La fast fashion, la mode rapide en français, est le principe de renouvellement rapide des vêtements pour certaines entreprises de mode qui produisent beaucoup et vendent à bas prix, des vêtements à la qualité inférieure à la mode classique.
Quelques exemples que vous connaissez seraient H&M, Zara, Shein… Alors que certaines entreprises ont un mode de fonctionnement plus classique, avec une collection estivale et une hivernale.
Cette production trop massive entraîne des dérives et des effets négatifs, comme la délocalisation, les entreprises cherchent toujours un moyen de produire plus et de payer moins avec une main d'œuvre à bas prix.
C’est pour cela que ces entreprises délocalisent au Bangladesh ou en Éthiopie. Le coût de la main-d'œuvre est bas et les droits de l'homme ne sont pas respectés.
Les employés travaillent donc dans des conditions déplorables ce qui peut conduire à des situations comme celle de 2013 au Rana Plaza, au Bangladesh, où l’effondrement d'un bâtiment a fait un millier de morts.
En délocalisant les entreprises mettent en place une optimisation fiscale, à la limite de l’illégalité. Ce réseau de production international est également très polluant, de par les transports de produits et la consommation de matières premières qu’il engendre (8% des émissions de gaz à effet de serre).
Voilà pourquoi cette pétition a été créée, pour lutter contre ces problèmes qui atteignent tout le monde en proposant à l'Union Européenne, l’Assemblée Nationale et aux députés du 04 Léo Walter, Christian Gérard notre projet.
Nous proposons ainsi de mettre en place plusieurs friperies ou autres actions collectives, des lois et restrictions ainsi que des impôts à toute entreprise pratiquant la fast fashion, pour en limiter les abus.
Comme par exemple une loi imposant à une entreprise de ne pas laisser ses employés sans emploi si elle se délocalise ou encore des lois comme celle de 2021 qui interdit la destruction des invendus non alimentaires.
Il faut aussi améliorer le respect des lois telle que celle imposant de réduire l'impact environnemental de l'industrie textile mise en place en Mars 2024.
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