Suite à cette pétition, la direction a envoyé des représentants à la rencontre des équipages, notamment sur le Danube, la Seine et l’Elbe.
Les langues se délient.
Les membres d’équipage parlent de leurs longues journées de travail, qui mises bout à bout représentent bien plus que les 48h hebdomadaires légales déclarées.
Ils estiment que leur rémunération n’est pas à la hauteur du travail fourni, et encore moins depuis la baisse des salaires constatée au printemps 2024.
Ils ne se sentent pas respectés.
Alors espérons que la direction prendra la mesure du malaise au sein de ses équipes et comprendra qu’il ne s’agit pas simplement de revenir aux salaires de 2023. Il faut que l’organisation du travail à bord soit repensée et que l’entreprise recrute pour mettre en place des roulements.
Remettre au goût du jour la prime versée en 2022-2023, c’est bien. Respecter le code du travail et ses salariés, c’est mieux!
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