Merci pour vos signatures, vos remarques et vos conseils. Partagez avec vos contacts notre pétition et demandez leur de la signer car nous avons vraiment besoin de signatures. En effet, nous nous devons de dénoncer le comportement abusif et inadmissible et les négligences du centre hospitalier car à la date d’aujourd’hui, nous avons déboursé 25 000 euros en frais d’avocats et en obligation alimentaire, alors que notre père détenait une épargne de plus de 30 000 euros.
Réponse au commentaire de Cwiosna du 14 décembre 2020 à 18:24:00
Je recopie le commentaire de cette personne en laissant les fautes de frappe.
Le commentaire est le suivant :
La gestion des Hepad retire et revendique le fait que ce n’est pas leur travail d’informer les familles nous n’avons signer aucune décharge. Ce n’est pas parce qu’une personne est en Hepad que la famille ne peut être présente
Notre réponse :
Madame merci pour votre message car il tombe à pic et nous ne sommes pas d’accord avec vous car dans la vie, il faut assumer ses responsabilités. Je suis vraiment désolé pour cette réponse tardive car j’étais en rééducation cardiovasculaire pendant 3 semaines, suite à un second infarctus, début octobre 2020. De plus, tous ces problèmes ont des conséquences sur nos finances et notre santé. Il perturbent énormément notre sommeil. J’en suis à 4 accidents cardiovasculaires depuis que notre père a été admis en EHPAD et à cause de ces accidents, les médecins m’ont placé, à l’été 2018, en arrêt maladie de longue durée. Je suis forcé de prendre ma retraite à l’été 2021.
Le jour du décès de notre père, à savoir le 23 octobre 2020, notre frère a pris contact avec le médecin coordinateur de l’EHPAD qui lui a dit que ce n’était pas à lui, de contacter la famille pour prévenir de la dégradation de santé de notre père. Quant à sa curatrice, elle a dit également, la veille de sa crémation que ce n’était pas à elle, de nous prévenir que l’état de santé de notre père s’était dégradé mais au service. Elle n’était même pas au courant que notre père était mourant. Pour finir, l’infirmière de notre père s’est excusée auprès de notre sœur, en lui disant qu’elle était en congé et que si elle avait été là, elle nous aurait prévenu. Lorsque notre père est décédé, le personnel était en sous effectif.
Ce qui est inadmissible et écœurant, c’est de ne pas associer les descendants à la décision de placement en milieu médicalisé et il est un peu trop facile, de se retrancher derrière le « secret médical », pour ne pas avoir de comptes à rendre aux descendants. De plus, ce qui est insupportable et injuste également, c’est de prendre des personnes âgées valident, de faire payer le maximum en frais d’hébergement et en frais de dépendance, alors qu’il n’y avait aucune raison médicale. Nous étions impuissants face à un organisme public et à l’administration.
Il est important de rappeler qu’en mars 2013, le centre hospitalier Camille GUERIN à CHÂTELLERAULT (86) nous a directement assigné en justice, en prétextant que notre père n’avait pas les moyens financiers de payer son hébergement, en milieu médicalisé. De plus, il a indiqué aux différents juges que notre père ne détenait aucune épargne, lui permettant de financer son hébergement. Depuis le début de l’assignation en justice, nous avons découvert de nombreux dysfonctionnements qui sont rappelés dans les différentes mises à jour de cette pétition. Que de gens malhonnêtes dans cet organisme. Il est important de signaler qu’à cause de cet l’EHPAD, le village à Châtellerault, nous (les 4 enfants) avions coupé toutes relations avec notre père, le jour où nous avions reçu la convocation du juge. De plus, nous étions très sceptiques sur les raisons qu’il avait amené a admettre notre père en urgence, en moins de 10 jours et nous émettions des réserves sur son état de santé, sa perte d’autonomie et la procédure d’admission. De plus, nous sommes avec notre sœur aînée à 25 000 € en frais d’avocats et en obligation alimentaire et ce n’est pas fini.
