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Pétition

Je dénonce LE RACISME, LE TRAFIC D'ENFANTS au sein de la France, je viens chercher ma fille !

Je dénonce LE RACISME, LE TRAFIC D'ENFANTS au sein de la France, je viens chercher ma fille ! Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
Ingrid Shan Laghaï
Destinataire(s) :
Robert Ragnar Spano (Président de la Cour Européenne des Droits de l'Homme)
La pétition
Mises à jour

Monsieur Le Président de La Cour Européenne des Droits de l'Homme

Objet : Demande d’acceptation de ma pétition, Demande de votre accord à un procès équitable.



Monsieur Robert Ragnar Spano,



Je me présente Ingrid, une maman d’une fille de 5 ans qui s’appelle Anne-Marie. Je demande le droit à un procès équitable.

Lorsque l’on fait face au racisme et au trafic d’enfants, les voies de recours sont inépuisables car ces injustices durent.
Nous voulons vous mettre en connaissance, ce que nous parents, nous subissons des institutions et des départements en France, ou peut-être partout en Europe. Et nous voulons mettre à terme ces injustices.


Ma famille et moi, nous sommes d’origine polynésienne. J’ai vécu en Angleterre pendant plusieurs années et ma fille est née en Angleterre. Nous sommes venues, ma fille et moi, vivre chez ma mère, en France, dans le Maine-et-Loire.



Monsieur le Président, je vous écris cette lettre
parce qu’il y a du racisme et un trafic d’enfants au sein de la France.


Ma fille m’a été enlevée par les services sociaux à cause des écoles et d’une crèche qui avaient fait des signalements. Le rapport des signalements ne m’avait pas été présenté. J’ai subi un jugement non-équitable. Dans ce jugement, il y a des sous-entendus racistes venant de la juge et de ceux qui ont fait les signalements. C’est pour cela que l’on ne voulait pas me montrer les rapports. Il y avait aussi des choses cachées et non expliquées dans ce jugement, mon avocat ne voulait en rien me mettre en connaissance de ces écrits. C’est pourquoi, je dénonce cette conspiration, cette organisation des institutions et du département pour me prendre ma fille.


Monsieur le Président, nous sommes maltraitées, nous polynésiennes, ici en France, à cause de notre parlé, de nos cultures, de nos langues, de nos foyers linguistiques. A cause de nos différences, nous avions été interdites de converser avec notre famille polynésienne et anglaise. Les institutions françaises nous refusaient même de parler de notre culture et dans nos langues à la maison avec ma fille. On nous a refusé nos droits et notre liberté.


Les services sociaux avec les gendarmes étaient venus jusqu’à nous harceler et nous agresser et arracher ma fille de mes bras parce que ma fille prenait du temps à parler le français car elle conversait en langue. Je voulais l’inscrire dans une école pour étranger mais l’inspecteur de l’Éducation Nationale nous l’avait interdit. Ma fille avait eu des problèmes aux oreilles à cause de ses otites et des acouphènes mais ma fille n’avait pas été soignée et les services ne voulaient pas que je vienne assister ma fille. Je ne sais pas ce qu’ils font à ma fille en ce moment, ils m’ont enlevé mes droits parentaux et je vois par cela qu’il y a danger et abus sur mineur.


J’ai été fracturée au tendon du pied droit avec des bleus sur les bras et ma mère handicapée avait été emmenée à l’hôpital, elle avait failli mourir de sa tension. Nous avions porté plainte contre le département, contre les services, contre les gendarmes et contre les institutions et nous n’avions rien encore entendu du Procureur d’Angers. Et je ne vois toujours pas ma fille.


Monsieur Le Président, nous ne sommes pas les bienvenues ici, nous sommes malmenées et nous savons que c’est du racisme. Les services de l’aide sociale à l’enfance et les institutions ainsi que les autorités françaises ne veulent en rien prendre compte de nos origines et de nos foyers plurilingues et de ses diversités.


Nous ne savons plus à qui nous adresser car nous ne sommes pas entendues malgré nos plaintes.


Les autorités prennent du temps à traiter nos plaintes alors qu’il y a urgence.


Monsieur Le Président, le projet que nous avions voulu faire en France était un projet pour lutter contre le racisme. Un projet reliant à mes origines, à la connaissance des cultures, des races, des langues.


Je voulais, par cela, présenter la Polynésie à ceux qui ne la connaissent pas et qui devraient la connaître puisque nous sommes un territoire français.


