Moi, Serge Audrain, vient plaider la cause de Anne-Sophie Montecot, habitante de Toulon, qui, le 12 janvier 2016, est allée chercher sa marchandise avec deux employés au port de Marseille, qu'un certain Monsieur Konan lui faisait livrer et a commis l'erreur de lui indiquer un faux numéro, et s'est faite arrêtée avec un colis d'armes ne lui appartenant pas, au lieu d'objets anciens comme prévu.
Elle devait payer une caution de 1.500€. Monsieur Konan avait été convoqué par le commissaire du port et pendant ce temps Anne-Sophie et ses employés étaient enfermés en cellule. Nous ne savons pas ce qu'il s'est passé entre le commissaire et ce Monsieur Konan, mais toujours est-il que celui-ci fut libéré même pas 48h après, et avoir versé 900€ seulement alors que c'est lui qui a fait envoyer les armes destinées à quelqu'un d'autre que Anne-Sophie Montecot.
Il restait encore 600€ à verser pour qu'Anne-Sophie et ses employés soit libérés. Ce monsieur a quand même versé 250€ supplémentaires qui ont permis de libérer les deux employés, mais pas Anne-Sophie, qui à la fin du mois sera transférée dans une prison de femmes.
Pour qu'elle puisse être libérée, il faudrait que Monsieur Konan verse les 350€ qui manquent, mais il ne le veut pas.
En attendant, son fils de 5 ans réclame sa mère, et il le lui manque à elle. Elle voudrait pouvoir rentrer chez elle pour prendre son fils dans ses bras.
Moi même je n'ai pas de moyens pour la faire sortir de là, c'est pourquoi je demande qu'on l'aide à sortir de ce pétrin qu'elle ne mérite pas. Je demande à l'association des peintres de Toulon d'intervenir auprès des autorités pour la libération d'Anne-Sophie Montecot.
Je souhaite de tout cœur qu'elle soit libérée et qu'elle retrouve son fils et ses activités, dont une galerie de tableaux qui, à l'heure actuelle, est fermée. C'est mon plus cher désir et je compte sur vous, amies et amis français, pour que de tels erreurs ne se reproduisent pas et qu'elle puisse être libre.
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