Il faut savoir que notre père était malade, il souffrait d’une paranoïa aiguë (très sévère) qui s’était aggravée avec l’âge et sa retraite. Il était un bon comédien, un excellent manipulateur et il souhaitait depuis des années, que ses propres enfants soient assignés en justice.
Courriers transmis au directeur de l’organisme en 2013
De plus, en 2013, nous avions transmis 2 courriers au directeur de cet établissement et notre avocate lui avait posé de nombreuses questions. Il n’a jamais pris le soin d’y répondre, alors qu’elles étaient légitimes et concernaient son l’état de santé, ses ressources, ses charges et les prestations de l’EHPAD. Nous demandions notamment :
* A avoir des informations sur l’état de santé de notre père, sa perte d’autonomie et la procédure d’admission qui ont permis, une entrée précipitée en milieu médicalisé ;
* Un état détaillé avec explication des différentes prestations facturées à notre père, à savoir les frais d’hébergement et les frais de dépendance ;
* Connaître le bilan de santé de notre père justifiant une entrée précipitée en milieu médicalisé ;
* Voir le contrat de séjour signé par notre père contenant le forfait journalier et les frais annexes, le questionnaire de santé, le dossier médical de préadmission rempli par le médecin traitant indiquant sa dépendance.
Nous nous sommes toujours à la recherche d’un média pour dénoncer au niveau national, les abus de cet EHPAD et l’enfer que nous subissons depuis 2013 avec la justice, l’administration, l’ex président du conseil départemental de la Vienne, à savoir Mr Belin Bruno et une avocate véreuse de Montpellier, à savoir Maître Warocquier car notre père est décédé le 23 octobre 2020 et l’administration vient d’initier, à tort, une saisie administrative sur nos salaires, alors que nous venons de découvrir que notre père a fait fortune en EHPAD.
Harcèlement de l’administration, mise en demeure de payer et saisies sur salaires, à tort
En effet, nous disons depuis janvier 2015, à l’EHPAD, à la justice, à l’administration et à l’ex président du conseil départemental de la Vienne, que notre père détenait une épargne conséquente et à chaque fois, tous ses organisme disaient le contraire. De plus, depuis 2015, l’administration et l’ex président du conseil départemental de la Vienne nous mettent la pression pour que nous payons l’obligation alimentaire et ont mandaté des huissiers de justice, nous ont transmis des lettres de relance, des mises en demeure de payer et ont effectué des saisies sur les salaires de notre sœur aînée.
Une honte ces EHPAD, qu’ils soient publics ou privés, ils doivent détailler et justifier aux résidents ainsi qu’à leurs familles les frais d’hébergement, les frais de dépendance et les soins prodigués à leurs résidents. C’est un véritable scandale et une honte CAR lorsqu’ils mettent en place des mesures de protection juridique, UNE FOIS QU’ILS ONT LA MAIN SUR LES COMPTES BANCAIRES DE NOS AÎNÉS ET LEURS COURRIERS, ils se servent ET LES DÉPOUILLENT, SANS RIEN JUSTIFIER. bien que nous étions ses enfants légitimes, que nous portions le même nom que lui, nous avons été considérés comme des étrangers et avons été écartés et exclus de tout, c’est à dire de son état de santé, de sa détérioration, de son suivi médical, des tarifs, du GIR, des soins prodigués, des aides du conseil départemental de la Vienne, de sa dette jusqu’en mai 2019, de ses impayés, de ses dépenses, de ses déplacements à l’étranger, de ses retraits par carte bancaire, de son épargne et de son montant, etc. Nous ne pouvons pas laisser S’ENRICHIR LES EHPAD ET LAISSER passer toutes ses aberrations ET TOUTES SES NÉGLIGENCES.
Le 27 novembre 2020, nous avons découvert sur un relevé de compte bancaire de notre père, au 5 décembre 2020, qu’il détenait un solde créditeur de 14 877,16 €. Théoriquement, il était en défaut de paiement, n’avait pas les moyens financiers de payer son hébergement et selon l’EHPAD, il ne détenait pas d’épargne. Faisons en sorte que les citoyennes et citoyens français sachent qu’il est possible de s’enrichir en EHPAD. C’est un scandale et ce n’est pas fini.
