En 10 ans les tarifs autoroutiers ont connu une hausse de 20 %, les péages augmentent plus vite que l’inflation . N’y a-t-il pas eu dérive due à la privatisation sachant que les sociétés autoroutières font des sur profits.
Quand l’usager paie 100 euros au péage, les bénéfices varient de 20 à 24 euros en faveur des concessions.
Les autoroutes sont largement amorties, mais l’État n’a pas hésité à reconduire leur concession, ainsi :
- ASF (VINCI) d’après le plan de relance d’avril 2015, la fin de la concession estimée au 30/4/2036, sera prolongée de 2 ans 4 mois
- ESCOTA (VINCI) fin théorique, 29/2/32 gèrera +4 ns 2 mois
- COFIROUTE (VINCI) fin, 30/6/34 + 2 ans 6 mois
- APR (eiffage) fin 31/1/35 + 2 ans 1 mois
- AREA (eiffage) fin 30/9/36 + 3 ans 9 mois
- SONEF (albertis) fin 30/12/31 + 2 ans
- SAPN (albertis) fin 31/8/33 + 3 ans 8 mois
ALLONS NOUS CONTINUER DE PAYER DES SOCIÉTÉS QUI NOUS RACKETTENT ?- Pourquoi des tarifs exorbitants sur certains tronçons ?
Exemple pour une voiture classe 1 :
PAU/BORDEAUX coûte 21,3 euros pour 176 km
PAU/TOULOUSE coûte 11,8 euros pour 185,5 km
- Pourquoi n’y a-t-il pas de tronçons gratuits ?
DEMANDONS-LA GRATUITE
- Pourquoi ne sommes nous pas dédommagés lorsque nous subissons un ralentissement en raison des travaux d’entretien, nous sommes alors obligés de circuler sur une seule voie pendant plusieurs kilomètres (situation régulière du printemps à l’automne)
DEMANDONS UN TARIF ADAPTE AUX CONDITIONS DE CIRCULATION IL EST TEMPS DE RÉAGIR.