La Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, Mayotte, la Nouvelle Calédonie, demande leurs Indépendance à la France. Nous voulons plus être gouverné par la France.

Depuis la présidence de macron, nous sommes témoins d’injustices perpétuelles, à tous les niveaux de la société française et, béantes dans les territoires d’outre-mer et région ultrapériphérique :

ANCIENS territoires de l’empire colonial français ?

Notre souhait, depuis quelques mois, est de sortir de ce marasme économique « culturel, social et sociétal » imposé à l'ensemble de nos territoires et aujourd’hui doublement subit, suite à la situation financière de l’Etat français :
toujours ANCIENS territoires de l’empire colonial français ?
Notre volonté est que la France, puissance maritime mondiale grâce à l’ensemble de nos territoires ultras marins, cesse de nous gouverner et s’enrichir en détruisant en contrepartie les richesses de nos sols, sous-sols et océans. 

Notre détermination nous conduira à libérer chacun des territoires qui sont autant de réservoirs culturels et de diversité biologique, à créer un système de vie qui nous convienne et réponde à la richesse de nos valeurs. Par cette pétition, nous sollicitons la cour des Nations Unies pour inscrire notre demande de décolonisation de tous les territoires Ultras Marins en priorité.

La France n'est plus la bienvenue au sein de nos territoires et doit procéder à :
-la réparation de tous ce qu’elle a omis d’entretenir et qui est source d’incidences sanitaires, plus ou moins grave, pour la population ;
- la décontamination des terres, rivières ;
- la restitution des 50 pas géométriques utilisés à des fins de spéculation immobilière ou de tourisme de masse et autres que la préservation de la biodiversité et maitrise foncière.

Tous les Ultras Marins sont appelés à signer cette pétition pour que notre revendication soit actée et signée par les Nations-Unies.

La Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, Mayotte, la Nouvelle Calédonie, la Réunion, nous souhaitons quitter la France.

Que cette pétition en soit la preuve pour le président français et qu'il prenne acte de notre décision.