Une année scolaire se termine et, déjà, l'association « « Nos cerveaux dysfèrent » est au travail pour préparer la rentrée de septembre.
Autrefois, on dirigeait ces enfants vers des « écoles spéciales », mais aujourd’hui, il est enfin reconnu qu’une école inclusive était le meilleur moyen de donner une pleine place aux enfants souffrant de troubles.
L’enfant va grandir dans le parcours classique et ainsi prendre une place dès l’enfance dans cette société dans laquelle il devra vivre avec ses troubles arrivé à l’âge adulte.
Différents, mais des opportunités identiques
« Nos cerveaux dysfèrent », le nom de l’association invite déjà à une attention plus particulière aux enfants dont les cerveaux fonctionnent de manière différente. Ils ne sont pas moins actifs et emplis de potentiels, mais leurs moyens d’atteindre un objectif passeront par d’autres chemins.
C’est pour cette raison que régulièrement l’association organise une journée de rencontres et d’information.
Au début du mois, l’association proposait un « café papote » pour rencontrer les parents qui se posent des questions.
Des parents qui vont ainsi enfin pouvoir comprendre les angoisses, les silences, les emportements. Avec l’association, ils bénéficient de l’expérience de toutes ces familles qui luttent depuis de nombreuses années et dont les enfants sont parfois devenus des préadultes.
L’association accompagne les familles avec des conseils et leur faire reprendre pied.
Un pas en avant
Dyslexie, dysorthographie, dyspraxie, troubles de l’apprentissage, de langage, de mouvement, de concentration, d’organisation, de mémoire, de langage, de perception… les dysfonctionnements sont nombreux, mais heureusement mis en lumière depuis des années.
Aujourd’hui, on peut agir parce que le diagnostic est posé. Heureusement, les associations sont sur le front et c’est notamment le cas de « Nos cerveaux dysfèrent » à Montmirail.
Myriam et Béatrice gardent le sourire et elles ont raison. Leur travail porte ses fruits. À l’aube d’une année scolaire nouvelle, il est plus que jamais important de faire le pas vers l’association pour tenter de trouver des solutions.
Pendant ces vacances, il faut aussi préparer la rentrée et la préparer avec soin pour donner un maximum de chances de réussite.
Les bénévoles de l’association sont joignables via leur page Facebook « Nos cerveaux dysfèrent » ou par téléphone au 07 49 17 04 00. Mail : [email protected]
Ne pas oublier leur chemin d'adulte car ils ont droit a une vie normale et épanouie.
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