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Pétition

Restaurons Notre-Dame à l'identique

Restaurons Notre-Dame à l'identique Pétition
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Auteur :
Auteur(s) :
David Fournier, université de Mayence
Destinataire(s) :
Le président de la république
La pétition

Monsieur le président,

Je, soussigné David Fournier, chercheur en sciences à l’université de Mayence, et cosignataires, interpellons le président de la République au sujet de l'état des églises françaises, que nous jugeons très preoccupant, mais aussi au sujet de l'avenir de Notre-Dame.


Tout d’abord, nous voulons exprimer notre gratitude pour le discours que vous avez prononcé le soir de la catastrophe de Notre-Dame, pour les mots que vous avez employés pour décrire votre volonté de rebâtir une église si chère au cœur de tous. Car il faut bien constater que c’est un coup de poignard qui nous a été porté. Un coup de poignard à la nation française et à notre héritage. Nous pouvons nous attendre à l'inéluctable mort des hommes, à la disparition de nos proches, à notre propre mort, mais jamais, au grand jamais, nous ne pensons à la fin de monuments tels que Notre-Dame. Pour nous, ils sont éternels. Nous pensions qu'une telle splendeur, une telle manifestation du génie humain devait rester pour les siècles des siècles et ne jamais retourner en poussière. Le triste événement dont nous avons été témoins nous a bien désillusionnés; maintenant nous savons que même la maison de Dieu n’est pas épargnée par la dégradation des jours. L'histoire nous avait appris que si elles ne sont pas défendues, les valeurs et les causes que nous portons en haute estime peuvent disparaître; il en est aujourd'hui de même pour nos plus chers monuments. Nous profitons de cet incident majeur, nous profitons du temps de réflexion qui a pu avoir lieu depuis deux mois, pour porter à la connaissance générale et au président en particulier de l'état des églises de France, qui confine au catastrophique, et pour ensuite porter notre attention sur le cas de Notre-Dame.


1- État des églises de France


Il est toujours émouvant, au détour d'une promenade, de s'attarder quelques instants pour contempler la façade solennelle d'une de nos merveilleuses églises, et de songer que pour arriver jusqu’à nous, ces belles dames ont survécu au long travail des siècles, en dépit des vicissitudes de l'histoire souvent impitoyable. Tandis que leurs voisines étaient une à une remplacées, ces mystérieuses bâtisses sont restées, ont résisté à tout et contre tout. Le temps a eu beau filer, nous faisant passer du cheval à la voiture, de la lampe à pétrole à l'électricité, du télégraphe au téléphone et à internet, ces édifices divins sont demeurés à la même place, tels des gardiens, des défenseurs, veillant fièrement sur les âmes. Il y a toujours eu en l'homme une tendresse pour ces lieux majestueux, une déférence, une curiosité ; lorsqu'il s'aventure à les visiter, il est pénétré de sentiments célestes. L'homme aime à entrer dans ces endroits sacrés, il aime à lever la tête vers la voûte, pour trouver une réponse à ses questions dans la contemplation des colonnes. L'église est notre héritage à tous, païens et croyants, c'est un mystère que tout le monde veut connaître; c'est la volonté générale.


Depuis quelque temps, la volonté de certains est tout autre : en France en 2019, on démolit des églises ; plus sournoisement encore: on laisse dépérir. Les chiffres sont éloquents : sur un total de plus de quarante mille églises répertoriées en 2019 [1], cinq cents sont dégradées, et cinq mille sont proches de la ruine [2]. Ainsi certaines églises, faute de budget, sont en train de tomber, telle la chapelle Saint-bernard de Clairmarais dont le toit a chu spontanément il y a quelques mois. Suite à la défection des fidèles (4 % seulement de fidèles en 2019 contre 50 % il y a soixante ans), les travaux de restauration nécessaires pour pallier les détériorations naturelles qui sont la conséquence de l'usure du temps sont parfois negligés par les collectivités locales, intentionnellement ou à contre-cœur.


