Convaincu que c’est à travers la constitution que le respect de la démocratie et des droits humains fondamentaux peuvent être résolument respectés pour garantir la paix, la sécurité et la justice en République Centrafricaine.
Le peuple Centrafricain assiste depuis l’accession au pouvoir du régime de Faustin-Archange Touadéra à une escalade des violations des droits humains et des libertés publiques et individuelles de la Constitution Centrafricaine (Articles 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 13…)
De plus en plus de citoyens sont incarcérés arbitrairement et sans sommation. Ces mesures dictatoriales ont amenées à la condamnation de Fari Taheruka Shabazz un citoyen défenseur de la démocratie, privé de ses droits fondamentaux sans charge. A l’heure actuelle lui et des dizaines de centrafricains sont emprisonnés au camp de Ngaragba.
Pour faire respecter nos droits fondamentaux et libérer les prisonniers politiques.
Nous centrafricains et soutiens lançons un appel aux individus et organisations défenseurs des droits humains fondamentaux et des libertés d'expressions, à faire pression pour :
• La liberté immédiate et inconditionnelle de tous les prisonniers politiques et prisonniers d'opinion en RCA notamment de Fari Taheruka Shabazz
• L'arrestation et la poursuite en justice des responsables de l’emprisonnement, de la torture, du viol et du meurtre de milliers de citoyens en RCA sous le régime du président de la République Centrafricaine Faustin-Archange TOUADERA et du vice Président de l'Assemblée Nationale Jean-SYMPHORIEN-MAPENZI.
• Liberté d'expression, de manifestation, d'organisation, de grève, de croyance ou de non croyance en la foi et / ou la religion
• La communauté internationale et les gouvernements africains à rompre leurs silences et condamner la grave violation des droits de l'homme par le régime en place
• Les décisionnaires et leurs complices doivent être isolés politiquement et diplomatiquement au niveau international, continental, sous - régional, national et leurs diplomates et délégués doivent être expulsés de toutes les communautés internationales et privée de leurs passeports diplomatiques.
Khépéru Shabazz
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