Je pense qu'un enfant qui est en décrochage scolaire présente un signe qui doit interpeller.
Le fait, qu'il en soit ainsi n'a cependant pas à être considéré comme une "maladie", de la famille, nécessairement, comme certains dont beaucoup de droite ou de l'extrême droite, aimeraient le laisser penser.
Non, en vérité, c'est beaucoup plus complexe que celà, je pense que de plus en plus d'enfants, souffrent de différents troubles, dont certains sont probablement dus, en partie, à la pollution, à la prise de médicaments des parents, pendant la grossesse, ou leur jeune vie d'adultes, et que ça se répercute de plus en plus sur les enfants.
Combiné à celà, se pose le problème des écrans, qu'il faut absolument encadrer par des règles au sein des familles, de telle sorte que les enfants puissent apprendre à les gérer, et ça n'est pas à l’école, de faire l’éducation des enfants, mais au départ, aux parents...
Combiné à celà, se pose le problème des familles monoparentales, de plus en plus nombreuses.
Il n'est pas question, pour moi, comme le font les mentors de l'extrême droite traditionaliste, de culpabiliser, ou de nier ce phénomène, mais il existe, et pour en limiter les effets négatifs, il faut une politique sociale, qui soit adaptée.
Le plus souvent, alors, le fait de voir les notes s'effondrer demeure l'un des symptômes les plus solides, pour diagnostiquer le fait qu'un enfant souffre, et il importe alors de veiller à ce que les politiques aient véritablement conscience de l'importance de cet enjeu.
En cours de rédaction.
FR
EN