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Mise à jour de la pétition

Éradiquer la pauvreté en France

Pétition : Éradiquer la pauvreté en France Mise à jour de la pétition
54.642 signatures
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MALGLAIVE. K

Le 17/03/2020

CORONAVIRUS : Les associations craignent une catastrophe sanitaire pour les plus précaires !

https://www.laprovence.com/article/societe/5935375/coronavirus-les-associations-craignent-une-catastrophe-pour-les-plus-precaires.html


Le 31/01/2020

Deux personnes SDF décédées dans la rue en moins de 48 heures en France, une à Caen, la seconde dans le bois de Vincennes.

En France, au moins 26 SDF sont décédés dans la rue depuis le début de l'année 2020

Jusqu'à quand allons-nous accepter que cette situation dramatique perdure dans notre pays ?

https://www.cnews.fr/france/2020-01-30/paris-le-corps-sans-vie-dun-sdf-decouvert-dans-le-bois-de-vincennes-922658

https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/caen-un-sdf-retrouve-mort-sur-un-trottoir-en-centre-ville-6714482

https://www.20minutes.fr/societe/2701879-20200124-inegalites-oppose-societe-solidaire-pronait-abbe-pierre-estime-christophe-robert


Le 25/11/2019

Bonjour à toutes et à tous,

je viens de publier une pétition en soutien à Monseigneur Philippe BARBARIN, Archevêque de Lyon. Je vous remercie par avance de bien vouloir signer la pétition :

https://www.mesopinions.com/petition/justice/soutien-cardinal-philippe-barbarin-archeveque-lyon/76578


Le 14/11/2019

Bonjour à toutes et à tous,

vous trouverez ci-dessous le lien de la réponse en date du 24 septembre 2019 du ministre en charge de la Ville et du Logement à la question écrite de Monsieur Nicolas DUPONT-AIGNAN, Député du département de l'Essonne sur l'Avis du CESE rendu le 12 décembre 2018 concernant les personnes sans domicile fixe :

http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/fiche/OMC_PA1206#question

Le 30/09/2019

Question écrite n° 16287 de M. Nicolas Dupont-Aignan

Publiée le 29 janvier 2019

Rubrique :logement Titre :Avis rendu le 12 décembre 2018 concernant les personnes sans domicile fixe

M. Nicolas Dupont-Aignan appelle l'attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur l'avis rendu par le CESE le 12 décembre 2018 concernant les personnes sans domicile fixe. Intitulé « Les personnes vivant dans la rue : l'urgence d'agir », cet avis qui rappelle que plus de 800 000 personnes vivaient sans toit fin 2018, préconise 19 mesures pour leur permettre d'accéder à une vie décente. Il souhaiterait savoir si ces conclusions, qui devaient s'articuler avec le plan pauvreté présenté par le Gouvernement le 17 octobre 2018, serviront de base à des mesures concrètes d'accompagnement social et de relogement à très court terme. L'opinion publique qui s'émeut à juste titre de cette situation de précarité indigne de la septième puissance économique mondiale, ne comprendrait pas que le Gouvernement n'envoie pas un signal fort, en particulier à l'approche des grands froids.

La réponse du ministère publiée le 24 septembre 2019 :

http://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-16287QE.htm


Le 27/09/2019

Depuis plusieurs semaines, des femmes qui viennent d'accoucher à l'hôpital Lariboisière à Paris squattent une salle de l'établissement faute de place d'hébergement. Avec leurs bébés, elles dorment à même le sol. Le personnel de la maternité exprime sa honte face à cette situation. 

Tous les jours, elles réitèrent leurs appels au 115, le Samu social. Mais au bout du fil la réponse est à chaque fois la même: pas de place disponible. Cette situation mine le moral du personnel, une quarantaine de soignants du service des urgences maternité ont signé une tribune et lancé un "SOS", craignant un "craquage complet de l'ensemble de l'équipe". 

https://www.interurgences.fr/2019/09/tribune-en-soutien-dune-maternite/

https://www.bfmtv.com/societe/paris-faute-d-hebergement-des-mamans-et-leurs-bebes-squattent-une-salle-de-l-hopital-lariboisiere-1775181.html


Le 25/09/2019

“Depuis trois ou quatre ans, nous avons anticipé ce mouvement, chose que nous avions évoquée dans un rapport nommé ‘Comment réconcilier ces deux France?’. Les inégalités concernant l’emploi, le logement, la mobilité et le train de vie sont très mal vécues par une partie de la population”