Dettes de notre père
En mai 2019, la direction des finances publiques de Poitiers nous a indiqué que notre père leur était redevable d’une somme de 24 185,20 € et en récupérant les affaires de notre père, nous avons trouvé un courrier de la même direction et sa dette s’élevait au 7 février 2020 à 21 731,32 €.
Sa dette a diminué en moins d’un an ?
On ne sait pas pourquoi mais ce n’est pas normal et nous ne connaissons pas le montant de sa dette à son décès mais comme il avait toute sa tête, qu’il se trouvait en pleine possession de ses facultés mentales et qu’il pouvait subvenir, sans aide à ses besoins vitaux, il a fait ce qu’il voulait de l’EHPAD. En effet, il trouvait que l’EHPAD était chère et au lieu de financer son EHPAD, il avait effectué des achats par carte bancaire ou chèques, il s’était rendu 2 fois, en septembre 2014 et en septembre 2015, seul en Suisse pour consulter un spécialiste du dos et il faisait des retraits conséquents dont le plus important, un retrait de 820 euros en novembre 2015. Pour nous, il n’avait rien à faire en milieu médicalisé.
Épargne de plus de 30 000 euros confirmant que notre père n’a jamais été en défaut de paiement
Le 3 décembre 2020, en toute honnêteté, nous avons transmis un mail au trésor public de Châtellerault, afin qu’il récupère les 14 877,16 €. Notre idée étaient de faire diminuer sa dette. Le 4 décembre 2020, à notre grande surprise, nous apprenons, qu’au nom Remoissenet, rien n’est du en tout cas chez eux. La tutrice de notre père aurait soldé sa dette, sans plus de précision.
Nous comprenons maintenant pourquoi, il avait au 5 novembre 2020, un solde créditeur de 14 877,16 €. Sa tutrice n’aurait jamais laissé, une telle somme sur son compte, si notre père avait encore des dettes, vu qu’elle avait accès à ses comptes bancaires. Début décembre, nous avons contacté son agence bancaire, afin d’avoir un éclaircissement sur les 14 877,16 € et sa tutrice avait fait fermer son compte.
Si sa tutrice a vraiment soldé sa dette, cela signifie qu’il détenait une épargne de plus de 30 000 euros sur son compte car 24 185,20 + 14 877,16 € = 39 062,36 €. Nous ne pensons pas qu’avec une épargne de 39 062,36 €, que notre père était en défaut de paiement. Où placer le curseur ?
Est-on vraiment en défaut de paiement avec une épargne de 39 062,36 € ?
Obligation alimentaire des descendants
Le 11 décembre 2020, nous avons reçu de l’administration une notification de saisie administrative (saisies sur salaires) d’un montant de 4 050 €, chacun. C’est la troisième fois que notre sœur reçoit une saisie sur salaires. Nous avons signalé à l’administration que notre père avait une épargne de 14 877,16 € et elle ne veut rien savoir car ce sont des juges qui ont fixé la contribution financière et seul un juge peut stopper la saisie administrative. Ce qui est inadmissible, c’est que nous avons été assignés en justice à tort car notre père détenait bien une épargne. De plus, sa tutrice aurait soldé sa dette, en oubliant les obligés. En effet, l’administration dissociait ce que payait notre père de l’obligation alimentaire. Nous allons donc avoir, des saisies sur nos salaires et nous ne pouvons pas récupérer les 14 877,16 € car il faut faire appel à un notaire et payer des frais de successions.
Nous venons de ressaisir le juge aux affaires familiale de Poitiers, les procureurs de la république de Montpellier et de Poitiers et le Bâtonnier de l’ordre Maître Levy Rémy, afin la justice nous stoppe les notifications de saisies administratives. Nous avons mis le Bâtonnier de Montpellier car il protège notre avocate malhonnête