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Pétition

Sanctionner l'échec: réduction de moitié des revenus de tous les parlementaires.

Sanctionner l'échec: réduction de moitié des revenus de tous les parlementaires. Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
Les électeurs et contribuables
Destinataire(s) :
Le président de la République, le conseil des ministres, le parlement et le sénat
La pétition

 


Nous, peuple de France, électeurs et contribuables, demandons la mise en effet immédiate d’une réduction, à effet rétroactif à partir du premier Juin 2020, de cinquante pourcents des revenus de tous les parlementaires et leurs représentants directs. Cela va dans l’ordre hiérarchique du Président de la République et de ses collaborateurs directs et désignés, jusqu’aux maires exclus.


 


Alors que nous avons entamé une des crises financières des plus graves de notre ère, alors que la plupart des français ont été ou seront soumis à des baisses de revenus conséquentes, ce n’est pas le cas des parlementaires et élus.


Et pourtant…


Au cours des dernières années, les gouvernements successifs et leurs oppositions se sont montrés incapable de préparer la nation pour des crises annoncées depuis plusieurs décennies, qu’il s’agisse de la gestion des retraites, des contraintes environnementales, migratoires démographiques, économiques ou sanitaires.


En fait, si tous les élus sont en place pour préparer le pays, assurer son futur et planifier les crises afin d’en amenuiser l’impact, il semblerait que ce sont là exactement les choses qu’ils se sont révélés incapables de faire.


Il est temps de sanctionner l’échec.


D’autant que ces derniers ont échoué lamentablement dans la gestion de la crise sanitaire courante dont ils se montrent incapables de gérer la résolution avec respect pour les citoyens.


 


Nous ne parlons pas des fonctionnaires et des militaires en général, mais de tous les élus et personnels payés pour prendre les décisions et garantir la sécurité économique et sanitaire, l’autonomie et l’intégrité de notre pays.


Cela inclut le Président, le premier ministre, les ministres et secrétaires d’état, les députés, sénateurs, préfets, collaborateurs désignés, présidents de régions, députés européens etc…


Seuls les maires, sur qui toutes les décisions semblent retomber, bien que de plus en plus restreints par la menace de leur ‘hiérarchie’, continuent de dialoguer et représenter leurs administrés en partagent leur tribulations et proposant des solutions réelles et viables.


 


Les gouvernements en places successivement ont échoué, mais aussi leurs oppositions d’un extrême à l’autre.


Les pouvoirs ont été pris en alternance, et durant les périodes d’opposition, aucun ‘représentant’ n’a été capables d’endiguer les attaques contre le peuple qui semblerait avoir perdu sa souveraineté.


 


On pourrait argumenter que les français, en ce sens, ont au cours du temps, échoué dans la sélection de leurs élus. Ils ont failli en croyant les promesses de ceux qui se font appeler ‘élites’.


Ils l’ont payé chèrement pour cela, le payent encore, et le paieront pour longtemps quoi qu’il arrive. Dans les temps difficiles, il est plus que normal de partager la peine.


 


C’est pourquoi nous demandons la réduction, à effet rétroactif à partir du premier Juin 2020, de cinquante pourcents des revenus de tous les parlementaires et leurs représentants directs. Cela va dans l’ordre hiérarchique du Président de la république et de ses collaborateurs directs et désignés, jusqu’aux maires exclus.


 


Les économies générées par un tel décret démontreront enfin l’implication et la solidarité réelle de ces personnels tout en procurant des fonds nécessaires au rétablissement du pays. Elles donneront pour une fois aux gouvernants une appréciation de la réalité qu’ils prescrivent à leurs concitoyens et dont trop souvent ils sont exempts.


 


Enfin, si les français doivent subir des punitions collectives, (du confinement général pour des dérapages locaux et des failles dans la communication jusqu’ aux chutes de revenus, pertes d’emploi et restrictions de mouvement qui en découlent), il est normal que la classe politique en fasse de même lorsqu’elle en est un des facteurs essentiels, ce en particulier après une période d’abus de pouvoir et de mesures anticonstitutionnelles.


 


Liste non-exhaustive de quelques échecs récents :


 


Corruption : « affaires » et scandales récents et anciens, non seulement dans le gouvernement et les oppositions présents mais leurs prédécesseurs ; influences et pots de vins des lobbies et admission d’influence par ‘portes étroites’ pour courber les politiques de l’état aux dépends des citoyens.


