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Pétition

Pour l’interdiction des vaccins-OGM

Pour l’interdiction des vaccins-OGM Pétition
18.234 signatures
Encore 1 772 signatures pour que cette pétition attire l’attention des journalistes et soit plus susceptible de passer dans la presse.
Pétition soutenue par un Super contributeur
Auteur :
Auteur(s) :
Dr Gonzo
Destinataire(s) :
Autorité de Santé
La pétition

# Nous demandons la révision de la réglementation française et européenne relative aux OGM médicinaux à usage humain et vétérinaire, et l’interdiction totale de leur mise sur le marché. #

La vaccination est un moyen efficace pour lutter contre les maladies infectieuses, et la politique vaccinale doit être poursuivie avec raison, en tenant compte des connaissances médicales et scientifiques, des recommandations internationales, des progrès technologiques et du principe de précaution, et en développant par ailleurs un service public de qualité, capable d’accueillir, d’informer, et de prodiguer les meilleurs soins possibles à tout citoyen, même en cas de grave épidémie.


Or, à la faveur de l’épidémie de COVID-19, les nouvelles technologies vaccinales issues des recherches en thérapie génique (génie génétique), dont l’utilisation était jusqu’alors cantonnée à la recherche ou au traitement de maladies rares, sont portées par l’industrie pharmaceutique comme des solutions novatrices et généralisables pour traiter les maladies, en intervenant au niveau génétique de l’organisme humain.


La vaccination classique, élaborée par Louis Pasteur dès 1885, est la technologie utilisée pour le développement de la grande majorité des vaccins actuellement sur le marché. Ils sont constitués de virus vivants atténués, c’est-à-dire rendus non virulents, qui simulent une infection naturelle et déclenchent des réponses immunitaires. C’est la capacité de notre organisme à garder en mémoire cette réponse immunitaire qui rend la vaccination efficace à long terme. L’atténuation du pouvoir pathogène du virus est obtenue par passage du micro-organisme sur des cultures cellulaires successives ou par voie chimique.


Depuis une dizaine d’année, malgré les restrictions sur les OGM imposées par les directives européennes, des vaccins-OGM (contre la grippe, la dengue, le choléra, ebola) sont mis sur le marché en UE sans que les citoyens européens, très majoritairement contre la présence d’OGM dans les cultures, l’alimentation et les médicaments, n’en soit informés par les pouvoirs publics.


Les techniques dites « de l’ADN recombinant » utilisées pour créer des OGM, végétaux ou animaux, servent également pour fabriquer des vaccins à partir de recombinaisons effectuées chez les virus et bactéries.


Selon Michel Georget, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN : Le Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique.


On retrouve pour ces vaccins à base d’organismes chimériques les mêmes problèmes que pour les végétaux : dissémination de gènes dans une population animale ou humaine avec le risque de recombinaisons incontrôlables.


L’exemple le plus connu des vaccins recombinants est celui des vaccins anti-hépatite B (GenHevac B®, Engerix B®, HBVax DNA® ou Recombivax®). Dans ce cas-là, on n’utilise pas directement le micro-organisme génétiquement modifié mais le produit qu’il génère. La technique consiste à faire exprimer par un système cellulaire (celui du patient) la protéine de surface du virus de l’hépatite B (HBs) grâce à un plasmide recombinant (de l’ADN du virus) introduit dans ces cellules.


Dans un dossier du Centre national d’information sur le médicament hospitalier (CNIMH) consacré aux vaccins contre l’hépatite B, il apparaît que ces vaccins contiennent entre 1 et 30 picogrammes d’ADN résiduel. Cet ADN provient aussi bien des cultures cellulaires (dont certaines, comme les cellules CHO, ont les caractères de cellules cancéreuses) que des manipulations nécessaires à la fabrication des plasmides recombinants. Ces impuretés d’ADN représentent des quantités non négligeables puisqu’un seul picogramme d’ADN représente un milliard de paires de bases. Le risque principal est de voir cet ADN s’incorporer au patrimoine génétique des receveurs et provoquer des mutations par insertion pouvant participer à l’apparition de cancers. Ce risque a d’ailleurs été évoqué dès 1987 par l’OMS dans un rapport d’experts sur « l’acceptabilité des cultures cellulaires pour la production de substances biologiques », rapport dans lequel on peut lire :


 « Un des grands problèmes est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière.


Il faut tenir compte de plusieurs points lorsqu’on fait ces estimations du risque.