Patrick Bernasconi, Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), le 20 septembre 2019 sur Franceinfo

https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/greve-aux-urgences/patrick-bernasconi-president-du-cese-quelle-cohesion-sociale-en-france_3624537.html

https://www.lecese.fr/content/discours-de-patrick-bernasconi-assemblee-pleniere-du-cese-le-11-septembre-2019

https://www.lecese.fr/content/rapport-annuel-sur-letat-de-la-france-2019-cohesions-et-transitions-agir-autrement


Le 23/09/2019

Nous, associations et fédérations accompagnant des personnes en situation de précarité et collectifs citoyens œuvrant en faveur des personnes les plus démunies, alertons sur la situation dramatique des personnes et familles contraintes de vivre à la rue faute de solution d’hébergement digne ou de logement à coût abordable, et dont le nombre ne cesse d’augmenter.

Ce sont des dizaines de milliers de personnes sans solution dans le pays ! Pour ne prendre que l’exemple de Paris, en février 2019, 3 600 personnes sans solution d’hébergement ont été dénombrées lors de la nuit de la solidarité et plus de 2 800 personnes vivent sur les campements du nord-est parisien et de Saint-Denis. De plus, en juin, les associations dénombraient environ 2 000 personnes à la rue en Occitanie (Toulouse), 1 500 en Nouvelle Aquitaine (Bordeaux), plus de 2 000 en région Pays de la Loire (Nantes). La situation ne fait qu’empirer avec par exemple l’installation récente d’un campement de 400 personnes à Rennes.

Nous constatons depuis plusieurs années une insuffisance chronique de places d’hébergement et de logements sociaux qui a pour conséquence l’augmentation du nombre de personnes à la rue mais également le durcissement des conditions d’accès à l’hébergement. Ce manque de places conduit au non-respect des principes d’inconditionnalité et de continuité de l’hébergement pourtant inscrits dans la loi et créé une concurrence insupportable entre les publics les plus précaires.

Cette crise est amplifiée par le sous dimensionnement chronique du parc d’hébergement dédié aux demandeurs d’asile, renvoyant vers le 115 et les campements plusieurs dizaines de milliers de personnes sans solution.

Dans un contexte où le nombre d’expulsions locatives avec le concours de la force publique ne cesse d’augmenter, cette absence de solution d’hébergement ou de logement conduit au maintien d’un cycle infernal où des familles sont remises à la rue pour laisser place à d’autres, où le nombre de demandeurs d’asile privés de leur droit à l’hébergement dans un dispositif dédié explose, avec toujours plus de personnes à la rue. Ce cycle conduit à l’errance de nombreuses personnes et à la multiplication des campements, squats et bidonvilles sur l’ensemble du territoire national.

La dernière étude de dénombrement des personnes sans-abris sur le territoire national date de 2012. Nous attendons qu’une telle étude soit reconduite afin que l’élaboration des politiques nationales et locales puisse s’appuyer sur des données actualisées et que les différents acteurs puissent prendre réellement la mesure de la situation.

Nous en appelons aujourd’hui à tous les acteurs : État, collectivités locales, bailleurs sociaux, associations, entreprises et citoyens pour apporter des réponses quantitatives et qualitatives à la hauteur de la crise sanitaire et humanitaire que nous vivons partout en France. Collectivement, donnons-nous les moyens de respecter le principe d’accueil inconditionnel qui fonde la tradition de solidarité vis-à-vis des personnes en situation de précarité en France.

Parce que les personnes et familles sans-abri ne peuvent plus attendre, nous exigeons :

– la construction de logements à coût abordable à la hauteur des besoins sur l’ensemble du territoire, et en particulier dans les zones où l’accès au logement est le plus difficile pour les publics en situation de précarité ;
– l’évolution des processus d’attribution de logement pour garantir un accès effectif des personnes les plus précaires au logement social en leur permettant de bénéficier d’un accompagnement adapté à leurs besoins ;
– la planification dans le prochain projet de loi de finances de création de places en CADA pour les demandeurs d’asile et d’hébergement généraliste qui permettent de garantir à toutes les personnes sans-abris, isolées ou en famille, un hébergement digne, inconditionnel et continu ainsi qu’un accompagnement social adapté. Cela suppose aussi l’arrêt immédiat des coupes budgétaires sur les CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale).
– la mise à disposition à des fins de création de lieux d’hébergement des locaux disponibles par l’Etat, les collectivités locales, bailleurs sociaux et entreprises et ce dans les plus brefs délais ;
– l’augmentation du nombre de places dédiées aux femmes enceintes et familles hébergées au titre de l’aide sociale à l’enfance sur chaque département ;
– de faciliter la régularisation des personnes en situation administrative précaire hébergées.