Seulement, nous nous rendons compte qu’après m’avoir enlevé ma fille et après avoir refusé mon projet de partage, la France ne respecte plus nos droits et notre liberté.


En Polynésie, nous parlons les langues parce que cela relie à nos familles et nous voyons que les institutions veulent nous enlever cette liberté ou plutôt nous expulser de cette manière.


L’État français devrait préciser clairement s’il n’en a rien à faire de nous et de nos cultures. Ainsi nous saurons ce qu’il en est de nos relations avec lui.


C’est pourquoi nous nous adressons à vous pour que vous nous veniez en aide.


Le racisme naît à cause du manque de connaissance de l’autre.


Le partage de culture apprend à chacun à connaître la différence de l’autre et à comprendre l’autre. Ainsi comprendre les cultures, comprendre ses diversités, diminue la haine raciale. Nous voyons spécialement aujourd’hui qu’il y a un énorme problème avec le racisme.


C’est pourquoi, je voulais introduire la gastronomie locale pour commencer, car elle est très appréciée des polynésiens et des français qui résident en Polynésie.


Malheureusement, tout avait été refusé, nous avions été agressées, épiées et séparées de ma fille.


Je vous explique le tout : mes droits ont été refusés, mon projet piétiné, ma fille enlevée, nous avions été harcelées, épiées, agressées, ma mère avait été amenée aux urgences. Mon avocat avait été influencé, les juges avaient pris des décisions sans préalable et sans ma présence.


Je ne sais pas ce qui se passe avec ma fille en ce moment.


C’est pourquoi, je demande votre assistance avec diligence.


Et à cause de tout cela, je demande à ce que ma fille me soit ramenée et nous vous serions très reconnaissante de nous permettre notre retour en Polynésie.


M. Le Président, il est très important que vous sachiez qu’il y a vraiment un trafic d’enfants au sein de la France.


Les parents qui m’accompagnent et dont leurs enfants ont été placés abusivement, parlent de leurs désarroi avec les services de l’aide sociale à l’enfance et de la justice française.


M. Le Président, il y a preuve d'un trafic d’enfants. Et nous, parents, nous sommes épuisés et nos enfants sont maltraités à notre insu.


L’État finance les départements une grosse somme d’argent pour chaque enfant placé. Les institutions prennent n’importe quelle excuse pour placer les enfants. Elles vont jusqu’à nous cacher leurs propos racistes et nous prendre nos droits parentaux parce que nous avons mis en évidence leurs malveillances et leurs conspirations.


La vrai raison du placement des enfants c’est son financement pour complaire les salaires.


Ces enfants sont devenus des martyres. Je vous dis cela, parce qu’il y a eu des retours catastrophiques. Tous les témoignages sont divulgués sur les réseaux sociaux et tout le monde en parle.


Un père même explique que ses enfants qui ont été placés dans les familles d’accueils avaient été abusées ou peut-être violées et les autorités ne veulent rien dévoiler.


C’est des abus sur mineurs, un crime contre l’Humanité !


Nous avons droit à un procès équitable, nous demandons à ce que ma fille revienne vivre avec sa mère et sa grand-mère. Les autres parents désirent de même.

Voici le témoignage de Nadine Plestan qui dénonce ces faits : 

https://www.facebook.com/jeanlouis.david.50702/videos/172224524486740/?sfnsn=scwspmo


Nous revendiquons nos droits, nous garderons nos langues et nos liens avec notre famille. Nous vous exposerons tout sur ce que nous, parents, nous subissons avec les institutions et avec ceux qui retiennent nos enfants.


Je vous prie, Monsieur Le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, de bien vouloir accepter cette pétition et de bien vouloir me donner mon droit à un procès équitable car avec le racisme et le trafic d’enfants, les moyens de recours ne seront certainement pas épuisés puisque ces injustices règnent. Ainsi d’autres parents courageux et des anciens enfants placés viendront, si possible, donner leurs témoignages, réclamer leurs enfants et demander justice.


Veuillez, M. Le Président, nous aider à mettre à terme ces injustices.


Je vous prie d’agréer, Monsieur Le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, l'assurance de ma très haute considération.


Ingrid

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99 commentaires
Le 16/10/2020 à 11:51:15
LIL FAUT TOUT METTRE À LA LUMIERE .UNE PLAINTE A lA COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME
3 0
Le 18/10/2020 à 01:31:23
Liberté
2 0
Le 12/11/2020 à 07:06:17
Soutien
1 0
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