PÉTITION CONTRE LA FUTURE LÉGISLATION EUROPÉENNE SUR L’IMMIGRATION
L’Union européenne s’apprête à adopter un règlement relatif à la gestion de l’asile et de la migration et à resserrer ainsi la camisole de force juridique qui empêche les autorités françaises de combattre le déferlement migratoire. Cette initiative est ardemment soutenue par Mme Merkel et M. Macron. Les récents attentats avaient pourtant incité le président à réclamer un sursaut européen à ses homologues, à dénoncer les liens qui existent entre l’immigration clandestine et le terrorisme et à déplorer le dévoiement du droit d’asile. M. Macron tiendrait-il un double discours ?
Les dispositions essentielles de ce règlement
L’état d’avancement du dossier
La proposition de règlement est examinée au pas de charge par les institutions européennes. Son adoption rapide par le Conseil suite à un vote favorable de la majorité qualifiée (55% des États membres, représentant au moins 65% de la population de l'UE) est plus que probable, compte tenu du rapport de force entre les pays. Aucun suspense quant à la position du Parlement européen, majoritairement favorable aux « migrants ».
L’exécutif et la presse dite progressiste se gardent bien de dévoiler aux Français les enjeux et les périls que recèle ce projet. Il contient pourtant les ferments d’une submersion migratoire qui risque de tout balayer, de grever lourdement les finances publiques et de provoquer à terme une guerre civile. Ce dossier stratégique est géré par un cercle restreint de technocrates et de juristes, qui prennent des positions décisives en dehors de tout contrôle démocratique national. Le Parlement français est certes informé mais il n’a pas voix au chapitre.
Les effets de la mise en œuvre de ce règlement
Si le processus aboutit, le texte adopté par les deux organes législateurs européens deviendra une loi européenne que les États membres devront appliquer durant plusieurs années. Tout gouvernement français devra respecter ce nouveau cadre juridique, même en cas d’alternance, sauf à organiser un FREXIT ou à accepter de voir la France fréquemment condamnée à de fortes amendes par la Cour de justice de l’UE. Il est illusoire en effet d’espérer obtenir la révision ou l’abrogation de ce règlement, qui ne pourrait intervenir qu’à l’initiative de la Commission européenne et avec le soutien de la majorité qualifiée des États de l’UE. A titre d’exemple, cela fait 24 ans que la France est engluée dans la directive sur le détachement des travailleurs qui, en favorisant le dumping social à grande échelle, continue de pénaliser fortement ses propres salariés.
Les conséquences politiques prévisibles pour la France
Une résistance à cette dérive oligarchique s’impose
Dans cet univers en éruption permanente la France ne peut plus se permettre d’aliéner sa souveraineté et de confier aux technocrates de Bruxelles la maîtrise de son destin. Il n’est plus tolérable que la continuité de sa culture et la pérennité de son mode de vie demeurent subordonnées aux décisions de juges nationaux ou supranationaux. Le peuple français a déjà été grugé par M. Sarkozy lors du referendum de 2005. Un tel hold-up démocratique ne doit pas se reproduire.
Cette pétition a pour ambition d’alerter et d’informer les citoyens de ce qui se trame à leur insu. Elle vise également à susciter la mobilisation de ceux qui sont viscéralement attachés à leur identité et à leur liberté, afin de convaincre le président de renoncer à ce projet funeste et mortifère, tellement désiré par les passeurs et les « humanistes ». Il est encore temps de réagir.
Si vous partagez mon analyse et mes préoccupations je vous invite à la signer et à la relayer le plus largement possible. Les Français doivent pouvoir s’exprimer sur cette politique migratoire qui hypothèque leur avenir, conformément à l’article 2 de la Constitution, en vertu duquel le principe de la République est le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
La proposition de règlement est disponible sur le lien suivant :
https://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-11213-2020-INIT/fr/pdf
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