De nombreux enseignants qui travaillent auprès des élèves porteurs de handicaps ou des enfants allophones sont lésés dans le processus de revalorisation des enseignants du premier degré.
En effet, ils ne toucheront qu’une revalorisation partielle et ultérieure; il s’agit d’un véritable manque de reconnaissance qui s’ajoute à toutes les difficultés qu’ils peuvent rencontrer au quotidien: absence de locaux, de téléphone, frais de déplacement, etc.