C’est une attaque d’une gravité extrême contre le pluralisme et l’alternance démocratique dans notre pays.
Confronter aux refus des banques privées et à la promesse non tenue de Macron de créer une banque de la démocratie, le RN n’avait pas d’autre solution que d’appeler au soutien, en proposant « un grand emprunt national » afin de financer ses campagnes a venir pour représenter tous ses électeurs.
Aujourd’hui, on voudrait les accuser d’avoir contracté des prêts auprès de particuliers alors même que :
- La CNCCFP n’a jamais émis la moindre objection
- Le SCBCM a validé le « grand emprunt national »
- L’état français se portait garant en cas de défaut de paiement du RN
Regardons un paragraphe de cette convention de prêt :
« Par la présente clause, l’emprunteur entend céder au préteur, Mr Martin, sa subvention publique annuelle de l’année x, à hauteur du capital prêté par le présent acte, soit ... €. Le débiteur de ladite subvention est l’état Français, pris en la personne du Ministère de l’Intérieur, service du contrôleur budgétaire et comptable, immeuble Lumière, 40 avenue des terroirs de France 75012 Paris. La présente session est ainsi consentie a la garantie du prêt susvisé. Le préteur, bénéficiaire de la dite cession, se réserve la possibilité de la notifier au ministère de l’intérieur, débiteur cédé, ce dernier devant alors lui régler directement sa créance. »
Alors si le parquet financier accuse le RN de ne pas rembourser ses prêts, de ne pas respecter ses engagements pris auprès de ses soutiens, alors exigeons de l’État français qu’il honore ses engagements puisqu’il se portait garant !!
Ne les laissons pas entraver notre démocratie, soutenons le premier parti de France !
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