Les conditions de travail en EHPAD sont extrêmement difficiles et les résidents en souffrent.
Merci pour vos signatures, vos partages et vos commentaires. Il nous faut d'avantage de signatures. Partagez en masse cette pétition sur les réseaux sociaux et vos contacts par mail. Rien n'est prévu par l'état pour que nos aînés aient une meilleure fin de vie et des cinditions de vie acceptables.
S'il vous plaît, aidez-nous à donner de l'ampleur à notre pétition. Sans signatures nous n'arriverons pas à défendre une cause nationale qui nous touche tous. Partagez la pétition.
Faute de ressources humaines suffisantes, et malgré l’engagement quotidien des personnels des EHPAD, la prise en charge des personnes âgées, dans ces structures, ne permet pas une réponse satisfaisante à leurs besoins. Il faut plus de personnel. Le personnel soignant n'a pas le temps de s'occuper de manière sérieuse nos anciens. Nous avons décidé de dénoncer les négligences , la maltraitance et les dysfonctionnements qui perdurent. Rien n'est prévu dans l'immédiat pour améliorer la situation. Partagez en masse la pétition s'il vous plaît. Nos aînés ont le droit d'avoir de la dignité en fin de vie.Selon France bleu :
Les personnels des EHPAD de la région sont appelés à la grève par le syndicat FO ce mardi 28 mai. Ils alertent sur le manque de moyens qui les empêchent d'assurer correctement leurs missions.
Des personnels épuisés, débordés, "au bord de la rupture", et des répercussions sur la prise en charge des résidents. La colère gronde dans les maisons de retraite de la région. Le syndicat Force ouvrière appelle les personnels à la grève en ce mardi 28 mai. Il réclame des revalorisations de salaires, de meilleures conditions de travail et le respect de leurs jours de congé.
Constat partagé par les familles de résidents et les associations. "On manque de personnels dans les EHPAD, estime Claudette Brialix, la présidente de l'association Bien vieillir ensemble dans l'Indre. Les conditions de travail des personnels sont extrêmement difficiles. Les résidents en souffrent".
Et cela conduit malheureusement à des situations de maltraitances. "À partir du moment où vous n'avez pas assez de personnels pour s'occuper des résidents, lesquels sont de plus en plus dépendants et souffrant de multi-pathologies, comment voulez-vous qu'il n'y ait pas de fait, non pas de maltraitance individuelle, mais une maltraitance institutionnelle ?, lance-t-elle. C'est parce qu'on a créé ces conditions-là qu'on a une forme de maltraitance".
"La situation se dégrade d'année en année, poursuit Claudette Brialix. Les pouvoirs publics avaient, semble-t-il, pris conscience de la situation. Pendant le Covid, la main sur le cœur, on a promis des choses qu'on n'a pas fait. On allait revoir les conditions de travail, revoir les métiers, revoir les rémunérations, sauf qu'on ne fait rien. Et pendant ce temps-là, les gens sont démotivés. Les personnels les plus âgés démissionnent parce qu'ils n'en peuvent plus, les candidats ne se bousculent pas et il y a des postes non-pourvus"."Nous sommes donc arrivés aujourd'hui dans bon nombre d'EHPAD à un ratio d'encadrement de 5 à 6 personnels pour 10 résidents, détaille-t-elle. Ça ne peut pas bien fonctionner". Selon elle, il faudrait au moins 8 agents pour 10 personnes.
Le lien de l'article :
https://www.francebleu.fr/emissions/trois-questions-a/greve-dans-les-ehpad-les-conditions-de-travail-sont-extremement-difficiles-et-les-residents-en-souffrent-3535533
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