Encore 79 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
Auteur :
Auteur(s) :
Kraiem
Suivre cet auteur
Recevez l'actualité de cet auteur
Auteur suivi
Ne plus recevoir l'actualité de cet auteur
Destinataire(s) :
Mr Youssef Chahed Chef du gouvernement Tunisiens
La pétition
Le président directeur général de la Tunisar, Elyes Mnakbi, a annoncé, ce vendredi à la presse, que la majeure partie des problèmes financiers de la compagnie viennent des 1200 recrutements inutiles qui ont été effectués en 2011, parmi des agents qui avaient été renvoyés, ou parmi les agents qui travaillaient en sous-traitance et que la compagnie a été obligé d’intégrer.
Ce qui fait qu’actuellement, la compagnie est en train de payer quelque 1200 personnes à ne rien faire. Et il n’est pas évident, aujourd’hui, de renvoyer ces 1200 personnes afin de résoudre les problèmes de la compagnie.
Il a ajouté que dans toutes les compagnies aériennes du monde, il y a environ 80 agents, toutes spécialités confondues par avion en exploitation, alors que pour la Tunisair, ce chiffre se monte à 165 agents par appareil. De façon à ce que la masse salariale atteint, désormais, 130% des recettes de la compagnie.
Une sorte d’aveu de faillite et d’impuissance qui pourrait, peut-être laisser entrevoir une possible privatisation de la société.
Non à la privatisation de TUNISAIR signez la pétition notre compagnie en danger !
Cela fait peser un risque considérable sur des milliers de salariés, sur le développement économique du pays, sur l’avenir du transport aérien en Tunisie.
21
signatures
Signez avec votre email
Encore 79 signatures pour que cette pétition ait plus de chances de devenir virale sur les réseaux sociaux.
En signant la pétition, j'accepte que MesOpinions traite mes données à des fins de gestion de signatures et des commentaires. J'accepte également d'être informé(e) des actions citoyennes initiées via MesOpinions. Pour en savoir plus, sur ces traitements et sur mes droits, je consulte les conditions d'utilisation.