Monsieur Benjamin Stora ne doit plus monopoliser le débat sur la vraie/fausse « guerre d'Algérie » et se soumettre à de véritables contradicteurs !

Chers Signataires,

Je vous informe avoir saisi, officiellement, par lettre recommandée avec avis de réception, le 27 janvier dernier, l'actuel président du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) : Monsieur Roch-Olivier Maistre, afin de lui demander de faire appliquer, conformément à sa mission de service public, le strict respect de l'expression pluraliste des courants d'opinion, dans ce débat d'intérêt général. 

A l'annonce de la mission confiée, par le Président de la République Française, Monsieur Emmanuel Macron, à Benjamin Stora, j'avais opté pour reporter, ladite saisine du CSA, jusqu'à remise du rapport dit "Stora" sur la colonisation et la guerre d'Algérie, afin de pouvoir en examiner le contenu.

Ce rapport partial et partiel a confirmé mon opinion sur cet historien pro-FLN très engagé exacerbant, depuis des décennies, la zizanie des mémoires, sous couvert d'Histoire, sans jamais avoir été soumis à un débat contradictoire face à des interlocuteurs éclairés et aux opinions plurielles.

La presse et les médias français s'étant toujours évertués à filtrer, les militants, du débat public sur cette période, afin d'exclure les personnes déconstruisant, la propagande officielle en vigueur, en France et en Algérie, pour tenter d'en faire une vraie-fausse vérité immuable.

Outre mes nombreuses dénonciations du modus operandi, du Sieur Stora, depuis ces 30 dernières années, essentiellement, sur les sites de Harkis, Pieds-Noirs, ... La presse écrite (incluant la PQR) et les médias ayant décidé de me zapper, la pétition que j'ai lancée, en août 2018, était "prémonitoire" de la conjoncture actuelle.

La constitution ne donne aucun pouvoir, au président Macron, d'écrire voire de réécrire, l'Histoire, sous l'influence d'une seule personne, Benjamin Stora, ce qui vient confisquer, derechef, le débat public sur cette thématique.

On se souvient de la polémique sur l'alinéa 2, de l'article 4, de la loi du 23 février 2005, où le Conseil Constitutionnel avait fait déclasser le texte controversé, en soulignant que ce n'est pas au législateur, donc au politique, d'écrire l'Histoire.

En revanche, la Cour Européenne des Droits de l'Homme, dans sa jurisprudence constante sur la liberté d'expression, indique que : "Le débat d'intérêt général se doit d'être au coeur d'une société démocratique"... Ladite jurisprudence étant appliquée, dans le droit français, par la Cour de Cassation.

C'est ce qui vient distinguer une démocratie en bonne santé, d'une dictature liberticide usant et abusant de la propagande d'Etat.

Je vous tiendrai informés des suites réservées, à cette démarche auprès du CSA mais, également, je publierai prochainement l'intégralité de mon courrier transmis à cette institution.

Bien évidemment, vous pourrez consulter les évolutions de ce dossier sur le site "Coalition-Harkis.Com".

Enfin, je vous remercie de votre soutien à cette pétition qui a recueilli, à ce jour, 5012 signatures, malgré la censure indéniable de la presse et des médias ayant refusé, pour des raisons étranges et mystérieuses, de l'évoquer en dépit de mes communiqués réitérés (?).

Il est très important de continuer à la diffuser, la signer et la faire signer, le plus largement possible, car à chaque évolution significative, je la communiquerai au CSA, pour appuyer l'action.

Bien Cordialement

Khader Moulfi (Roubaix)