Mes chers Camarades, l’heure n’est pas à la rigolade !
À l’heure où certains se rebellent pour le caractère « inhumain » des mesures COVID, d’autres personnes vivent dans des conditions aussi inacceptables que le mot minable ne saurait décrire.
En effet, de grandes marques de l’industrie textile n’hésitent pas à bafouer les droits humains de leurs fournisseurs.
De nombreux partenaires affiliés à ces entreprises n’hésitent pas, afin d’optimiser le plus possible leurs rendements aux risques de bafouer certaines lois comme le salaire minimum mais aussi certains principes basiques tels que la sécurité garantie sur le lieu de travail, le bien-être et la santé du travailleur.
Un grand nombre d’associations qui ont d’ores et déjà été fondées peuvent malgré tout néanmoins redonner une lueur d’espoir à ces travailleurs mais elles manquent généralement de moyens financiers ainsi que des aides de l’état.
Comme dit précédemment, afin de satisfaire les demandes des principales entreprises de l’industrie du textile, certains gérants des partenaires de celles-ci exercent dans la plupart du temps des pressions sur les travailleurs afin de maximiser leur productivité tout en les payant avec un salaire de misère (qui dans certains pays ne dépasse même pas le salaire minimum comme dans les Balkans qui sont contraints de travailler pour trois euros de l’heure).
Ces mêmes personnes travaillent dans des conditions insalubres, notamment avec un scandale ayant éclaté où des ouvrières se voyaient imposer de porter des couches afin de les empêcher de se rendre aux toilettes et sont également réduites au silence.
Et si jamais l’un de ces ouvrier osait s’exprimer sur leur situation, il serait immédiatement renvoyé et incapable de retrouver un travail à cause de son ancien patron qui par vengeance avertit les autres entreprises que celui-ci est très turbulent et qu’il causera des problèmes.
D’autre part il est important de préciser que le textile en général a un grand impact sur le climat.
Selon certaines sources, il faut entre 5 400 et 19 000 litres d'eau pour produire 1 kg de coton sans compter les nombreux produits chimiques utilisés lors de la fabrication des vêtements qui finissent ensuite relâchés dans les lacs aux alentours des bâtiments affiliés aux travailleurs du textile tels que le CS2 et les nombreux déchets abandonnés.
En conclusion je dirais que tout ce que j’ai écrit n’est qu’une simple ébauche de la réalité et qu’il est urgent d’agir et qu’il est inacceptable en 2021 que des gens soient encore aussi maltraités dans le monde !
Source :