Les vaccins expérimentaux Covid19 en Phase III des essais cliniques sont interdits à la vente lorsqu’il existe un traitement.
Actuellement il existe des traitements, aussi bien en préventif et en curatif, outre l’annonce de la publication scientifique du Prof Raoult le 27.05.21 à propos du HCQ + AZ, la Cour suprême en Inde (contre l’avis de l’OMS) vient d’autoriser l’ivermectine, tout comme l’Argentine, avec des résultats au bénéfice des patients et des praticiens de santé, pour ne citer que ceux-là.
Cela signifie que toutes les décisions d’application de la Commission européenne concernant l’octroi des autorisations conditionnelles de mise sur le marché de médicament à usage humain « Vaccin COVID-19 » sont devenues CADUQUES depuis la disparition au 27.05.2021 de la condition d’absence de l’existence de traitement, telle que visée à l’article 4, c du RÈGLEMENT (CE) No 507/2006 DE LA COMMISSION du 29 mars 2006 relatif à l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins covid-19 relevant du règlement (CE) no 726/2004 du Parlement européen et du Conseil, et que la vente de ces vaccins expérimentaux en Phase III des essais cliniques est (devenue) illégale.
Depuis mars 2020, le droit de soigner et d’être soigné a été mis à mal, en violation du principe PRIMUM NON NOCERE, des décisions politiques et une propagande effrénée ont court-circuité l’exercice normal de la médecine et de la prodigation des soins médicaux aux patients par les médecins et les infirmières, entre autres.
Les informations à fournir aux patients avant toute vaccination n'ont pas lieu ; les centres de vaccinations ne remplissent pas ce rôle, puisqu'on a écarté le médecin traitant, seul connaisseur de l'état de santé de son patient et habilité à déterminer si cette piqure expérimentale est dangereuse ou non pour son patient.
Des personnes décèdent jeunes de la vaccination, alors que ces mêmes personnes ne seraient pas décédées du covid: il est urgent d'arrêter ce génocide
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