Mon avis sur la religion écologiste….
C’est le titre du livre d’un polytechnicien, Christian GERONDEAU, qui m’a convaincu sur l’urgence de réagir à cette folle orientation imposée au monde entier par quelques écolos qui ont pris le pouvoir à l’ONU. Je vous recommande la lecture de ce livre.
Tout n’est pas critiquable dans l’écologie. On peut encourager, par exemple, la suppression des super containers qui sillonnent les mers du monde entier pour transporter des marchandises qui pourraient être produites ou fabriquées localement. Supprimer les rejets de particules fines des voitures diésel même si ces rejets ont pratiquement disparu sur les modèles récents…
Mais il faut éviter le ridicule des mesures qui ne servent à rien et qui ponctionnent les milliards d’euros qui seraient si précieux à notre économie
En effet, considérer que l’émission de CO2 générée par l’utilisation d’hydrocarbures fossiles (pétrole, charbon et gaz) est le danger essentiel pour notre planète qui serait la cause du réchauffement climatique est une affirmation sans fondement. De nombreux scientifiques l’affirment qui sont interdits de l’expliquer dans les médias.
Le CO2 est présent sur notre planète depuis des milliers d’années dans des quantités 10 fois plus importantes que celles existantes aujourd’hui. Depuis le début du siècle dernier ce volume est passé de 2200 à 3200 milliards de tonnes. Au cours des 20 dernières années le volume de CO2 a augmenté de 20 milliards de tonnes par an, ce qui entraînera un volume supplémentaire de 2000 milliards de tonnes d’ici 2100. Et donc, si le monde entier ne diffusait plus un gramme de CO2 à partir d’aujourd’hui, il resterait, en tout état de cause, un stock de 3200 milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère.
Le climat qui serait lié à ce volume important de CO2 a lui aussi varié dans de larges proportions depuis des milliers d’années. Après une période chaude qualifiée d’optimum médiéval, les mille dernières années ont d’abord connu une période glaciaire avec une mer qui gelait pendant le règne de Louis XIV. Plus récemment, des variations inférieures à 1 degré se sont succédées : hausse de 1910 à 1940, baisse de 1940 à 1975, hausse jusqu’en 2000, stagnation de 2000 à 2015, légère reprise depuis 2015. Et bien sûr, ces variations ne sont pas liées à l’importance du CO2 dans l’atmosphère, ce que contestent les pseudo-scientifiques du GIEC. Et heureusement, car le stock de 3200 milliards de tonnes existant dans l’atmosphère ne va pas disparaître comme par miracle.
La pollution liée au CO2 en fait n’existe pas. L’augmentation de 50% de CO2 du siècle dernier est en particulier à l’origine de la multiplication par 3 des récoltes de céréales, et c’est très bien pour luter contre la famine dans le monde. Et les agriculteurs le savent qui injectent du CO2 dans leurs serres pour améliorer la croissance des fruits et des fleurs, sans inconvénient pour les personnes qui y travaillent.
Convaincus que l’augmentation de CO2 est la cause essentielle du réchauffement climatique, les faux experts du GIEC, les prêtres de l’écologie, souhaitent lutter contre l’action négative de l’homme sur le climat. Pour le punir, il devra :
- Supporter des éoliennes qui abiment nos paysages et ont un rendement négligeable. Soyons rassurés, on va arrêter ce gaspillage. Et tant pis pour les allemands qui gagnent une fortune en nous vendant ces brasseurs de vent.
- Utiliser des automobiles électriques avec des batteries polluantes et une autonomie insuffisante. Là aussi, la Chine qui a d’autres objectifs que la réduction du CO2 est heureuse de cet extraordinaire marché.
- Dépenser des montants astronomiques pour isoler les logements, couvrir les toitures de panneaux photovoltaïques, renouveler le parc automobile, payer plus cher l’ensemble des produits devant respecter la doxa du GIEC…
Et tout cela, en nous affirmant qu’il serait possible d’atteindre, avec les énergies renouvelables, 80% des besoins énergétiques de la planète en 2050, alors qu’en 20 ans on a eu du mal à satisfaire 10% de ces besoins.
Et pour atteindre ces objectifs idylliques, il faudrait que la chine l’Inde et l’Afrique acceptent de diminuer, voire de supprimer, leurs émissions de CO2, ce qu’elles ont refusé à l’occasion des sommets successifs sur le climat en expliquant qu’elles continueraient à augmenter ces émissions jusqu’en 2030, « pour commencer ». Actuellement, la chine active une usine génératrice d’énergie à base de charbon par semaine. En Afrique, ou en Inde, des dizaines de millions d’habitants n’ont pas d’électricité et ne régleront pas leur problème avec des éoliennes, alors que leur sous sol regorge de charbon et de gaz.
En bref, cela n’est pas un hasard si les seuls pays à suivre les préconisations du GIEC, en dépensant des centaines de millions de dollars ou d’Euros pour atteindre les objectifs demandés et inatteignables, sont les pays riches qui en ont les moyens. Et malheureusement, ces centaines de millions de dollars seraient bien plus utiles pour développer nos économies et renforcer nos productions locales.
Quand arrêtera-t-on cette folie ???
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