Mesdames et Messieurs,
En tant que Français préoccupés par l'interprétation et l'application du droit dans notre pays. Je m'adresse à vous pour examiner de près la définition et la reconnaissance du génocide, notamment dans le contexte du métissage culturel et racial.
Certains discours politiques contemporains, en évoquant la "créolisation" de la France comme un enrichissement culturel, et en affirmant que "Ceux qui s'appellent Français de souche posent un problème sérieux à la cohésion de la société", pourraient être perçus comme promouvant un métissage qui, dans le contexte actuel d'une immigration massive et incontrôlée, est vu comme un vecteur de génocide culturel et génétique, menaçant l'existence même des Français autochtones.
Le droit international, tel que défini par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948, identifie le génocide comme des actes commis avec l'intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. En France, cette définition a été intégrée dans notre législation nationale par l'article 211-1 du Code pénal, qui transpose l'article 6 du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale (CPI), en faire la promotion relève de l'article 211-2. Cependant, le droit semble parfois minimiser les effets à long terme du métissage, en particulier dans les contextes de colonisation et d'immigration, où il ne peut être vu que comme un
moyen de génocide.
Prenons l'exemple des Aborigènes d'Australie, où les politiques de la "Génération volée" ont entraîné l'effacement de l'identité culturelle et génétique des peuples autochtones. Ces enfants étaient enlevés à leurs familles pour être éduqués selon les normes européennes, ce qui a non seulement causé une perte culturelle immense, mais a aussi entraîné un métissage forcé visant à diluer leur identité. Auber Octavius Neville, en 1937, en tant que responsable des Affaires Aborigènes en Australie-Occidentale, parlait d'« éliminer la couleur » par l'assimilation forcée, révélant une intention claire de génocide génétique.
L'histoire des Antilles fournit un autre exemple frappant. où la rencontre forcée entre les populations autochtones, les colons européens, et les populations africaines amenées par l'immigration subie a mené à une transformation démographique et culturelle. La disparition des cultures autochtones, comme celle des Taïnos, résulte directement des violences coloniales et de l'immigration imposée. Le métissage qui a suivi est un effacement culturel et génétique des identités originelles.
Un autre exemple significatif est celui des Aïnous au Japon, une population autochtone de l’île de Hokkaidō. À partir de l’ère Meiji (1868-1912), le gouvernement japonais a mené des politiques d’assimilation forcée, interdisant les traditions religieuses et culturelles Aïnous, et imposant la langue japonaise. Les mariages interethniques ont été encouragés, contribuant à une dilution progressive de leur identité génétique et culturelle. Comme le souligne le militant Shigeru Kayano, figure majeure de la défense des droits des Aïnous, « Ce n'est pas seulement notre langue ou nos coutumes qui ont disparu, mais notre âme collective. » Ce processus, bien qu’il ne soit officiellement reconnu comme tel qu’en 2008, illustre une forme de génocide par métissage et assimilation forcée.
Nous devons reconnaître le métissage, à travers l'histoire et aujourd'hui, comme un vecteur de génocide culturel et génétique, dans le contexte d'une immigration comparable à une nouvelle colonisation pour les Français et Européens.
Points Clés :
1. Le Métissage : Dans le contexte actuel de l'immigration non contrôlé et des politiques coloniales, le métissage est génocidaire par nature, entraînant une perte irréversible d'identité culturelle et génétique.
2. Protection par l'ONU : L'article 8 de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones de 2007 stipule que les peuples autochtones ont le droit de ne pas subir de génocide ou toute autre forme de destruction de leur culture, un droit que les Français autochtones doivent également voir respecté.
3. Révision du Code Pénal : L'article 211-1 du Code pénal français doit être révisé pour refléter que le métissage, dans les termes de l'article 6 du Statut de Rome, est un vecteur de génocide. Cette révision est cruciale pour fournir une protection légale adéquate contre ces crimes, bien que le manque de clarté actuel de cet article pourrait déjà permettre une telle interprétation.
En conclusion,
Nous devons protéger non seulement contre la violence physique mais aussi contre les formes insidieuses de destruction culturelle et génétique. Les Français autochtones, tout comme d'autres peuples autochtones à travers le monde, ont le droit d'exister, de préserver leur héritage et de voir leur identité respectée. La France, en tant que patrie des droits de l'homme, doit se montrer exemplaire en s'engageant à préserver la diversité humaine dans toutes ses dimensions. Je vous invite à considérer cette perspective comme un appel humaniste, nous devons reconnaître que notre engagement envers la diversité humaine et la justice transcende les débats politiques contemporains.
Si nous ne procédons pas à une amélioration de la loi, nous devrons alors exiger l'application des règles internationales concernant la protection des populations autochtones pour les Français autochtones d'Europe, telles que stipulées par l'article 3 de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones de 2007, qui affirme leur droit à l'autodétermination.
Cette déclaration nous rappelle l'importance de sauvegarder ces identités culturelles et génétiques face aux dynamiques actuelles de l'immigration de peuplement subie et imposée.
Pour soutenir cette cause, je vous encourage à signer la pétition. Partagez-la avec vos réseaux, engagez le dialogue avec vos amis, votre famille, et vos collègues, et faites pression sur vos représentants politiques pour qu'ils soutiennent cette révision législative essentielle.
Ensemble, nous pouvons faire entendre notre voix et protéger l'identité culturelle et génétique des Français autochtones.
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