Plus grave parfois, des églises commencent à être détruites par certains maires de commune. Si elles ne sont pas, pour la plupart encore, des églises très anciennes (exception notamment d'une très belle église à Abbeville récemment passée sous les coups des tractopelles), on observe une progression très inquiétante : dans les années deux mille, une dizaine d'églises ont été démolies, contre quarante dans les années deux mille dix [3]. Il n'est pas alarmiste de penser, en faisant une simple extrapolation des chiffres mentionnés, que le nombre de destructions d'églises va fortement augmenter dans les années et années à venir, pour atteindre plusieurs dizaines ou centaines de destructions par décennie. De plus, l'idéologie est également à l'oeuvre contre les églises. On a observé depuis deux ans une recrudescence des actes de vandalisme ; on pense notamment aux vitraux endommagés de l'église Saint-Sulpice [4]. Ces actes ont des motifs clairement anticléricaux, une église a ainsi vu son portail taggué d'un « no god » [4]. Des autels, des objets de culte ont été détruits et profanés [4] ; ce sont au total huit cent soixante dix-huit églises qui ont été profanées en 2018 [5]. Sans parler des abominations qui ont eu lieu contre les chrétiens eux-mêmes, dont la mort insensée du père Hamiel, il est à craindre que des destructions et des provocations d'origine idéologique seront en recrudescence dans les années à venir en plus des destructions d'usures déjà mentionnées.


Devant ces données chiffrées et le processus historique en cours, il n'est donc pas faux de penser qu'il viendra un temps dans un avenir relativement proche où le processus de désacralisation en marche arrivera à son achèvement, où le nombre des fidèles sera si faible, qu'ils ne pourront plus résister seuls aux attaques et aux avalanches de dégradations; où la religion sera pour beaucoup une vieille fable dont personne ne comprendra la profondeur et le mystère ; où des forces hostiles voudront achever le démantèlement de nos vénérables églises, et la foi et la raison ne seront plus assez fortes pour lutter. La religion, disait Pascal, est une chose si grande qu'il est injuste que ceux qui ne voudraient pas prendre la peine de la chercher, si elle est obscure, en soient privés. J’ajoute que le mystère des églises est si grand qu’il est également injuste que ceux, et surtout les athées, qui ne prennent pas toujours la peine de s’y intéresser, soit un jour privés de la beauté de ces bâtiments. Tout petit français, qu’il ait reçu l’eau du baptême ou ait évolué loin des préceptes de la religion, a le droit de connaître l’émotion que procure l’entrée dans une église, le vertige suscité par la grande voûte, le vertige causé par le mystère des ombres et des lumières, par les verticales, les ogives, les autels, les retables; il doit pouvoir s'extasier dans les chapelles, les cloîtres, les abbayes, les monastères. Mais qui s'occupe de toutes ces merveilles ?


Il viendra peut-être un autre temps, plus éloigné encore, où la plupart des églises auront été démolies, par la volonté des hommes ou le travail destructeur du temps, mais où les gens voudront à nouveau voir des églises, où les gens chercheront des yeux le patrimoine de leur pays. Ils voudront retrouver les visages des lieux de leurs ancêtres, connaître la sensation d’entrer dans un lieu sacré et de regarder à nouveau les spectacles de la religion. Ils voudront le terroir, la culture, la langue, l’artisanat, la grâce. Tout cela a fait la France. La question est donc : demain, ces sujets la feront-ils encore ? Nous pensons que oui, car la racine est l’objet fondamental, le tronc, les deux pieds sur lesquels repose l’homme. Il n’a rien pour lui que ces deux pieds, par lesquels il va de l’avant.