 

Ça suffit d’agir en fonction de la pression de l’actualité et du climat ! Nous exigeons des réponses pérennes et de fond.

 

Premiers signataires :

Agir pour la Santé des femmes

Association Aurore

Emmaüs France

Emmaüs Solidarité

Fédération des acteurs de la solidarité

Fédération des acteurs de la solidarité Ile-de-France

Fédération de l’Entraide Protestante

Fondation Armée du Salut

France terre d’asile

Les enfants du canal

Première Urgence Internationale

Réseau EZRA

Samusocial de Paris

Secours Populaire Fédération de Paris

17 septembre 2019


Le 22/09/2019

Bonjour à toutes et à tous,

Je commence par un courrier qui m'a fait plaisir. Monsieur François BAROIN, ancien ministre, actuel maire de la ville de Troyes et Président de l'association des Maires de France vient de me faire parvenir un courrier par lequel il m'informe qu'il a transmis la pétition à l'association des Maires de France, afin qu'elle puisse l'examiner avec attention, dans le respect de la réglementation en vigueur. Nous verrons la suite...

Ce n'est probablement pas grand chose au regard de l'immensité de la tâche à accomplir sur le sujet que la pétition aborde, mais savoir que pour une fois un homme d'État ayant des responsabilités comme Monsieur François BAROIN fasse un geste ça redonne de l'espoir.

Ne lâchons rien !    

Le 13/09/2019

Éradiquer la pauvreté, c’est possible, grâce à l’instauration d’un revenu minimum unique (RMU), dès 18 ans, de 860 euros par mois, soit l’équivalent du seuil de pauvreté à 50 % du niveau de vie médian. Une proposition de Noam Leandri et Louis Maurin, respectivement président et directeur de l’Observatoire des inégalités.

https://www.inegalites.fr/Pour-la-creation-d-un-revenu-minimum-unique

https://www.inegalites.fr/evolution_pauvrete_annuelle

https://www.liberation.fr/debats/2019/09/10/la-france-a-les-moyens-d-eradiquer-la-pauvrete_1750502

https://www.ladepeche.fr/2019/09/12/pauvrete-ces-francais-qui-galerent,8408839.php

Les mouvements sociaux de ces derniers mois ont révélé les multiples fractures affectant la société française et une faible cohésion sociale. Ils ont souligné le malaise grandissant des classes « modestes », particulièrement exposées à la hausse des dépenses contraintes, et qui se sentent menacées de déclassement. Face à cette situation, les mesures récentes en faveur du pouvoir d’achat ont constitué un premier niveau de réponse mais partiel. Retrouver une croissance durable suppose de dégager davantage de richesses et donc d’accroître les gains de productivité de l’économie française en stimulant les investissements dans l’innovation, notamment ceux dans les compétences. Mettre rapidement en place un pacte économique, social et écologique doit permettre de parvenir à la cohésion sociale tout en menant avec détermination les transitions en cours (écologique, numérique et démographique). Refondre notre système fiscal pour le rendre plus juste, plus lisible et plus efficace et adopter une politique volontariste en matière d’investissements publics et privés sont également indispensables.

CESE, 11 septembre 2019

https://www.lecese.fr/content/le-cese-adopte-son-rapport-annuel-sur-letat-de-la-france-2019-cohesion-et-transitions-agir-autrement

Pour Agir en complément de cette pétition, je vous propose sur le thème : "d'Éradiquer définitivement la grande pauvreté en France" de m'envoyer par mail vos propositions, vos idées, vos témoignages, vos initiatives personnelles.

Je m'engage à envoyer vos contributions personnelles au Président de la République, au Défenseur des Droits et aux membres de la commission temporaire "Grande précarité" du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE).

Voici l'adresse mail pour m'envoyer vos contributions : kamalglaive@laposte.net

Un immense merci par avance pour vos contributions qui serviront à faire avancer les choses !


Le 10/09/2019

Il y a 8 millions 700 000 personnes pauvres en France et parmi elles donc, 2 millions 760 000 ont moins de 18 ans. 

