3.2 millions de personnes exposées. La réalité du « burn out », c’est l’invisible qui fait mal et un drame humain, personnel, familial et social.
Cela n’est certainement pas une maladie psychiatrique, même s’il s’exprime de cette façon ou à la manière d’une maladie psychosomatique.
L’épuisement professionnel guette chacun d’entre nous et les facteurs de déclenchement ne manquent pas : surcharge de travail, contraintes administratives, relations avec le public, etc.
Face à cette souffrance professionnelle, la première démarche est d’oser en parler, de ne pas sous-estimer ou nier le problème.
Face à une jurisprudence pourtant abondante, les RH restent souvent maître du jeu, les représentants syndicaux impuissants, le collectif muet et le droit du travail bafoué en dépit des alertes formulées dans les instances officielles comme les CHST, les DUERP et autres usines à gaz qui donnent bonne conscience mais dont l’efficacité n’est pas prouvée.
Le silence tue, ce sujet ne doit plus être tabou.
Beaucoup de personnes se débattent seules pour tenter de faire respecter, reconnaître leurs droits, d’autres plus résignées tentent de survivre.
L’heure n’est plus au combat isolé, il faut collectivement agir.
Signez cette pétition, faites la circuler, demandez le questionnaire. Des plaintes collectives par département seront déposées pour redonner de la dignité à tous ceux qui finissent par être oubliés et/ou méprisés de leur RH, après avoir largement contribué au bien être de leur milieu professionnel.
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