Tout homme perdu se raccroche à ses origines. Préserver le bâtiment qu’est l’église, c’est préserver notre mode de vie, un mode de vie qu'on ne trouve que chez nous: un monde libre, où hommes et femmes vivent en bonne intelligence, où la nourriture est saine, où il fait bon vivre, où les arts florissent. Il n’est pas besoin d’être religieux pour comprendre qu’aux moments hostiles, nous aurons besoin de ces valeurs généreuses que beaucoup nous envient. Il serait tout à fait irresponsable de voir cet héritage mourir. Nous ne parlons pas ici de nationalisme, de patriotisme forcené, mais d’une vision belle et rassérénante, celle qui nous donne force et joie de vivre. Cette vision des cloches, cette vision de la beauté, c’est encore vous mieux que personne qui pouvez la préserver. Les églises de France sont fragiles, mais nous avons la certitude que ce sont la foi, l'intelligence et la beauté qui vaincront au final.


Nous faisons ici quelques propositions :


- La vaste majorité des églises (40 307 sur un total de 42 258) appartiennent aux communes, contre 1951 aux diocèses et 87 cathédrales à l'état [6][7]. Ainsi la restauration des églises incombe surtout aux communes. Pour pallier à cette relative indépendance des maires sur ce chapitre, nous demandons la création d'une charte de responsabilité des communes, qui stipulera que les maires doivent entretenir les églises, ou à défaut, doivent pallier les travaux les plus urgents (un toit qui menace de s'éffondrer par exemple) ;


- Afin d'appliquer le premier point, des experts seraient nommés afin d'inspecter régulièrement l'état du patrimoine religieux dans les communes, en évaluant les éventuels travaux à réaliser. Dans le cas où les travaux requis seraient trop importants, une aide pour trouver des fonds serait proposée. D'autres experts specialisés dans les demandes de financement pourraient alors entrer en jeu ;


- Un budget de l'État pourrait être alloué pour aider les communes les plus pauvres ayant une église détériorée identifiée par un des experts nommés ou identifiée par la reclamation du maire de la commune ou d'un particulier y résidant ;


- L'action des experts se concentrera sur les églises désacralisées et sur les églises situées dans les communes où le service de la messe n'est plus assuré depuis au moins un an (les cas où un prêtre sert plusieurs communes n'entrent donc pas dans cette catégorie) ;


- Les églises anciennes, datant d'avant 1800, auront également la priorité sur les églises plus récentes;


- Dans le cas où une église serait dans une telle ruine que rien n'en peut être sauvé, alors seulement le démantèlement pourra être prononcé par un maire, à la condition que les matériaux, surtout s'ils sont nobles (toute pierre, dont granit rose, tuffot) soient stockés et utilisés pour la restauration d'autres églises. Ainsi, un système de distribution serait mis en place afin de recycler les matériaux venant des églises en ruine au dernier stade ;


- Comme nous allons le dire dans la seconde partie consacrée à Notre-Dame, nous plaidons pour la préservation et la mise à contribution des métiers de l'artisanat, notamment tailleur de pierre, dans le processus de restauration des églises dégradées. C'est une partie de notre savoir-faire que nous mettrons ainsi à contribution et ferons vivre.





2 – Jeux de miroir : avenir de Notre Dame-de-Paris et de notre artisanat


Après avoir parlé de l'état des églises de France, nous voudrions à présent parler du coup de poignard, du désastre de l’île de la cité. Monument emblématique de notre pays, Notre-Dame a chuté dans un moment d’incompréhension et de déchirement. Comme on voit partir un proche malade, fauché par la mort alors que l'on était encore tout baigné d'espoir, la somptueuse flèche, l'emblème de Paris, est tombé. On pensait que le toit allait tenir, que les lances à eau pourraient contenir les flammes de l’enfer, mais rien n’y a fait. Notre chère église, notre symbole, notre lieu Saint, notre objet chéri, a chuté comme une vieille dame. Toujours vivante, elle montre le trou béant de sa blessure, la plaie de sa souffrance. Par le passé, nous avons connu d'autres incendies, d'autres coups durs. Des incendies importants ont eu lieu dans d'autres lieux Saints, comme par exemple le choeur de la magnifique basilique Saint Epvre de Nancy [8]; le feu n'épargne aucun bâtiment. Mais rien n'a touché notre cœur comme l'a fait l'incendie de Notre-Dame.


