Faire reconnaître l'existence d'une mafia française reviendrait aussi à reconnaître ses victimes. Des affaires comme celles d'assassinats (Juge Bernard BORREL à Djibouti, Allan ROMAGNOLI au Cambodge et bien d'autres) pourraient ainsi être vues sous un autre angle.
Les politiques français devraient tenir compte des méthodes mafieuses pour éviter de se compromettre et se faire noyauter.