Nous sommes une famille confrontée à la SAE (Service de protection de l'enfance à Ottawa, Canada).
Nous nous défendons seuls car le système local coûte trop cher (350$ une heure de consultation, entre 10 000$ et 50 000$ de frais d'avocats pour ce type de procédure).
Notre enfant est un allergique chronique ayant des réactions extrêmes (convulsions).
Le corps médical canadien, complètement archaïque, pose le diagnostic d'épilepsie et refuse de lire toute la littérature médicale fournie. En France, aucun spécialiste n'a posé ce diagnostic. Des recherches sont en cours en France.
L'hôpital a manipulé les informations afin de corroborer ses dires. Nous avons entamé diverses procédures afin de corriger le dossier. Le système refuse de consulter nos documents.
Nous sommes menacés par la justice et nous refusons de céder car il y va de la vie de notre fils.
Il s'agit d'une affaire complexe de médication impliquant divers intervenants (SAE, Cour, CARPS, CIPVP, CHEO, Archives et par extension le CHUL de Québec) ainsi que deux pays souverains (Canada et France).
Le système, sans preuve concrète, et faisant fi de tous les éléments communiqués, souhaite médicaliser notre enfant. La Cour d'Ottawa est aveugle et la SAE ment. Nous avons toute la littérature nécessaire pour corroborer nos dires.
La mère et l'enfant sont retournés en France pour faire les tests. Le père est menacé par la Cour et la SAE. Il s'agit d'une destruction d'une famille par un système.
Nous souhaitons que la SAE et la Cour de justice lisent le dossier et ne se contentent pas de préjugés.
Il s'agit d'une machine destructrice dont peu de gens parlent mais qui fait souffrir enfants et parents. C'est une autorité omnipotente, criminelle et protégée par la justice. La SAE peut agir en toute impunité et la population est totalement démunie face à ce criminel social.