Pétition
1.145
signatures
Encore 3 855 signatures pour que cette pétition soit plus susceptible d’atteindre son destinataire !
Auteur :
Auteur(s) :
F3C CFDT - Pôle Conseil Publicité
49 avenue Simon Bolivar
75019 Paris
http://www.f3c-cfdt.fr/les-5-poles/conseil-publicite
Destinataire(s) :
Syntec - Rue Léon Bonnat - 75016 Paris
Dans nos professions de l’Informatique, de l’Ingénierie, des Etudes, du Conseil, du Sondage et des Foires-Salons&Palais des Congrès, la situation salariale est tendue depuis plusieurs années et devient franchement intolérable avec la reprise annoncée de l’inflation.
Augmenter les minima Syntec
Depuis 2007 aucun accord significatif n’a été signé. 2010 s’engage sur la même voie. Les signataires réaffirment la nécessité d’une augmentation significative des minima conventionnels pour l’année 2010.
Obtenir des dispositifs de rattrapage…
…pour les plus bas salaires par catégorie…
Des disparités salariales totalement injustifiées sont observées au sein d’une même catégorie de salariés ayant les mêmes tâches, notamment entre les femmes et les hommes. Il est nécessaire de réserver des budgets pour réduire ces écarts.
…et pour les jamais augmentés
De plus, il faut mettre en place des dispositifs garantissant aux salariés n’ayant jamais été augmentés d’avoir au minimum l’augmentation moyenne de leur entreprise.
Les signataires réclament la mise en place de dispositifs de branche contraignant pour les entreprises.
Revenir à des Augmentations Collectives
Il est anormal que trop d’entreprises connaissent exclusivement des augmentations de salaires individuelles. La progression régulière des salaires ne peut se faire. Pire, les catégories, n’étant plus au cœur des préoccupations des entreprises, sont exclues automatiquement des augmentations individuelles. Les signataires réaffirment la nécessité d’augmentations collectives régulières des salaires dans les entreprises.
Respecter la classification de la Convention Collective
Trop de salariés de la branche sont mal positionnés dans la grille de classification permettant aux employeurs de ne pas les rémunérer pas à leur juste valeur. Les signataires réaffirment la nécessité d’un réexamen dans les entreprises de la position des salariés dans la grille de classification.
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