Un médecin a été condamné pour avoir proposé un traitement contre le Covid.
Souvenez-vous, en 2020 personne ne savait soigner le Covid.
C’était l’époque où Sibeth Ndiaye certifiait que les masques étaient inutiles et qu’elle-même ne savait pas comment les mettre[1].
On s’attendait à des centaines de milliers de morts.
Dans cette panique, un hôpital américain communique sur ces statistiques exceptionnelles.
Au plein cœur de la crise, il n’a que 6,1% de décès liés au covid contre 15 à 30% en moyenne dans les autres hôpitaux[2].
Quand le docteur Labrèze tombe sur ces résultats, il fait son devoir.
Il écrit un mail aux autorités de santé françaises ainsi qu’à ses confrères pour partager l’information venue des États-Unis.
Notez bien que ce n’est pas auprès du grand public qu’il communique. Mais bien auprès des personnes qualifiées ayant fait des études de médecine.
Pour cette communication, au terme d’une parodie de procès, il est condamné à 6 mois de suspension.
Déjà que nous sommes en manque de médecins, alors pourquoi nous priver de ceux qui cherchent des solutions ?
Il a fait appel et passe fin février. Mobilisons-nous pour faire pression sur les autorités de santé !
Laissez les bons médecins en paix. Nous ne voulons pas que les traitements qui marchent soient écartés pour des raisons idéologiques !
Notre santé n’est pas à vendre aux lobbies pharmaceutiques !
Le Dr Labrèze dénoncé par les autorités n’est pas n’importe qui. Voyez plutôt…
Condamné pour avoir guéri des patients
Imaginez… Une personne à l’hôpital, sur le point de mourir.
Son état est grave. Inconsciente, elle ne vous reconnait même plus.
Il n’y a aucun espoir de survie selon l’hôpital. Continuer les soins serait de l’acharnement thérapeutique.
Mais un médecin, ami de la famille débarque dans l’hôpital.
Il veut tester une dernière solution.
Après avoir consulté l’hôpital, il administre un nouveau traitement.
Après deux jours de traitement, la personne qui ne parlait plus se remet à plaisanter.
Elle qui ne s’alimente plus que par des sondes, demande des gâteaux. Et même son tricot car elle craint de s’ennuyer.
Mais l’hôpital n’est pas content. Le traitement du médecin n’est pas conventionnel.
Soyons clair, les autorités de l’hôpital ne pensent pas que le traitement est dangereux. Il n’entre juste pas dans leurs critères de performance. Voilà pourquoi ils le refusent dans l’hôpital.
Ils décident alors d’arrêter le traitement (!) et ne proposent aucune alternative.
Pour être sûr que le médecin n’interfère pas, ils lui interdisent l’accès au malade.
Privé de traitement, la personne meurt au bout d’une semaine.
Comment réagiriez-vous si ça arrivait à l’un de vos proches ?
Scandaleux n’est-ce pas ?
Maintenant, essayez d’imaginer si vous connaissiez la personne décédée. Si c’était votre mère ? Votre enfant ? Ou même si c’était vous ?
Peut-être pensez-vous que c’est impossible en France ?
Pourtant, cette histoire est arrivée en France en 2018.
Le docteur Labrèze est le médecin ami de la famille.
Le traitement controversé : 3 grammes de vitamine C injectés directement dans le sang.
L’hôpital qui a interrompu le traitement a poursuivi le Dr Labrèze en justice.
Il lui reproche :
Ce dernier point est particulièrement tendancieux car le docteur Labrèze en a parlé de vive voix avec le docteur en charge des soins palliatifs.
Et ce dernier a même assuré qu’il commanderait les médicaments du traitement.
C’est le monde à l’envers ! Le bon médecin est condamné. L’hôpital qui n’a rien fait est l’accusateur.
Mais dans quel monde vit-on ?
La condamnation honteuse du docteur Labrèze
Résultat, le docteur Labrèze a été condamné à 3 ans de suspension (dont 2 avec sursis).
3 ans de suspension pour avoir essayé de sauver une dame âgée.
3 ans de suspension pour avoir fait son devoir de médecin.
3 ans de suspension pour avoir donné un traitement pratiqué dans le monde entier mais négligé par les autorités de santé française.
