Nous, citoyennes et citoyens de France, refusons d’être de simples spectateurs d’une démocratie en souffrance.
Nous refusons que les décisions cruciales pour notre avenir, notre environnement, notre économie, notre paix sociale et notre liberté, soient prises sans nous, voire contre nous.
Nous affirmons aujourd’hui, avec clarté et fermeté, que la France ne peut continuer à fonctionner sans la voix réelle et directe de son peuple.
C’est pourquoi nous demandons l’ouverture immédiate d’un CONSEIL POPULAIRE inscrit dans la Constitution, reconnu comme instance de participation directe des citoyens aux grandes décisions politiques de la Nation.
Parce que la crise de confiance envers les institutions est profonde. Selon l’IFOP (2024), seuls 27 % des Français ont confiance dans l’Assemblée nationale, et 22 % dans les partis politiques.
Parce que le suffrage universel à échéance lointaine ne suffit plus : nous ne voulons plus voter tous les 5 ans pour ensuite nous taire pendant les 1 825 jours suivants.
Parce que les lois sont souvent faites sans le peuple, sans consultation, sans débat, sans consensus, alors qu’elles affectent notre quotidien, notre environnement, notre avenir.
Parce que dans une époque d’instabilité mondiale, de réchauffement climatique, de crise économique, il est vital que le peuple puisse peser avec responsabilité dans les choix de société qui engagent des générations entières.
Un organe citoyen reconnu constitutionnellement, composé de citoyens tirés au sort, désignés volontairement, ou élus au suffrage proportionnel, représentant la diversité réelle du pays.
Il aura pour missions de :
Participer à l’élaboration des grandes lois
Être consulté obligatoirement sur les questions de souveraineté, d’environnement, de libertés publiques, de guerre ou de dette
Proposer des lois citoyennes
Demander un référendum national ou local après seuil de soutien populaire atteint
Être une instance d’alerte démocratique en cas de dérive autoritaire ou de mensonge d’État
Il ne remplace pas les institutions, mais il les complète avec la sagesse populaire, avec l’intelligence collective, avec la mémoire du terrain.
Monsieur Macron, Mesdames et Messieurs les ministres, vous avez souvent parlé de "refonder la démocratie", d’ "écouter les Français", de "réconcilier la Nation". Voici l’occasion de passer des mots aux actes.
Si vous êtes réellement les représentants du peuple, alors ouvrez-lui une place dans le processus démocratique. Car un peuple tenu à l’écart, ignoré, méprisé, finit toujours par faire entendre sa voix autrement.
Vous êtes souverains, vous êtes l’âme et le cœur de la République. Vous n’êtes pas faits pour obéir à des ordres descendus d’en haut sans contrôle, vous êtes faits pour décider ensemble, dans la clarté, le respect et la justice.
Il ne suffit plus de signer des pétitions ou de voter tous les 5 ans : Nous devons reprendre la parole, la place, la responsabilité.
Alors nous leur rappellerons que ce n’est pas le peuple qui a besoin du système, mais le système qui ne tient que parce que le peuple y consent. Et si ce consentement disparaît, si la voix populaire est muselée, alors nous saurons nous faire entendre :
Par les urnes, par la rue, par les réseaux, par l’union. Pacifiquement, mais fermement. Sans violence, mais sans renoncement.
Car il n’y a pas de démocratie sans peuple. Pas de République sans participation. Pas d’avenir sans justice.
Nous demandons aujourd’hui la création d’un Conseil Populaire inscrit dans la Constitution ! Pour que la France redevienne une Nation lucide, juste, humaine, vivante.
Pour que la République redevienne ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être : une maison commune, par le peuple, pour le peuple.
Signez. Partagez. Et préparez-vous à agir.
Vive la démocratie vivante. Vive les Veilleurs Libres. Vive le peuple !
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.