les sociétés immorales

Au sein du système des opposants (comprendre des opposants à la vie, c'est à dire les capitalo-industrieux-lobbyistes-matérialistes-neo/libéraux) rien n'existent sans statut juridique.

Leur système est un monde d'idées, sans rapport avec la réalité, avec la vie, la nature… en un mot la sensibilité; voilà pourquoi la vie passe après… que des forêts, des rivières… des êtres vivants sont malmenés, détruits, sous l'action légale d'entité juridique.

Sans statut juridique les opposants ne sont pas en mesure de considérer la liberté et les droits naturels innés des êtres vivants; une fois leur existence reconnue (comprendre présente dans leur système, en tant que personne) des droits et devoirs leur sont alors amputables, dont celui d'être commercialisé, et défendu.

Le bon sens, l'ampathie, la compassion, toutes ces convictions chère à l'humanité n'ont pas de valeurs : elles ne permettent pas de gagner de procés.

La personne (dont le sens original, étymologique… signifie "masque", masque social) est l'entité juridique la plus répandue; elle trouve les prémices de son utilisation dans notre passé royal et la notion de bienséance, cette hypocrisie qui tends a feindre un comportement pour plaire, pour se conformer.

En regardant les textes, chartes et déclarations fondamentaux il y ait fait mention de la "personne humaine" bien plus que d'être humain… la personne humaine (réfèrence cognitive, psyché) est beaucoup plus protégé et respecté que l'être humain (référence empirique, sensibilité).
Ainsi l'individu, ces caractéristiques, son originalité, son unicité… ne sont pas facilement défendable.

Les sociétés sont une forme de personnalité juridique, il leur est fait référence sous l'intitulé de "personne morale", ce qui peut sembler ironique car n'étant qu'idée… elles ne possédent aucun attribut qui pourrait leur permettre la moindre once de moralité, et on constate plus souvent qu'a son tour des actions allant à l'encontre de la vie (il suffit que la loi n'interdit pas pour justifier la destruction de forêts, d'écosystèmes, la fermeture d'écoles… de petites structures essentielles, ect.)

De plus, utiliser le terme "morale" a leur égard a tendance à leur préter une connotation humaine, qui certes peut leur être utile pour assoir leur notoriété non méritée et leur permettre de faciliter leurs manigances commerciales; mais cela reste totalement irrrévérencieux.

Ainsi il serait plus juste… plus transparent, de se référer à ces entités comme des "personnes immorales", un statut qui leur sied mieux.