Parents, Retraités, pour nos enfants et leurs enfants, SIGNONS !

L’augmentation de la CSG  ? OUI SI et SEULEMENT SI c’est pour le bonheur de nos enfants !
Une femme, un homme, quels que soient leurs âges, professions, situations sociales, convictions politiques ou religieuses, ressentent toujours et partout, comme un réflexe inconditionnel, l’impérieuse obligation d’agir dans l’intérêt supérieur de leurs enfants. Préserver, par tout moyen, les meilleures chances de leur réussite constitue l’un des plus nobles challenges auxquels je vous invite toutes et tous à participer avec enthousiasme.
La pétition que j’ai l’honneur de vous proposer est à la hauteur de l’éminente responsabilité parentale qui s’impose à chacune et chacun d’entre nous.
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Aujourd’hui, chaque enfant qui naît supportera tout au long de sa vie une part de 36 000 euros  de la dette de la France que notre Pays devra rembourser à ses prêteurs.
Rappel: à ce jour, la dette de la France est environ de 2450 milliards d’euros !! Elle augmente chaque seconde de 2665 euros, soit de 230 millions par jour !!
Concrètement, une famille de 2 enfants payera, pour la seule partie du remboursement de sa part à la dette de l’État, une somme de 4 x 36 000 = 144 000 € ! Pratiquement le prix d’une maison en Province !
Il s’agit là d’une charge pour nos enfants et petits-enfants que les gouvernements d’hier comme d’aujourd’hui leur imposent, et qui ponctionnera lourdement leur pouvoir d’achat de jeune adulte, face aux premiers coûts d’études ou de vie familiale.
Il apparaît légitime que les parents, grands-parents et arrière-grands-parents d’aujourd’hui exigent que l’État ne compromette pas ainsi le départ dans la vie de leurs enfants, petits enfants et arrière-petits-enfants.
C’est le sens de la pétition que je vous propose de signer, toutes et tous, massivement, telle qu’elle ressort de ma lettre au Président de la République qui suit, et dont copie a été adressée aux Ministres du Gouvernement en charge des finances de l’État.

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Arsène LUX                                                à                 Emmanuel MACRON
Ancien Député                                                          Président de la République


Monsieur le Président de la République,

Je souhaiterais appeler votre attention sur l’augmentation de la CSG pour les retraités dans la loi de Finances 2018.
Je suis éligible à cette augmentation, que j’approuve, mais à la condition expresse que son produit serve à la réduction de la dette du pays.
Je connais l’impossibilité juridique de l’affectation d’une recette à une dépense spécifique, mais rien n’empêche que le produit national supplémentaire de la CSG soit pris en considération pour déterminer le montant d’un remboursement anticipé de la dette.
L’idéal serait que le remboursement anticipé de la dette soit du montant total de ce surplus, mais, en toute hypothèse, atteindre au moins 50 % de ce montant pour rester crédible.
Je suis certain qu’une telle mesure, présentée pédagogiquement comme une obligation nationale pour l’avenir des enfants de France, recueillerait une large adhésion des retraités du pays.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République,l'assurance de ma haute considération.