Les Hôpitaux de Paris vont devoir sérieusement se serrer la ceinture, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris doit économiser 40 millions d’euros de plus que prévu en 2018. Son déficit se chiffre déjà à 199 millions d’euros. Source AFP.
Combien pour la sécurité sociale ? Par régions ?
Un observatoire des risques encourus, les situations rencontrées, confrontées, stress, pannes d’électricité de bloc opératoire, machines optimisées qui se baladent d’un d’une unité, service, hôpitaux à un autre, des annulations d’opérations, d’arrêts maladies, maladies professionnelles, morts, etc.
Prévention : qui s’en soucie ? L’obsession est à l’économie, même si à la fin, malgré tous les arguments, manifs, suicides, s’en devient obscène, d’une bêtise due à l’entêtement gouvernemental, qui devrait s’y coller à l’économie pour l’exemple ?
Toute une désorganisation qui coûte plus que toutes les économies demandées.
Est -il possible d’envisager des économies dans un secteur où point d’observation, plan de remise en question face à l’effet ''Mondialisation'' sans avoir remarqué, observer, plus de monde aux urgences, avec des infrastructures obsolètes par endroits par manque de subventions, déficit en matériels, outils de travail, soins basiques, effectifs (personnels qualifiés, rémunérés et reconnus (respectés) pour le travail fourni, la charge, l’investissement au-delà parfois de ces horaires, péril de sa santé ?
Partout, le gouvernement prône des économies qui à bien y regarder, l’impact à un effet inverse, en vies, accidents, prises en charge (conditions réunies pour un résultat optimum ?
Car avouons, on ne peut traiter, gérer l’humain en termes de productivité comme une entreprise, si de confort c’est dérangeant ou grand luxe, il est toutefois et incontestable, d’avoir des agents économiques en bonne santé pour faire perdurer un espoir d’une économie florissante, ce qu’on espère, même si demeure à démontrer les utopies et ravages ce capital sauvage qui détruit plus qu’il innove, tente à faire durer ''proprement'' soit bénéfique !
Ici, on dévaste des projets aux coûts exorbitants, d’énergie dépensée en mise en place, répondent à des demandes spécifiques, donc réfléchis par ailleurs, campagne, public âgé, des structures adaptées pour répondre à l’urgence, à moins qu’il faille devoir l’obligation de gouvernement à reconsidérer ce qui vaut ou plus la peine- d’être pris en charge, des vieux, des précaires, mamans enceintes, des cas de maladies invalidantes, lourdes y imposer des critères de sélection, discriminatoires de surcroît, pour enfin imposer ce plan d’économie qui n’en a que le nom, dans notre si bon pays ?
Soustraire le soin remis entre les mains de Privé, certains s’y attellent via de plateformes, sentent le marché bien profitable ? Aux dépens des salariés qui cotisent, paient des impôts, pour certains jadis bien battus cette protection méritée, de combat de longue haleine, un droit ?
Combien ça coûte, d’ajouter la canicule, avec moins de moyens, effectif, un plan pauvreté - social reporté dont les hôpitaux prennent en charge ?
Lieux où sont préservés des corps rendus à la famille, en toute dignité, combien coûtent la gabegie d’incivilités, violence symbolique quand les administrations, le gouvernement n’assume plus avec intelligence, responsabilité ?
Parce qu’en vérité, dépense bien en deçà, puisqu’aucun projet de réflexions n’a été élaboré, piloté, pensé comme nécessité absolue sur une Santé qui change, prise en charge, etc.
À observer, chiffrez ; le vrai coût de l’hôpital- grand défi face à la mondialisation ?
Donc, c’est l’état qui doit aux hôpitaux, personnel soignant d’avoir déjà fait au-dessus des moyens, de leur force, temps, numération ?
Le vrai prix du travail, de la santé ?
Nous les signataires patients et personnels confondus, disons Non, stop pas au prix de nos vies, notre santé, des prises en charge en maltraitance ce dont nous refusons, indignés que nous, nous obligions à travailler à le devenir sans autres alternatives dont vous seriez avertis et au moins, sentiez responsables à vous engager à agir, assumer vos responsabilités- Vous, acteurs représentant la santé, de sa bonne santé !
Nous demandons, plus encore qu’en seule période de canicule, des moyens décents mis à disposition pour prendre en charge correctement, dignes des citoyens, matériels, soins, effectifs, rémunération. Préservez les structures de proximité, de campagne, de régions !
Sans votre adhésion à ce juste sujet digne d’intérêt, salubrité publique, s’avère riche en réflexions et actions rapides, afin de réduire les crises alarmantes, cris aussi - à défaut, il serait propice à déposer une plainte pour non-assistance à personne ne danger, ou-mise en danger de personnes vulnérables, malades, incluant le personnel en surcharge, surchauffe réduisant leurs efforts à presque zéro résultat, contraire à leur activité, conscience, pire, les poussant à la maltraitance, quelque soit les structures, car toutes, plus ou moins touchées.
Signataires patients et personnels soignants confondus disent :
Non, stop ! Et demandent au gouvernement, sa ministre de la Santé, Agnès Buzin, des actions concrètes dans ce sens !