Le 03/05/2020
Le gouvernement vient d'autoriser l'avortement à domicile par Mifégyne, et ce jusqu'à la 9ème semaine.
C'est faire bon marché de la sécurité de la femme qu'on a parfois su laissée seule à domicile par le géniteur en fuite, et risquant de mourir exsangue.
C'est aussi faire bon marché de son consentement en confinement avec un partenaire qui, lui, est bien là, confiné avec celle qu'il saura contraindre à prendre les comprimés abortifs.
Le 29/01/2020
Bonjour,
Le 23 Janvier, France 2 a présenté une émission "Cet avortement qu'on m'a imposé". Pour deux femmes, c'est leur copain. Pour un homme, c'est lui qui a subi, mais aussi sa copine, mise en conditions par des conseilleurs...qui ne sont pas les payeurs.
Le 19/12/2019
De nombreuses pétitions alertant sur le sort des femmes à la rue circulent.
Elles font bouger des municipalités : Paris a ouvert des locaux en l'Hôtel de ville et certaines mairies, Toulouse a ouvert un ancien EHPAD de 54 places.
Les départements sont tenus d'offrir quelques places (très peu, quand elles existent) aux femmes enceintes à la rue.
Malheureusement, des mâles brutaux jettent dehors leur copine enceinte qui refuse d'avorter.
C'est permis, puisque le délit d'incitation à l'avortement a été supprimé.
Il doit être rétabli.
Le 05/09/2019
Le Gouvernement a fait grand tapage lors de la Journée contre les violences CONJUGALES. Mais battre et/ou jeter une femme enceinte à la rue parce qu'elle ne veut pas avorter, ce n'est pas son problème, même s'il s'agit du CONJOINT et pas du papa, du beau-père, ou du copain d'occasion.
On continue à retransmettre cette pétition à son carnet d'adresses.
Le 08/06/2019
Bonjour à tous.
Il est possible que la pétition piétine (sic) parce que certains pensent que l'avortement devrait être interdit, ce qui freinerait les messieurs qui le "conseillent" à leur copine, voire leur épouse ou leur fille. D'autres pensent que ce n'est pas un problème. Pendant ce temps, les femmes avortées sans miséricorde accumulent de la culpabilité, de la rancœur, du dégoût, voire des désirs de vengeance. Le capital social n'est pas près de se reconstituer.
Le 29/04/2019
Bonjour à tous,
Dans les commentaires: "Une femme est libre, son corps lui appartient." Nul n'avait pensé que l'argument voté par le Parlement pour promouvoir l'expulsion du locataire de ce corps devrait être utilisé par les femmes sous contrainte d'avorter: elles ont le droit de prendre en stop quelqu'un pendant neuf mois.
Le 15/03/2019
Un peu plus de 250 signatures. Il est vrai que notre société est dans le déni pour tout ce qui concerne l'avortement. Certains énoncent crânement: "Il n'y a pas d'avortements sous la contrainte". Peu nombreuses sont les voix qui osent témoigner:
"Je connais trop de femmes qui ont avorté sous la contrainte, y compris des mineures. Elles n'ont pas pu "revenir en arrière" quand elles ont dit qu'elles ne voulaient plus, l'équipe médicale leur a répondu "maintenant que vous êtes là c'est trop tard", alors que rien n'avait été fait ni aucun médicament pris !!! Ces femmes ont vu leur vie être détruite. Je dis STOP !"
Claire - Conflans ste honorine. Diffusez au maximum à vos contacts: il faut briser l'omerta!Le 26/01/2019
Bonjour,
Les 200 signatures ont été atteintes. Pour ce faire, la pétition a été envoyée à tout l'annuaire évangélique (plus de 1000 courriels), à environ 200 pasteurs traditionnels, aux associations pro-vie et aux délégués du PCD (seul parti ayant dans ses buts l'inversion de la politique du tout-avortement).
Elle a aussi été mise sur facebook.
Je pense que nous avons tous une liste de diffusion. La progression arithmétique doit devenir géométrique, sans quoi, encore une fois, les femmes enceintes seront laissées à leurs détresses.
Le 24/01/2019
169 signatures pour la pétition.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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