Immigration : beaucoup de discours et de promesses sans aucune résolution dans quel sens qu’elle aille, si ce n’est le maintien du flou et de la pagaille qui assurent l’animosité entre les partisans des différentes politiques à suivre. Ce dans un contexte où l’immigration est vouée à augmenter dans les années à venir quelle que soit la position que prend l’état.


Administrations : il est de plus en plus difficile pour chaque citoyen d’accéder à des services administratifs équitables. Chaque cas est traité comme une généralité et chacun fait face à une administration aux abonnés absents, renvoyant à des pages internet confuses qui se refusent à répondre aux cas particuliers, dans un contexte de réduction des effectifs et fermeture des agences permettant le contact, la clarification et la prise en compte des détails vitaux des citoyens.


Santé : Chacun a encore en mémoire ‘l’affaire du sang contaminé’ et les crises liées au COVID avant et pendant l’épidémie, alors que le personnel soignant tente depuis des années de prévenir le dépouillement en personnel et matériel de leur outil de travail, qui a exacerbé l’épidémie empêché de sauver des vies.


Fiscalité : alors que les experts comptables ou avocats ont du mal à décrypter les lois, que le fisc enfreint la loi Européenne à l’encontre de minorités de ressortissants français sur des critères sectaires, ou encore coule des centaines de petites entreprises avec des lois a effets rétroactifs, nos gouvernements sanctionnent durement les citoyens contrevenants qui commettraient des erreurs dans leurs déclarations. Cependant, il existe donnent malgré-tout des passe-droits, difficiles à justifier, à de grandes corporations -même étrangères, et des ‘personnalités’ proéminentes.


Biens publics : rarement avec l’aval du public, les biens financés par les contribuables sont vendus à des sociétés intrinsèquement liées aux personnalités gouvernantes dont la gestion implique que les contribuables payent de nouveau et bien plus pour un service réduit.


Sécurité publique : Toutes les lois ne sont pas appliquées, pas partout, pas pour tous, pas de façon équitable, il n’y a qu’à se référer aux débats constants de la scène politique.


Sécurité privée : Obligation pour toutes personnes physiques et morales de mettre en ligne toutes ses informations personnelles mais aussi mise en ligne, sans leur aval de tous les détails de la vie des citoyens, tout en rappelant que l’internet n’est pas sûr. Ce, en toute conscience et sans tentative de l’empêcher, de la collecte de toutes les données par un état tiers (les Etats Unis) par l’intermédiaire d’organisations privées (en état permanent de fraude fiscale), et de toute organisation qui aurait les moyens de s’offrir l’accès au système. Cela compromet non seulement la vie privée et la sécurité des personnes, l’intégrité de l’état, mais aussi systématise l’espionnage industriel et compromet donc l’économie de la France.


On pourrait continuer dans tous les domaines, de l’éducation a l’environnement en passant par le transport ou l’emploi. Chacun a à l’esprit dans son domaine, des exemples, non pas d’erreurs, mais d’abus et mensonges de la part des autorités qui ont des effets catastrophiques sur les citoyens et l’état.


Confiance : L’échec le plus cuisant reste celui du crédit que les français accordent la classe politique. Indéniablement, nos concitoyens ne savent plus à qui faire confiance, à qui confier leur avenir, pour avoir été trahis si souvent et si ouvertement. Ce dernier point risque de remettre en cause la démocratie elle-même et risque de causer davantage encore de dérives catastrophiques. Seule une prise en compte immédiate et systématique de cette pétition, telle un premier pas vers un ‘mea culpa’, pourrait (peut-être) si suivi d’une réaction visible, rendre un peu de crédit aux institutions que ces gens ont bafoué au cours des années passées, et sauver la République.


 


Afin d’éviter un retour (probablement rapide) aux mensualités abusives, auto-attribuées et non-méritées, nous exigeons :


-D’une part d’inscrire dans la constitution que seul un referendum au suffrage universel peut donner droit à une augmentation des revenus des parlementaires (il leur faudra donc avoir été performants aux yeux de leurs employeurs : les citoyens)


 


-L’instauration d’audits financiers systématiques et indépendants dans les finances et affaires de tous les élus et de leurs familles directes.


 


-L’étude d’un projet de loi visant à indexer de toutes ces mensualités sur le SMIC, de façon que l’on s’assure que l’état puisse se permettre ces augmentations lorsqu’elles sont votées et qu’elles ruissellent sur toutes les classes de la société.


 


 


 


Dans l’espoir d’un retour à une classe politique intègre et dévouée à la nation, veuillez croire, mesdames et messieurs, que nous veillerons sur chacun de vos gestes et prises de position.


 

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