Cette histoire prend toute son importance avec le second scandale dont est victime le Docteur Labrèze.
Mais avant d’en parler, il faut évoquer en quelque mots le traitement prescrit par le docteur Labrèze.
Injection de haute dose de vitamine C : de quoi les lobbys ont-ils peur ?
En France, les hôpitaux comme celui sur lequel est tombé le docteur Labrèze ne veulent pas entendre parler des injections de haute dose de vitamine C.
Les laboratoires pharmaceutiques font pression car ce traitement rassemble tout ce qu’ils détestent.
C’est un traitement simple : de la vitamine C.
Qui permet de combattre les infections et booster le corps. Il est si efficace que certaines cliniques l’utilisent pour lutter contre le cancer[3].
Et surtout ce traitement n’est pas brevetable.
Il ne coûte presque rien comparé aux autres traitements hospitalier (en particulier les traitements contre le cancer qui coûtent des centaines de milliers d’euros[4]).
Voici pourquoi, quand en 2020, les lobbys pharmaceutiques voient arriver le Covid, ils se frottent les mains.
Les vaccins à venir vont leur rapporter 12,5 milliards d’euros. Ils risquent même de gagner en image[5].
Alors quand ils voient un hôpital américain annoncer fièrement qu’un traitement si simple permet de soigner le covid, ils font tout pour étouffer la nouvelle.
Dans le traitement contient :
Un traitement sûrement trop simple et pas assez rentable aux yeux des lobbys.
En avril 2020, il fallait sauver les hôpitaux
Quand le docteur Labrèze en entend parler, son sang ne fait qu’un tour. Il sait bien que les autorités de santé n’aiment pas ce genre de traitement.
Mais la situation au 1er avril 2020 exige qu’on aille tous dans le même sens : celui des malades.
A ce moment voici l’état des hôpitaux :


A ce moment, des médecins épidémiologistes prévoyaient jusqu’à 500 000 victimes du coronavirus[6].
Nous étions confinés avec interdiction de sortir de chez nous.
Les autorités de santé nous demandaient de ne pas sortir de chez nous.
C’est à ce moment que le docteur Labrèze communique sur une solution qui peut sauver des vies. Mais par idéologie, les autorités françaises la refusent.
Ils le condamnent même pour avoir osé chercher une solution au Covid.
Nous devons faire front et exiger que le docteur Labrèze soit relaxé.
Traiter un médecin de la sorte est scandaleux. Surtout qu’il est jugé pour quoi ?
Pour avoir informé qu’un traitement efficace et peu couteux existait ?
Cette communication n’était même pas destinée aux malades, mais aux professionnels de santé. Ceux qui sont censé avoir le recul nécessaire pour prendre les bonnes décisions pour leurs malades.
Les autorités de santé l’ont condamné à 6 mois d’interdiction de pratiquer la médecine.
Il a fait appel mais si sa condamnation est confirmée, c’est plus que de 6 mois d’interdiction de pratiquer. Car les 2 ans de sursis lié à la première affaire vont l’obliger à rester en retrait pendant 2 ans et demi.
Son audience est fin février, d’ici là mobilisons-nous.
Si nous sommes des milliers à soutenir le docteur Labrèze, les autorités de santé ne pourront pas l’inculper.
Ils craindront que le scandale éclate au grand jour.
Alors signez en masse cette pétition et relayez la autour de vous.
Gardons nos bons médecins et protégeons les contre la dictature des lobbys pharmaceutiques.
Louis Declerck
Sources :
[1] https://www.ouest-france.fr/sante/masques-de-protection/sibeth-ndiaye-dit-ne-jamais-avoir-menti-sur-les-masques-6987344
[2] https://doyourownresearch.substack.com/p/academic-narrative-enforcers-the
[3] https://riordanclinic.org/
[4] https://www.lesechos.fr/2017/09/cancer-les-francais-nont-aucune-idee-du-cout-des-traitements-182868
[5] https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/histoires-economiques/le-vaccin-anti-covid-rapportera-des-milliards-a-pfizer-juste-remuneration-ou-surprofit-8947727
[6] https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/03/15/coronavirus-les-simulations-alarmantes-des-epidemiologistes-pour-la-france_6033149_3244.html
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