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Lettre ouverte à : M. Bernard Boucault - Préfet de Police de Paris, M. Daniel Vaillant - Maire du 18ème Arr.
La pétition
Mise à jour
Lettre ouverte à : M. Matthieu Clouzeau - Commissaire Divisionnaire du 18ème Arrondissement, M. Daniel Vaillant - Maire du 18ème Arrondissement, M. Félix Beppo - Adjoint au Maire du 18ème Arrondissement , chargé de l'Espace Public. M. Michel Gaudin - Préfet de Police de la Ville de Paris, Pour un espace public partagé et non annexé ! Les riverains des rues Ramey, Muller et Clignancourt, ont œuvré pendant plus de 5 ans pour que soient réalisés des travaux nécessaires d’aménagement, d’élargissement et de sécurisation des trottoirs, des passages piétons... La deuxième tranche de travaux s’est achevée cet été et nous remercions vivement MM. Vaillant et Beppo pour l’écoute dont ils ont fait preuve. L’espace piétonnier public ainsi créé se retrouve malgré tout totalement annexé en soirée par quatre cafetiers du carrefour : - rendant à certaines heures le trottoir totalement impraticable, obligeant ainsi les piétons à emprunter la chaussée, avec la dangerosité que cela implique, - créant de fait des contre-terrasses sauvages où les consommations sont prises debout le verre à la main, - diffusant de la musique toute devanture ouverte pour que les consommateurs puissent l’entendre. - étendant leurs terrasses bien au-delà de leur autorisation délivrée par la Mairie de Paris, - n’intervenant nullement auprès de leur clientèle pour que leur activité puisse s’exercer dans le respect du voisinage, - tout ceci créant de fait un tapage nocturne conséquent et récurrent. Tous ces agissements sont contraires à la législation en vigueur. Les services municipaux et de proximité ne disposant que de peu de moyens dissuasifs (modicité des amendes des infractions constatées), ces cafetiers n’ont ouvertement que faire des requêtes des riverains, et entendent imposer leur loi à l’espace public. En conséquence, nous, riverains des rues Ramey, Muller et Clignancourt, en appelons à M. le Maire et à M. le Commissaire Divisionnaire du 18ème Arrondissement, afin que soient mises en œuvre dans les meilleurs délais, et que soient respectées, la réglementation des terrasses de la Ville de Paris et la législation en vigueur en terme de nuisance, de tapage nocturne et des lieux diffusant de la musique. www.clignancourtrameymuller.blogspot.com
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Que penser d’un café bruyant de silence, au gout amère et auréolé d’une mousse grisé par
le succès ?
Une médiation et chaise vide plus tard, il vous tend sa carte des doléances.
Que dire de plus ou de moins, j’en ai tellement déçus des nombreux et des nombreuses à vouloir plaire au buveur de terrasse, sans satisfaire aux revendications légitimes des piliers de salle à manger.
« Merci à l’association de parents d’élèves qui enflamme notre établissement de belles lettres, à Michel, notre retraité, gardien de notre mémoire collective, à Éloïse, l’artiste peintre de Montmartre qui éclaire nos murs de ses couleurs pastel, à Christiane, qui confie à l’imaginaire de ses élèves le recyclage du Monde, aux employés de la voiries qui des l’aube s’enivrent de café sans sucre et mille et une nuit de pardons à nos concitoyens qui ont voté pour une rue sans terrasse sous le marteau d’une punition collective. »
Depuis le non renouvellement de mon égo, j’accuse les mêmes cernes que mes détracteurs.
Malgré mes yeux bouffis et des recettes amputées d’un tiers, je demeure convaincu que seul la parole peut nuire à la division.
Pour contractualiser ma bonne fois et porter le deuil en terrasse, il me faudra faire plus que de licencier l’incompétence.
Comme :
1/ A signaler et mettre à disposition au collectif, dénommée ClignancourtRameyMuller, et des riverains un carnet de liaison cosigné par la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, afin qu’ils puissent y consigner leurs remarques et suggestions.
2/ Organiser une réunion de travail, trimestrielle, ouverte au collectif, dénommée ClignancourtRameyMuller, aux riverains et aux représentants de la municipalité pour constater par écrit l’efficacité de nos résolutions, et la