Il faut Protéger les enfants, les ados et les handicapés en Contrôlant les centres d’accueil à caractère social, spécialisés et les familles d’accueil.
Chaque enfant mérite de vivre sereinement sa vie. Quand plus d’un tiers des enfants sont envoyés dans des centres à caractère social ou dans des familles d’accueil, c’est qu’il y a un gros souci dans la société. Les enfants subissent la « dérive de la société des adultes et des parents ». Les enfants « subissent l’immaturité des adultes ». Comme on envoyait les prisonniers au bagne, beaucoup d’enfants sont envoyés dans les centres à caractère social qui sont loin d’être des centres de vacances. L’encadrement est plus proche de l’ambiance de « l’univers carcéral ». Les enfants y sont maltraités et y subissent souvent des viols. Le mode de fonctionnement est loin de faire sourire les enfants, les ados et les handicapés qui s’y trouvent. Atterrir dans ces centres est comme une punition, c’est loin d’être agréable. L’ambiance y est froide, il n’y a pas d’amour.
Seul des contrôles sérieux et réguliers pourront sécuriser et aider ces enfants dans ces centres. Ces enfants sont des délaissés de la société et de ce fait des proies faciles. Les pervers ne doivent pas travailler dans ces centres. Seule une formation sérieuse et spécifique du personnel encadrant peut réellement aider ces enfants. Pour ce faire, il faut imposer au préalable un travail personnalisé « 100% Respect » de chaque encadrant, car il est important de s’aider soi-même pour avoir tous les outils en main pour aider au mieux et au cas par cas tous les enfants qui leur sont confiés.
On constate qu’il y a beaucoup de décisions hâtives de placement sans fondement.
On constate également qu’il y a beaucoup de situations alarmantes où il est urgent de placer un enfant pour préserver sa sécurité.
On constate aussi que beaucoup de parents se déchargent « facilement » de leur rôle quand cela devient compliqué. Très souvent, quand l’enfant commence à « s’affirmer » en tant qu’individu, les parents n’apprécient pas. Les parents qui ont des enfants handicapés préfèrent s’en décharger car cela demande trop d’investissement. On met toujours en avant ces facettes de « surcharge » que subissent les proches, en négligeant de mettre en avant « l’enfant victime » et les véritables raisons qui font qu’il atterrit dans une maison à caractère social.
On oublie de mettre en avant le fait que l’enfant a subi l’inceste, que l’enfant vit dans un environnement violent, dans une atmosphère de violence, d’insultes et souvent de violences physiques. Un enfant qui a subi l’inceste, qui grandit dans une atmosphère de violence, finit par se révolter et finit par dire « non, ça suffit ». Comme il n’y a pas de « Communication 100% Respect » entre les parents et l’enfant, cela finit toujours par retomber sur l’enfant car c’est lui qui doit se plier aux exigences des parents. L’enfant est toujours obligé d’obéir et de se taire. Quand l’enfant veut faire valoir ses droits, il est envoyé dans une maison à caractère social, ou pire il est mis à la rue.
N’avoir personne à qui parler « objectivement » sans être jugé fait que l’enfant finit par se replier sur lui, qu’il soit dans un centre ou pas. La méfiance envers les adultes est la même. Le profit pesant dans la balance, il faut arrêter de donner des subventions aux centres encadrés par des pervers. Un contrôle rigoureux et régulier doit être effectué afin d’éviter les dérives qui font les faits divers.
Un centre à caractère social est censé aider, écouter, soutenir et guider le jeune qui est déjà en difficulté et perdu. L’enfant doit s’y trouver bien et avoir les outils qu’il faut pour se lancer dans sa vie. Un centre n’est pas censé enfoncer l’enfant dans sa déprime. Les salariés d’un centre doivent appliquer le « 100% respect » dans leur comportement envers ces enfants, et non abuser d’eux. Les enfants sont violés et même tués dans les centres à caractère social ou dans les familles d’accueil. Les enfants souffrent encore plus que chez eux.
Depuis 18 ans, no-ego demande à ce que le « 100% Respect » soit appliqué aux enfants, aux ados, aux femmes, aux handicapés, aux animaux, à la nature et aussi aux « Âmes ». Depuis 18 ans, on aide les « Âmes ». On les coache, car mourir avec des soucis c’est subir ses soucis même dans la mort. C’est une loi que beaucoup d’humains découvrent une fois morts.
Voici 4 témoignages « d'Âmes » d’enfants qui pointent du doigt les dessous des centres à caractère social (d’autres témoignages sont disponibles sur no-ego.fr).
-Témoignage 1 : Adolescente : Suicide clinique les Flamboyants, Réunion, 2018 :
On dit souvent que l'être qui ne sait pas gérer ses émotions est fou. Il est tout de suite qualifié, étiqueté comme un fou mentalement. Les gens se qualifient comme normaux lorsqu'ils ne débordent pas. Du moment où tu débordes, tu es fou car tu as des comportements étranges, bizarres. Quelqu'un qui parle seul est automatiquement fou. Dire que nous entendons une voix dans notre tête qui nous parle, c'est systématiquement de la schizophrénie. Alors on nous donne des traitements qui nous shootent bien plus que de fumer un pétard, c'est très puissant. Mais cela ne nous aide pas, c’est juste pour nous neutraliser mais ça n’enlève pas nos soucis. Plus aucun être humain n’est capable de revenir à son état dit neutre « 100% Respect ». Ce qu'il faut assimiler, c'est que seul un changement de Comportement peut nous aider et aider tous les humains. Je me sentais malheureuse, triste, incomprise, je souffrais. Dans ce centre, certaines personnes parlent mal. Un des employés me faisait des « avances bizarres ». Il n’arrêtait pas de me harceler. Il me touchait même quand il me parlait. J’avais peur de lui. Je n’étais pas bien là-bas, cela ne m’a pas aidé à aller mieux. Bien au contraire, cela m’a achevée. Je me suis sentie abandonnée par mes proches, je l’ai vécu comme une punition.
