Nous indiquions également, qu’après l'admission de notre père, il y avait eu de nombreux dysfonctionnements et un grand manque de communication entre cet établissement et les descendants. Nous aurions privilégié le maintien à domicile mais on ne nous a pas laissé le choix et notre père avait été admis, en urgence, en moins de 10 jours. Il est important de rappeler que nous avions été directement assignés en justice car cet organisme avait prétexté, à chaque fois, et sans le démontrer, à la justice que notre père n’avait pas les moyens financiers de payer son hébergement, en milieu médicalisé (obligation alimentaire). De plus, on ne savait pas ce qu’il faisait réellement payer à notre père (frais de dépendance, frais d’hébergement et soins prodigués).
Ce qui est inacceptable et inadmissible, c’est de ne pas associer les descendants à la décision de placement en EHPAD et il est un peu trop facile, de se retrancher derrière le « secret médical », pour ne pas avoir de comptes à rendre aux descendants. Vous n’êtes informés de rien et c’est la justice qui fixe la contribution. Quant à l'administration, elle s'appuie sur les décision de justice pour récupérer l'obligation alimenatire. Vous ne pouvez plus rien faire, vous êtes obligés de payer et si vous ne payez pas, on vous envoi des huissers de justice ou l'administaion effectue des saisies sur vos salaires. .
Lorsque notre père est entré en EHPAD, il n’avait soit disant pas les moyens financiers de payer son hébergement, il n’avait pas de bien immobilier, ni d’action en bourse et il était à la retraite depuis 19 ans. Il est décédé le 23 octobre 2020.
Cet EHPAD a pris notre père, sans aucune raison médicale car il avait toute sa tête, il se trouvait en pleine possession de ses facultés mentales et il pouvait subvenir, sans aide à ses besoins vitaux.
A titre d’exemple, notre sœur aînée a récupéré toutes ses affaires, ses relevés de compte bancaire et les avis des sommes à payer de l’EHPAD. Il s’avère qu’il faisait lui-même ses comptes et payer lui-même les sommes demandées par la maison de retraite médicalisée. Il avait effectué ses comptes, jusqu’en mars 2017, puis ensuite, il a été placé sous mesures de protection juridique. Une personne grabataire, en fin de vie ou atteinte de maladies dégénératives ne ne règle pas, seul, sont hébergement.
La semaine dernière, cet établissement a renvoyé à notre sœur aînée, les courriers de notre père et il y figurait un relevé de compte de la caisse d’épargne avec un solde créditeur, en date du 5 novembre 2020, d’un montant de 14 887,16 €.
Nous ne savons pas d’où sorte cet argent mais nous avons été assignés en justice, à tort car notre père n’a jamais été en défaut de paiement mais nous sommes impuissants face à un organisme public et a l’administration. En faisant appel à l’obligation alimentaire, le centre hospitalier a indiqué à la justice que notre père n’avait pas les moyens financiers de payer son hébergement et la justice nous a fixé une contribution, à tort. Inadmissible cette justice car les juges se sont plantés.
Nous avons perdu 22 000 euros en frais d’avocats et à cause du centre hosptalier et de l'administration, j’ai eu 4 accidents cardiovasculaires et notre sœur aînée a eu plusieurs arrêts maladie et elle a perdu des primes de fin d’année.
Une honte cet EHPAD et l’administration a suivi cet établissement car c’est un organisme public. Nous ne savons pas comment cela va se terminer mais nous n’avons plus confiance en la justice et aux avocats et nous avons perdu beaucoup d’argent.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.