Monsieur Le Ministre,
Il est plus qu'urgent de sortir les AESH de la précarité par ces temps partiels imposés.
Un statut et un salaire sont impératifs.
Une reconnaissance de la fonction, faites-en un vrai métier.
Nous aimons ces élèves extraordinaires et voulons continuer à les suivre.
Nous rencontrons énormément de parents en détresse et d'enfants sans accompagnement, voire déscolarisés. Chose inadmissible.
La loi 2005 doit être appliquée.
Les notifications en individuel ne sont pas toujours respectées, quota d'heures.
Les mutualisations à outrance ne permettent pas à certains élèves d'avoir suffisamment d'heures pour les apprentissages.
Certains enfants en mutualisé devraient passer en individuel.
Ou alors donnez moins d'élèves à suivre en même temps, ils sont devenus des numéros.
Stop au PIAL, les AESH ne sont pas des machines. 1h par ci. 1h par là. Courir sur plusieurs établissements cela met tout me monde dans l'embarras. Perte de temps sur les apprentissages.
Si aujourd'hui vous manquez énormément d'AESH, c'est que le salaire n'est pas attrayant.
Nous voulons UN VRAI SALAIRE POUR VIVRE, PAYER NOS FACTURES, VIVRE !
1er et 2ème échelons, indice 352, revoir la grille indiciaire qui est à refaire,indice 355 pour les CDI contractuels, c'est à dire 7 € d'écart avec un débutant.
Inadmissibles ces écarts.
Aujourd'hui, les AESH réclament un salaire pour vivre et non des aides, qui ne comptent pas pour la retraite.
1 statut Catégorie B
1 SALAIRE !!!
C'est un beau métier, alors ne laissons aucun enfant sur le bord de la route.
Je compte sur vous.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.