Depuis trois ans, je fais face à une situation injuste , dans laquelle l’intérêt supérieur de mes enfants semble ignoré, au profit d’un système rigide, parfois aveugle.
En juillet 2025, j’ai transmis les enfants sur le parking de la gendarmerie de notre commune au père, comme prévu, puis je suis repartie.
Une heure plus tard, il m’a contacté : les enfants refusaient de partir avec lui.
Car, il a évoqué la demande de les faire placer devant la juge des enfants ce qui a été réfuté sous condition d'une MEAO jusqu'en mai 2026, mais ce qui a profondément bouleversés les enfants.
Pour l’éducatrice, ce n’était qu’une simple maladresse du père.
Mais pour mes enfants, cette menace a été vécue comme une violence émotionnelle, de la part d’un père déjà distant et peu présent dans leur quotidien.
Le père de mes enfants est absent de leur éducation depuis plus de trois ans. Il refuse de participer aux soins et aux frais nécessaires à leur bien-être.
Mes enfants sont forcés de le voir, sous pression. Mon aînée de 13 ans s’est effondrée en larmes lorsque l’éducatrice lui a affirmé qu’un refus de voir son père entraînerait leur placement.
En tant que mère, je suis réduite au silence, toute contestation ou expression de mes inquiétudes étant interprétée comme une opposition ou une manipulation.
Je suis critiquée parce que ma fille est suivie par un psychiatre spécialisé pour sa phobie scolaire, alors même qu’il s’agit d’un soin non médicamenteux adapté — mais ce n’est pas une psychologue de l’ASE, et cela m’est reproché.
Mes enfants ne sont pas laissés à l’abandon. Ils sont aimés, suivis, stimulés, et vivent dans un cadre structuré :
Ma fille pratique le violon (elle va intégrer un groupe), le chant, le théâtre....
Mon fils participe à la chorale, le théâtre, l'aïkido la natation et le basket-ball...
Tous deux reçoivent des cours particuliers d’anglais et d’espagnol à domicile.
❗ Ce que je dénonce :
La pression psychologique sur mes enfants.
Le déséquilibre de traitement entre les deux parents.
Le risque de placement injustifié, simplement parce que mes enfants expriment leur mal-être auprès du père.
L’absence d’écoute réelle des mères célibataires et des enfants eux-mêmes.
Une forme de violence institutionnelle masquée sous couvert d’aide sociale.
Une réforme de l’ASE pour que les placements ne soient décidés qu’en cas de danger avéré, et non de simples conflits familiaux.
La prise en compte de la parole de l’enfant comme élément central.
Le respect du rôle des mères solos, souvent injustement mises en cause.
Une meilleure coordination entre juges, éducateurs, et spécialistes indépendants.
Une enquête sur les abus et dérives possibles dans certains services de l’ASE et les MEAO.
Signez cette pétition pour que la justice cesse de broyer des familles, et que l’amour, la stabilité, et l’écoute soient enfin reconnus comme essentiels, des témoignages sont essentiels pour renforcer la portée et la légitimité de ce combat.
NON AUX PLACEMENTS ABUSIFS !
OUI À L’ÉCOUTE DES ENFANTS ET DES MÈRES !
Prochain rendez-vous judiciaire : mai 2026
Votre soutien est vital.
Merci de signer, de partager, de vous mobiliser.
À qui cette pétition sera transmise :
Cette pétition ne restera pas lettre morte. Elle sera transmise officiellement à plusieurs instances et représentants afin que les voix des enfants et des mères soient enfin entendues :
Aux députés et sénateurs concernés, pour interpeller les responsables politiques sur les abus et dysfonctionnements de l’Aide Sociale à l’Enfance.
Au Défenseur des droits, garant du respect des droits fondamentaux des enfants et des familles.
Aux élus locaux (mairie, conseil départemental), responsables du financement et de la gestion de l’ASE.
Aux journalistes et médias, pour alerter l’opinion publique sur les placements abusifs et le silence imposé à certaines mères.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.