Faute d’un traitement véritablement efficace, tous les efforts de lutte contre le coronavirus ne se préoccupent que de prévention et de protection, n’abordant ainsi qu’un aspect de la pandémie, celui du virus.
Changeons de paradigme et soucions-nous du patient en suivant la proposition du professeur Claude Bernard, célèbre médecin du 19ème siècle : « Le microbe n’est rien, le terrain (patient) est tout ».
Pour l’heure, quel est ce terrain et comment doit-il être ?
Un peu de physiologie.
Le terrain est celui de la sphère broncho-pulmonaire et plus particulièrement de la paroi des alvéoles , très mince frontière (une seule couche de cellules) entre milieu intérieur (le sang venant du ventricule droit) et le milieu extérieur (l’air inspiré).
Eu égard à la fragilité de la frontière et à sa sensibilité, l’air inspiré doit, idéalement, être purifié, dépoussiéré, humidifié et réchauffé. C’est la fonction des voies aériennes supérieures (cavité nasale, sinus, gorge) qui constituent les trois premières lignes de défense contre le coronavirus (comme contre les bactéries, les microbes, les pollens ou les poussières).
Ce temps de lutte est le temps de l’infection virale pendant lequel l’organisme se défend.
Si ces lignes de défense sont dépassées, le virus véhiculé par le flux d’air inspiré parvient au niveau des alvéoles où la défense se poursuit sous forme de réaction histaminique avec production d’une œdème, lequel va réduire l’assimilation de l’oxygène de l’air.
C’est le début des problèmes avec le temps de la réaction inflammatoire dont les conséquences sont comparables à celles du filtre à air encrassé d’un moteur de voiture. Cette inflammation conduit trop souvent le patient dans les services d’urgence.
La technique Coccinelle.
C’est avant cette étape que l’usage des ventouses présente tout son intérêt. Cette technique (sympathiquement baptisée « technique Coccinelle » par une petite fille découvrant les marques rondes des ventouses sur le dos de sa grand-mère :
« Mamie, tu ressembles à une coccinelle »), permet de stimuler le tissu réticulo endothélial responsable de la défense de l’organisme, de favoriser l’assimilation de l’oxygène et d’améliorer la ventilation diaphragmatique.
Technique.
Les ventouses de la technique Coccinelle sont placées judicieusement sur des points d’acupuncture, à deux centimètres de part et d’autre de la colonne vertébrale, au niveau des onzième, septième et troisième vertèbres thoraciques.
Avantages.
Reprenant une très ancienne pratique, très largement répandue depuis plus de 3000 ans, la technique est
- très facile à apprendre et à mettre en œuvre
- sans risque ni effets secondaires délétères.
Il n’est pas question de négliger les recommandations officielles, ni de rejeter la vaccination.
Mais la facilité d’apprentissage et d’application, l’absence de risques et d’effets secondaires permettent une très large et très rapide mise en œuvre, évitant ainsi les dangers de la phase inflammatoire et bon nombre d’hospitalisations.
Proposition finale.
Après un test PCR positif, en l’absence de traitement curatif, il est juste conseillé de s’isoler.
Pourquoi alors ne pas avoir recours à la technique Coccinelle qui a fait ses preuves ?
Je considère avoir eu la chance de recevoir cette information. Il me semble normal de la partager. La conserver égoïstement s’apparenterait, pour moi, à un délit de non- assistance à personne en danger.
FR
EN