-Témoignage 2 : Maxence B., 16 ans. Suicide (Cambrai), 2022.
Que l’on ait des parents, des amis, des éducateurs, que l’on soit suivi par des psychologues, des médecins ou autres, jusqu’à aujourd’hui aucune médecine n’a pu guérir les êtres de la violence, de la méchanceté, du mal-être, des harcèlements, de la rancune, des maltraitances, etc... Aucun médecin n’arrive à guérir les êtres sans avoir recours aux médicaments, au centre de repos. Tous les êtres récidivent un jour ou l’autre. Je parle des êtres disons comme moi, ayant des difficultés à suivre les règles de la société, à respecter les autres sans avoir recours à la violence physique ou verbale, sans avoir la haine envers tout le monde. J’étais un enfant pas bien dans ce centre et avec les autres adolescents. On met les ados comme moi dans la marge, comme si les autres qui suivaient un cursus scolaire dit normal sont respectueux envers eux et envers les autres. Alors que non, les êtres sont irrespectueux car égo. Dans ce centre, on me frappait et je n’en pouvais plus. Je ne voyais plus d’issue. Ils ne respectent pas la déontologie de leur fonction, il ne nous respecte pas. Je me demandais tous les jours ce que j’allais devenir et à quoi ressemblerait ma vie. Plus les jours passaient et plus je m’isolais, je vivais dans la peur et la tristesse. A 16 ans, j’étais déjà au bout de ma vie dans ce monde égossien. J’ai mis fin à ma vie pour en finir, pour enfin être en paix… Cet acte, je l'ai fait car je ne me sentais plus à ma place. Les pensées négatives m'ont envahi dans ce centre. Les pensées prennent de la place et nuisent à notre bien-être. Ne plus penser négativement libère « l'Âme », libère plein de choses en vous. Nourrir l'égo ne changera rien. Au contraire cela le renforce et c'est ce qu'il souhaite.
-Témoignage 3 : Teodora M., 17 ans. Viol et crime (Mecs. Quézac, Cantal), 2025
Les pédophiles ou les criminels savent d'avance leur plan, en tout cas pour cet homme il savait qu'il allait me violer et me tuer. J'étais vulnérable, comme tous les ados qui atterrissent dans un Mecs. Je me suis confiée à lui sans me méfier, car c'est son boulot d'aider les ados comme moi. Je n'avais aucune attirance pour lui. Il encadre des jeunes là où il vit. C'est lui qui m'a poussée à partir pour qu'il puisse profiter de moi. Il avait programmé une petite virée et m’a dit qu'il me couvrirait le lendemain pour ne pas que je sois exclue ou autre. Cet homme a une famille et 2 filles. Il m'a enterrée pas loin de chez lui. J'ai essayé de me défendre mais il m'a étranglée.
-Témoignage 4 : Marina D.-S., 8 ans. Tortures et maltraitances parentales, (Sarthe), 2009
Derrière les portes et les murs de chaque maison, il y a des horreurs. Aussi petites qu'elles soient, l'horreur et la terreur se trouvent dans toutes les maisons. Chez moi, la torture n'avait aucune limite. Ma mère aussi bien que mon père me maltraitait. C'était tous les jours, sans interruption. Combien de fois j'ai voulu mourir pour ne plus avoir à vivre ce que mes parents me faisaient vivre. Combien de fois j'ai demandé à ce qu'ils meurent aussi. La haine avait pris le dessus. Je les détestais et j'avais tout fait pour les voir mourir. Les services sociaux sont lents et inefficaces. Les parents adoptifs sont parfois pire que mes propres parents. Les dispositifs mis en place pour protéger les enfants ne les protègent pas car tout est une histoire d'argent. Nous sommes achetés et gardés par des gens qui ne veulent pas notre bien. La société égossienne détruit les enfants, elle ne souhaite pas que les enfants grandissent dans l'amour. Le bienfait de l'enfant n'est pas leur priorité. L'Amour est bien au-dessus de l'humain et de ce qu'il peut atteindre. L'Amour est bien trop haut pour l'humain. L'égo est à son niveau. A tous les enfants qui souffrent à cause des adultes, bientôt vous serez libérés et vous pourrez vivre en paix, en toute sécurité. Merci de m'aider.
Comme le rappel le procès, qu’il y a eu en 2024, « se pose la question du contrôle et des moyens accordés par la puissance publique à l’aide au mineurs ». Il faut accorder une véritable importance à la parole des victimes.
Aucun centre n'applique le « 100% Respect » envers les enfants, il est temps de changer les choses.
www.no-ego.fr
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