Ce qu'il faut retenir, c'est que c'est un million de plus qu'avant la crise financière et que les plus démunis quel que soit leur age ne sont pas comptabilisés.   

Pour l'Insee un ménage vit dans un logement (un logement = une entrée indépendante et le confort de base (kitchenette, salle d’eau)), donc tous les enfants qui vivent à la rue, dans des centres d'hébergement d'urgence, à l'hotel, dans des bidonvilles, mais aussi les enfants placés dans des foyers, des centres pour handicapés, en prison, en centre de rétention parce que sans papier ne sont pas comptés dans les 2 millions 760 000.   Cela peut expliquer que les responsables politiques, les médias et les associations arrondissent à 3 millions d'enfants pauvres, mais 240 000 d'écart, cela fait beaucoup d'incertitude sur le nombre d'enfants invisibles pour la mesure monétaire.     


Quel bilan un an après le lancement du plan pauvreté ?

https://mobile.francetvinfo.fr/replay-radio/le-decryptage-eco/le-decryptage-eco-quel-bilan-un-an-apres-le-lancement-du-plan-pauvrete_3592035.html#xtref=https://www.google.com/

La perception qu'ont les Français de la pauvreté n'est pas raccord avec la réalité. Le dernier baromètre de la Drees, la Direction de la recherche, des études de l'évaluation et des statistiques, montre que pour les personnes interrogés, une personne seule doit gagner 1 760 euros par mois pour vivre. Mais dans les faits, le seuil de pauvreté est bien moins élevé : il s'établit en effet à 1 026 euros pour une personne seule. L'écart entre la réalité et la perception est de 71%…

https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/panoramas-de-la-drees/article/minima-sociaux-et-prestations-sociales-menages-aux-revenus-modestes-et-12002


Pour Agir en complément de cette pétition, je vous propose sur le thème : "d'Éradiquer définitivement la grande pauvreté en France" de m'envoyer par mail vos propositions, vos idées, vos témoignages, vos initiatives personnelles.

Je m'engage à envoyer vos contributions personnelles au Président de la République, au Défenseur des Droits et aux membres de la commission temporaire "Grande précarité" du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE).

Voici l'adresse mail pour m'envoyer vos contributions : kamalglaive@laposte.net

Un immense merci par avance pour vos contributions qui serviront à faire avancer les choses ! 



Le 01/09/2019

Il faut que la voix des hommes sans voix empêche les puissants de dormir."

Abbé Pierre

Il y a 70 ans, ce 1er septembre, était fondée la première communauté Emmaüs par l'Abbé Pierre.

http://m.rfi.fr/france/20190831-abbe-pierre-70-ans-premiere-communaute-emmaues


Le 27/08/2019

« Ceux qui ont pris tout le plat dans leur assiette, laissant les assiettes des autres vides, et qui ayant tout disent avec une bonne figure « Nous qui avons tout, nous sommes pour la paix ! », je sais ce que je dois leur crier à ceux-là : les premiers violents, les provocateurs, c’est vous !

Quand le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits enfants, avec votre bonne conscience, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d’inconscients, au regard de Dieu, que n’en aura jamais le désespéré qui a pris les armes pour essayer de sortir de son désespoir.

Mais nous ne trompons pas, il n’y a pas de violence qu’avec des armes, il y a des situations de violences.

Il y a tel et tel peuple du monde que je connais très bien, où j’ai été tant de fois et où il n’y a plus aucune espérance pour la foule des plus petits. Aucune espérance d’apprendre à vivre. Et j’avais crié, vous les riches – il y a des riches qui sont honnêtement riches – vous avez le devoir de dépenser.

Ceux qui stockeraient dans des coffres de banque de l’or, des bijoux, qui les accumuleraient comme un trésor. Car la fortune dans les temps d’épreuve doit être partagée, venant au secours en créant des entreprises viables pour donner de l’emploi et du salaire. »

Le même discours, à la virgule près, pourrait de nouveau être prononcé aujourd’hui. Car, plus le temps passe, plus il dit vrai. Rappelons notamment que, en 2017, 82% de la richesse produite s’est retrouvée « dans les poches des plus riches de la planète qui représentent 1% de la population ». (Source : Le Figaro)

L’Abbé Pierre n’est plus là pour crier, mais son message résonne encore, plus fort que jamais. À l’image des richesses, certaines colères devraient être mieux partagées. 


Le 23/08/2019

"8,8 millions de personnes vivent dans la pauvreté aujourd’hui en France. Parmi elles, 5 millions affrontent la grande pauvreté et vivent avec moins de 50 % du revenu médian."