Dans une telle situation, l'incompréhension n'a presque pas le temps de poindre, le deuil n'a presque pas cours, il faut tout de suite penser à l'avenir. S'est donc posée dès le départ la question de la reconstruction. On a tout de suite dit que disposer de mille troncs d'arbre était un crime écologique, que reconstruire à l'identique relevait de la folie. En réalité, nos demagogues modernes qui semblent avoir de tout sauf de la créativité, qui pensent faire intelligent en proposant des solutions prétendument rationnelles, n'ont souvent ni intuition ni oreille à l'écoute de ce que veulent les hommes, et proposent des solutions qui irritent les masses.


Il y a dans notre société une tendance forte pour la préservation des belles choses et du bien vivre ; le français aime le petit commerce ; en témoignent les ouvertures de halles et de marchés de produits frais; le développement du commerce équitable ; l'implémentation de commerces sans intermédiaires. On veut du « bio » ; les marchés traditionnels sont amenés à être réhabilités sous des formes différentes, car on veut manger « sain ». C'est cela, en réalité, le futur. Les rationnels n'ont pas encore compris cela ; ils ont trente ans de retard. Les hypermarchés et les grands ensembles appartiennent aux années soixante-dix. Les français ont tout au contraire un amour pour les petits métiers, les artisans. C'est une chose importante, qui fait partie de nous ; nous aimons les endroits préservés, les endroits où il fait bon vivre et où l'on peut pratiquer un tourisme vertueux. C'est une part importante de l'opinion qui se retrouve dans cette thématique cruciale. Si les politiques savaient écouter, ils seraient surpris de voir à quel point ils se font une idée fausse de l'opinion des hommes.


La restauration de Notre-Dame est donc une chance unique – historique – de continuer à faire vivre l'artisanat et les métiers tels que celui de tailleur de pierre ou de vitrailliste; une chance unique de réhabiliter ces métiers qui ont fait notre gloire. C'est une chance de faire travailler ces gens pour des raisons organiques, nécessaires, liées à l'urgence de tous les jours, et non pour des raisons idéologiques, encore moins a fortiori pour flatter notre ego patriotique. A nous de faire la part belle à la beauté et au patrimoine.


Revivifier notre artisanat, c'est plus encore une chance de susciter les vocations et créer des places supplémentaires dans les écoles pour les années à venir. C'est un ensemble de compétences qui peuvent également servir le monde entier; en effet, la restauration des bâtiments anciens, dans les siècles futurs, est amenée, par définition, à se développer fortement. Les gens veulent du beau et du somptueux. Si nous avons l'intelligence de préserver nos vieux metiers, il viendra peut-être un temps où nos compétences seront recherchées et où l'on viendra du monde entier en France pour embaucher un charpentier ou un restaurateur de tableaux. La catastrophe que nous vivons est comme une leçon venue du ciel pour méditer sur l'avenir.


L’artisanat est donc selon nous ce qui doit être développé ; pas simplement dans la restauration des monuments de notre patrimoine, mais en agriculture, dans le petit commerce. Il est passé, le temps des grands ensembles et des super-commerces : la France est le pays du bien-vivre, et elle doit le rester. Car enfin, si demain nous vivons mal, où irons-nous ? C’est notre indépendance d'esprit qui se joue sur des questions aussi importantes. Voulons-nous réagir à la française, ou comme de simples gestionnaires ?


Restaurer la cathédrale de Paris, c'est aussi une façon de participer à la grande histoire. Car être moderne, c'est savoir intégrer le beau et le bien dans un monde toujours changeant. Si vous et moi n’avions qu’une tâche, ce serait celle-ci.


