La crise sanitaire a fait découvrir que la France était plus mal en point que les Français ne le croyaient. Ils s’interrogent.
Pourquoi la France est-elle devenue le champion du monde des impôts et prélèvements ? On ne leur a jamais demandé leur avis.
Pourquoi, alors qu’ils ont voté "non" lors du referendum sur la Constitution européenne, a-t-on tourné leur vote et fait dépendre de façon excessive la politique française des desiderata de la Commission européenne, au détriment des Français ?
Pourquoi cette submersion du pays sous une vague d'immigration massive et de plus en plus problématique, alors qu’on n’a jamais demandé leur avis aux habitants ?
Toute la chaîne pénale a été déshabillée pendant quatre décennies et s'avère dépassée par la criminalité. Quand a-t-on demandé aux Français leur accord ?
Des discriminations prétendument « positives » et factuellement iniques changent radicalement la méritocratie républicaine et l’égalité des droits et devoirs. Les Français n’ont jamais été consultés. Normal ?
Le PIB par tête est revenu fin 2020 au niveau de 1980. Quarante ans de stagnation et une partie des élites politiques exigent de mener des politiques écologiques fondées sur des baisses massives de l'activité, des coûts gigantesques, des dettes provocantes par leur masse, alors que leur efficacité sur le CO2 est quasi nulle. Les Bonnets rouges puis les Gilets Jaunes ont montré violemment leur désaccord dans la rue. Va-t-on persister dans cette voie sans consulter explicitement les Français ?
Comment oser se présenter à la candidature aux Présidentielles sans avoir une politique de Grand Redressement, bien faite, solide, audacieuse et efficace, qui fait des propositions sur les sept ou huit questions nationales majeures et pour laquelle on a réussi à mobiliser une équipe nombreuse et une masse de militants, avant de demander l’aval des Français ? Non au "concours de beauté" de personnalités qui n'ont rien à dire. Se pousser du col n'est pas préparer l'avenir. Les Français ne veulent ni d'un président « jupitérien » qui ne cherche finalement que sa réélection en faisant tout et n'importe quoi pendant cinq ans, ni d'une majorité unie sur rien et pourrie par l'entrisme d'associations dangereuses, ni le représentant d'un clan ou de groupes d'intérêt.
Pour rendre cette nécessité indispensable et impérieuse, prenez la parole et signez cette pétition : "Le programme d'abord". Il est encore temps de faire pencher la balance en faveur d'un grand élan programmatique et démocratique pour sortir la France des ornières qui la mènent à un désastre pire encore que celui que nous connaissons.
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