Premièrement, tous les calculs sont fondés sur le postulat selon lequel le facteur de risque d’induction tumorale décroît linéairement avec la concentration d’ADN. Ce postulat n’est pas forcément exact, puisqu’une quantité d’ADN qui n’a aucun effet biologique mesurable lors d’un essai normalisé parce qu’elle est présente à une trop faible concentration, peut quand même avoir un effet dans certaines conditions ou sur certains organes ou tissus.


Deuxièmement, on ignore encore si le risque associé à des expositions répétées à de l’ADN agira de façon cumulative ou non.


Troisièmement, il faut envisager la possibilité que les préparations d’ADN qui n’induisent pas de tumeurs dans les systèmes expérimentaux puissent provoquer chez l’homme des modifications susceptibles d’accroître l’incidence de l’apparition de tumeurs après de longues périodes de latence.


Quatrièmement, les expériences conduites sur des animaux à courte durée de vie ne permettent pas d’évaluer les effets à long terme des séquences d’ADN acquises. » »


Source : https://criigen.org/les-vaccins-issus-dorganismes-genetiquement-modifies-2005/ 


Concernant les vaccins OGM dits « vaccin à ADN » et « vaccin à ARNm », ceux-ci fonctionnent sur le même principe que les vaccins à vecteur viral, excepté qu’ici l’information génétique, qui vient « coder » les cellules du patient pour leur faire produire telle ou telle protéine, est directement injectée sous forme de plasmide. Or, en l’état actuel de la recherche, nous ne savons pas comment l’ADN réussit à rentrer dans la cellule ; cependant, une fois à l’intérieur de la cellule présentatrice d'antigène, l’ADN est transcrit et puisque ses peptides sont reconnus comme étant étranger, la cellule va externaliser l’antigène du vaccin.


Sur les vaccins à ADN un rapport du Sénat français conclut que :


« en l'état actuel des choses, plusieurs problèmes se posent :


- si le plasmide étranger s'intègre à l'ADN de la cellule hôte en certains endroits, on ne peut écarter l'hypothèse qu'il active un oncogène, gène déclencheur de cancer ou, à l'inverse, inhibe l'action d'un gène suppresseur du cancer. Même si ce risque semble très théorique aux chercheurs, il doit être très rigoureusement évalué ;


- les connaissances des mécanismes entrant en jeu lorsqu'on injecte l'ADN doivent être approfondies. En effet, si l'on a la preuve que le plasmide pénètre bien dans le noyau des cellules musculaires, puisque la protéine produite est retrouvée à l'intérieur de ces mêmes cellules, on ne sait pas encore très bien comment le système immunitaire prend connaissance de sa présence. »


Source : https://www.senat.fr/rap/o99-020/o99-0206.html


Concernant les vaccins à ARNm, selon une étude publiée le 22 février 2019 dans le Journal of Transnational Medicine :


« Despite the above described adaptations to the IVT mRNA, the emergence of ADA (anti-drug antibody) responses and transient cytokines is still detectable and therefore hampering the clinical applicability of mRNA-drugs, especially when the mRNA has to be administered multiple times. »


Selon cette étude, le corps développe des anticorps contre le vaccin, le rendant potentiellement inutile, et provoque des réactions auto-immunes dont une des conséquences peut être le développement de tumeurs.


La Commission Européenne soumise aux lobbys chimiques et pharmaceutiques.


Le 10 juillet 2020, l’UE a ouvert la porte en grand aux OGM médicinaux en adoptant un règlement qui permet aux fabricants de vaccins contenant des OGM de se passer d’étude environnementale et sanitaire préalable, et de déroger à certaines règles sur les essais cliniques chez les humains, ceci afin d’accélérer le développement et la mise sur le marché de ce type de produit promus par l’industrie pharmaceutique. À la faveur de l’épidémie de COVID-19, l’industrie pharmaceutique est en passe de donner une nouvelle dimension à la commercialisation de ces produits pharmaceutiques constitués ou issus d’OGM. Cette nouvelle réglementation suivait une précommande de 400 millions de doses de vaccins par 4 États européens (France, Italie, Allemagne, Pays Bas) au consortium formé par les laboratoires Astrazeneca (GB) et Novasep (Fr)  pour un vaccin OGM dit « vaccin à vecteur viral » (constitué de virus OGM).


Réaction de Michèle Rivasi, eurodéputée EELV :


« Nous n’avons pas toutes les garanties de leur sécurité. Les dérogations accordées sont contraires au principe de précaution.


Je me suis opposée à ce texte car on enlève les garde-fous nécessaires à la protection de notre santé. Face à ces nouveaux vaccins, nous devons redoubler de vigilance. L’argument de la Commission européenne, à l’origine du texte voté aujourd’hui, disant qu’au vu de l’urgence Covid-19 il faut se passer d’études préalables sur la santé et l’environnement, n’est pas acceptable.