Nous ne développerons pas notre propos plus avant ; nos arguments, vous l'aurez compris, sont surtout philosophiques et esthétiques. Nous sommes pour une reconstruction à l'identique de Notre-Dame. En effet, le budget, les plans, les matériaux, les compétences sont là ; reste à savoir ce qu'il en est de la volonté et des motivations. Une partie du destin se trouve bien évidemment dans vos mains, nous, nous pouvons au mieux nous employer à écrire et signer, pour vous encourager à prendre la decision la plus saine. C'est du courage qu'il faudra, car les forces contraires seront brutales.


Laissant là les argumentations rationnelles, pour finir par une petite note poétique.


Il vient parfois dans nos vies un instant fugace, que l'on n'attendait pas, où, au début d'une nuit d'été, à la faveur d'une petite promenade dans la campagne, lorsque tout autour de soi est sombre et silencieux, que rien ne se laisse aperçevoir, on peut soudain découvrir, au détour d’un sentier, un clocher de village, qu’éclaire la lueur pâle d'un lampadaire ; c'est un petit clocher sans prétention, une tour carrée avec son chapeau, sa croix, et sa montre ; le gardien attitré qui veille sur les âmes. Il semble ne rien faire, il semble ne rien dire, il reste là pensivement. Cinq minutes passent. C'est alors, tandis qu'on osait à peine l'espérer, tandis que tout est silencieux, et que le vent seul se manifeste, que retentit, dans un moment pathétique, le son tant désiré, la vibration du lourd métal, l'écho du carillonneur. Dong. Dong. On guette, on scrute, on observe ; rien dans le paysage ne semble expliquer le phénomène, pas un mouvement ne l'accompagne. Mais au fond de l'homme, il n'y a pas de doute, c'est bien lui, notre ami, le maître de la nuit, qui tonne et qui mesure ; notre ami que nous n'avions entendu de longtemps, éloignés que nous étions des essentiels ; c'est notre ami le marteau de la cloche.


Voilà notre revendication : que l’on fasse sonner les cloches, qu'on les entende toujours. C'est notre seul souhait.



Nous vous remercions, monsieur le président, d'avoir pris connaissance de nos revendications qui vous l'aurez compris, ne sont animées d'aucune animosité, et vous prions d'accepter nos salutations distinguées.





David Fournier, de l'université de Mayence,


et co-signataires.



PS : Nous souhaitons vous adresser une dernière supplique : celle de laisser le temps qu’il faudra aux ouvriers pour rebâtir la cathédrale. Dans un monde toujours plus rapide, la lenteur est un mauvais mot auquel nous souhaitons redonner sa grandeur, à la fois en hommage à ceux qui mirent tant de temps à bâtir que pour garantir la solidité et à la robustesse d’un ouvrage qui fut pendant sept siècles une insulte à la marche du temps. Contresens que de donner un délai de cinq ans. N'écoutez pas les sirènes des super-rationnels ; tapez du poing sur la table et décidez.



Références


[1]: https://www.eglise.catholique.fr/wp-content/uploads/sites/2/2016/09/fiche_arts_sacre-presse_VDEF.pdf


[2] : https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/patrimoine-les-eglises-de-france-en-mauvais-etat_3412907.html


[3] : http://patrimoine.blog.pelerin.info/2019/01/31/eglises-et-chapelles-detruites-en-france-depuis-2000/


[4] : https://www.patrimoine-religieux.fr/rubriques/gauche/edifice-menace/actes-de-vols-et-de-vandalismes


[5]: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/02/11/01016-20190211ARTFIG00249-les-eglises-cibles-d-une-serie-de-profanations.php


[6] : https://www.eglise.catholique.fr/wp-content/uploads/sites/2/2016/09/fiche_arts_sacre-presse_VDEF.pdf


[7] : http://www.culture.gouv.fr/Thematiques/Monuments-historiques-Sites-patrimoniaux-remarquables/Presentation/Focus/Cathedrales


[8] : https://www.patrimoine-religieux.fr/rubriques/gauche/edifice-menace/11-eglises-incendiees-en-1-an


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