été.
De plus, il y a 3 semaines elles étaient 36 et leur nombre diminue progressivement : je n’en compte aujourd’hui plus que 30…
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Chers signataires,
Signez et partagez au plus grand nombre, s’il vous plaît…
L214 nous soutient, mais nous avons besoin de vous pour exiger que la DDPP de Lille et le Préfet du Nord confient TOUS CES ANIMAUX INNOCENTS à la Fondation Bardot.
Vous pouvez me contacter : marion.pecher@dbmail.com
L'AVENIR DE CES PAUVRES ANIMAUX DÉPEND DE NOUS TOUS.
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