Soutenir une chasse écologique qui participe aux défis environnementaux

A l'heure où la ruralité, l'art de vivre dans nos belles campagnes sont mis en cause sans arrêt par de pseudos écologistes n'y vivant pas, il est urgent de continuer et de soutenir l'intelligente réforme récemment mise en place concernant la participation des chasseurs au maintien et à la préservation des milieux et de la biodiversité, à la gestion dynamique et raisonnée des espèces, à leur participation active et financière à la régulation des espèces invasives, aux études scientifiques déjà financées par eux, aux réintroductions initiées par eux.

Seuls les chasseurs financent les dégâts causés par la grande faune sauvage aux cultures : élargissons le cercle à tous ceux qui se revendiquent protecteurs ou anti chasse en adhérant aux associations qui militent contre la chasse. Les animaux sauvages sont un bien commun : qu'ils en assument une partie puisqu'ils souhaitent les voir proliférer.

L'animalisme anthropomorphique et sentimentaliste, très à la mode aujourd'hui, soutenu par des gourous bien en vue dont c'est le fond de commerce, doit être combattu. L'Homme qui vit dans la Nature et de la Nature l'aime et la protège, la façonne et l'entretient, la surveille parce que c'est son environnement direct, son fondement au quotidien : il serait dangereux de vouloir l'en extraire sous prétexte d'un sentimentalisme débridé.

La chasse est un lien profond qui unit les hommes et les femmes de nos campagnes. Couper ce lien serait symptomatique d'une volonté de détruire un tissu complexe et harmonieux, édifié de longue date, sans autre argument qu'une bien-pensance moralisatrice.

L'animal sauvage doit être maintenu dans l’état où la Nature l'a placé, il ne doit en aucun cas être magnifié, détesté, surprotégé ni totalement détruit. Lorsque sa place est celle de la proie, qu'il reste proie. Mourir sous la balle d'un chasseur n'est ni pire ni meilleur que de mourir sous les crocs d'un loup, d'un ours ou d'un lynx. Et c'est bien souvent plus rapide mais moins médiatique...

Respectons simplement les lois naturelles et admettons enfin que l'Homme est un prédateur par Nature. Tout prédateur respecte le milieu dans lequel il évolue... Seuls ceux qui n'y vivent pas l'ignorent.

SOUTENEZ LES ÉVOLUTIONS POSITIVES DE LA REFORME ACTUELLE DE LA CHASSE !