Madame Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale
Monsieur Bruno Retaillau, ministre de l’Intérieur
Monsieur Gérald Darmanin, garde des sceaux
D’après les statistiques officielles, l’année dernière, on compte 130 attaques au couteau dans les seuls collèges et lycées de la région parisienne.
Bien que la délinquance des mineurs baisse, les adolescents sont encore sur-représentés dans les faits de vol, de coups et violences, de viols et agressions sexuelles, de dégradations de mobiliers urbains et d’usage de stupéfiants.
La rébellion face à toute forme d’autorité crée un mal-être, un manque de repères quand elle n’est pas sanctionnée immédiatement de manière proportionnée.
La surexposition aux écrans, c’est-à-dire à un monde virtuel, influence cette jeunesse qui passe à l’acte dans toute forme de violence sans aucun état d’âme.
Nous demandons des mesures simples pour les écoles et les collèges dès la rentrée prochaine, comme par exemple :
1° Création d’un règlement intérieur clair et court que les élèves et leurs parents s’engagent à respecter par leur signature, qui précise les mesures d’exclusions temporaires immédiates et graduées en cas d’infraction.
2° Trois interventions de sensibilisation durant l’année scolaire avec :
Ces interventions sensibilisant les élèves à ces métiers de vocation humanitaire, permettraient d’aborder les questions de détection et de prévention de toutes formes de violences y compris intra-familiales.
3° L’interdiction en France de certains réseaux sociaux ciblant la jeunesse et le contrôle par l’identité et/ou le paiement symbolique d’1euro par carte bancaire d’accès aux contenus violents et pornographiques.
4° La promotion de téléphones ludiques (jeux, photos, vidéos …) sans accès internet, avec une campagne de sensibilisation au danger des réseaux sur la jeunesse.
Lors de la pandémie, l’état a su fermer les écoles et même les parcs, masquer les écoliers dès l’âge de 6 ans pour protéger les adultes !
Nous demandons que l’état prenne les mesures d’urgence pour préserver l’enfance et sauver notre jeunesse en dérive et/ou en danger.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.