De plus ce texte est arrivé au Parlement européen sous forme d’une résolution d’urgence, sans débat ni audition en commission environnement, ni même de débat en plénière.


L’urgence, c’est surtout de ne pas se tromper en autorisant des produits dont la sûreté n’est pas évaluée. Les vaccins OGM actuellement à l’étude utilisent Crispr-Cas9, une enzyme qui fonctionne comme des ciseaux génétiques. Ces nouveaux vaccins n’ont jamais été évalués de façon complète.


C’est un incompréhensible cadeau fait à l’industrie pharmaceutique et un gros coup de canif porté à la directive européenne sur les OGM, protectrice de l’environnement et de la santé humaine. La directive sur les OGM est un rempart efficace qu’il faut absolument préserver.


Je refuse d’être complice d’une fuite en avant qui nous transforme tous en cobayes ! ».


Source : https://www.michele-rivasi.eu/a-la-une/vaccins-ogm-cest-non


• Pour conclure,


Outre les dangers pour la santé des individus comme pour les écosystèmes, les OGM représentent de fausses solutions qui ne visent en réalité qu’à être des produits rentables pour l’industrie, sans aucune considération éthique, sanitaire, ni écologique. Ils conduisent progressivement à la privatisation du vivant, à des modifications génétiques qui engendreront inévitablement des dégénérescences des organismes cibles, et par voie de conséquence, à l’extinction du vivant. Ils portent ainsi atteinte aux êtres vivants d’une manière inacceptable et irréversible. L’ADN, bactérien, végétal, animal, ou humain, devrait être inviolable, d’autant que la compréhension du fonctionnement du génome par les chercheurs est encore très faible, et les effets à long terme des modifications génétiques infligés aux êtres vivants, inconnus.


C’est pourquoi nous demandons la révision de la réglementation française et européenne relative aux OGM médicinaux à usage humain et vétérinaire, et l’interdiction totale de leur mise sur le marché.


Pour finir, évoquons les dérives qui ne manqueront pas d’advenir si de telles technologies génétiques deviennent le centre de notre philosophie médicale qui, doit on le rappeler, affirme ceci : 


« Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté. »


Un texte de Franck Noir sur l’aspect transhumaniste de ces nouvelles technologies vaccinales, une idéologie qui vise à « améliorer » l’humain via sa modification génétique et son artificialisation, très en vogue chez les milliardaires des GAFAM et de Wall Street :


« La folie transhumaniste.


Le développement de ce qui s’appelle la thérapie génique et dont font partie ces vaccins à mARN est en plein essor dans la plupart des industries pharmaceutiques et ceci pour raison très simple : le développement est extrêmement rentable.


Il est en effet extrêmement simple de générer des chaînes d’ARN, et la recherche se réduit à son plus simple aspect : balancer le gène qui va bien.


Un des points forts de ces thérapies, économiquement parlant, c’est qu’il est reproductible à l’infini. Une nouvelle pathologie ? On envoie un gène. Et pas seulement pour les pandémies virales : tous les traitements pourraient se voir gérés par un simple ajout génétique dans votre ADN. Sur le papier, cela semble prometteur. La réalité, c’est que plus vous injectez des gènes, plus vous modifiez votre code génétique. Vous êtes donc de moins en moins vous-même, et de plus en plus ce qu’on vous a injecté. Nous n’avons aucun recul sur cette pratique : les gènes une fois intégrés ne peuvent plus être supprimés. Vous conservez donc à vie un code génétique modifié, ce qui est d’autant plus vrai si vous avez ciblé les cellules souches de vos différents organes (ce sont les cellules qui remplacent les cellules qui meurent naturellement en se multipliant). Si vous ajoutez de plus en plus de gènes, il est impossible de connaître les conséquences à long terme, et les interactions entre eux. »


Tweet d’origine : https://twitter.com/docteurgonzo4/status/1288371365674987520?s=21

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856 commentaires
Didier - Le 03/08/2020 à 13:50:22
Parce-que je ne suis pas un "rat" de laboratoire soumis à BigPharma et que mon corps m'appartient.
CNCDH : Article 16-1 "Chacun a droit au respect de son corps.
Le corps humain est inviolable. "
Non au vaccin covid 19 obligatoire.
23 0
Nordine - Le 31/07/2020 à 12:43:50
Je suis contre la vaccination forcé mon corp m'appartient et je denonce cette #supercherieCovid19.
18 0
Jacqueline - Le 02/08/2020 à 22:16:44
Je souhaite conserver la liberté de gérer ma santé comme je le souhaite..
15 0
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