"Éradiquer la grande pauvreté à l’horizon 2030 est le premier des Objectifs du développement durable (ODD) adoptés par l’ONU. La France, qui l’a fait sienne, doit passer des déclarations aux actes.
Ce rapport et cet avis ont cherché à démontrer qu’il est ambitieux mais réaliste de se fixer cet horizon, à faire émerger des solutions concrètes pour que les plus pauvres d’entre nous vivent dans la dignité, pour que leur participation à la vie sociale et démocratique soit une richesse pour tous.
Nous pensons qu’il ne s’agit plus seulement d’assurer la subsistance des personnes en situation de pauvreté mais d’activer les leviers qui leur permettront d’en sortir véritablement et durablement.
Ils existent et sont à notre portée, saisissons les."

 CESE, L'Oeil du CESE, Juillet 2019

https://loeilducese.fr/eradiquer-la-grande-pauvrete-a-lhorizon-2030-oui-cest-possible/

 

 


Le 21/08/2019

Pour Agir en complément de cette pétition, je vous propose sur le thème : "d'Éradiquer définitivement la grande pauvreté en France" de m'envoyer par mail vos propositions, vos idées, vos témoignages, vos initiatives personnelles.

Je m'engage à envoyer vos contributions personnelles au Président de la République, au Defenseur des Droits et au Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE).

Voici l'adresse mail pour m'envoyer vos contributions : kamalglaive@laposte.net

Je vous remercie d'avance pour votre participation.

Monsieur Nicolas DUPONT-AIGNAN a déposé à l’assemblée nationale une question écrite portant le numéro 16287 publiée au Journal officiel en date du 29 janvier 2019 à l’attention de Monsieur Julien DENORMANDIE, ministre chargé de la ville et du logement, concernant cet Avis du CESE intitulé “Les personnes vivant dans la rue : l’Urgence d’agir.


Le parlementaire demande au ministre si ces conclusions, qui devaient s’articuler avec le plan pauvreté présenté par le gouvernement le 17 octobre 2018, serviront de bases à des mesures concrètes d’accompagnement social et de relogement à très court terme.


Monsieur Julien DENORMANDIE s’illustrant par son silence, le Député de l’Essonne a donc décidé de renouveler sa question écrite en date du 06 août 2019.


Si le ministre attributaire ne répond toujours pas, le parlementaire le saisira alors directement par courrier postal.


Ce si silencieux ministre chargé de la ville et du logement était avec le Président de la République dans les rues de Paris, en février 2019, lors d’une maraude du Samu Social immortalisée par l’objectif de la photographe officielle du Palais de l’Elysée... Et depuis ? Rien !

Depuis tout ce temps des gens continuent de mourir dans la rue et de survivre comme ils le peuvent.

Le Conseil Économique, Social et Environnemental quant à lui poursuit ses travaux notamment avec la commission temporaire “Grande pauvreté” qui vient de réaliser des travaux d’une très grande qualité.

Le CESE ne peut atteindre ses objectifs qui sont nécessaires et possibles qu’avec la mobilisation de nous Toutes et Tous !

Nous les citoyens de ce si beau pays, la France, c’est à nous de faire entendre à nos dirigeants que nous refusons la pauvreté et voulons une vie digne pour l’ensemble des habitants de notre Pays

Ne lâchons rien ! Ne restons pas silencieux !

http://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-16287QE.htm 

Le 19/08/2019

Les préconisations de l'Avis du CESE "Éradiquer la grande pauvreté à l'horizon 2030" sont déclinées autour de cinq priorités :

1) Instaurer un revenu minimum social garanti.


2) Simplifier l’accès aux droits afin de réduire le non recours qui contribue à aggraver grande pauvreté et exclusion.

3) Reconnaître un droit effectif à l’accompagnement.


4) Créer les conditions pour faire de l’éradication de la grande pauvreté une réalité en 2030.


5)Soutenir l’action des acteurs de la solidarité et la mobilisation de la société en faveur de la lutte contre la
grande pauvreté.

https://www.mutualite.fr/actualites/faire-de-leradication-de-la-grande-pauvrete-une-realite-en-2030/

http://www.gazette-sante-social.fr/53913/les-25-propositions-du-cese-pour-eradiquer-la-pauvrete

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Patrick - Le 17/08/2022 à 12:59:18
Bravo, le combat continue !
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